NELSON MANDELA EST MORT
Burundi Information (le 09 décembre 2013). Il fut un homme exceptionnel ; c’est vrai. Sans cela on ne pourrait pas avoir combattu l’Apartheid et en même temps institutionnaliser l’impunité, le racisme, le terrorisme et le génocide, serait-ce au Burundi. En plus il avait une formation de juriste, il aurait même exercé comme avocat... c'est en plus!
On ne peut pas s’empêcher d’avoir ce sentiment d’amertume, lorsque l’on pense que sans le prestige de Nelson Mandela au service des génocidaires burundais ces derniers seraient plutôt devant les tribunaux internationaux ; le Burundi affronterait avec dignité les défis du moment le Droit dans une main, la Morale dans l’autre.
On ne peut que regarder avec un certain malaise le Rwanda, au nord du Burundi, où sont condamnés les organisations et individus racistes terroristes génocidaires ayant commis l’irréparable après une répétition générale qui a eu lieu six mois au Burundi. Nduwabike Jean-Marie alors Chef du Protocole d’Etat de Ntaryamira le confirme dans un entretien avec la BBC ; ce qu’avait déjà révélé « le Colonel rwandais Ndengeyinka, qui à l’époque, se trouvait à l’état-major des forces armées rwandaises : l’assassinat de Ndadaye était une répétition générale des évènements qui devaient se produire au Rwanda » (cité par la journaliste belge Colette Braeckman in Terreur africaine, Fayard 1996 , page 162 )
Les faits sont sans équivoque : mêmes idéologies et acteurs racistes génocidaires, assassinats de nature à créer un vide institutionnel de manière à paralyser toute possibilité d’intervention des structures de l’Etat des deux côtés de la Kanyaru. Au Burundi ceux qui sont condamnés au Rwanda et ailleurs dans le monde règnent en toute impunité et insolence… Mandela aurait pu éviter cette honte à l’Histoire ; il n’a simplement pas voulu !
L’ONU avait pourtant officiellement conclu à des actes de génocides prémédités de la part des autorités de l’organisation génocidaires FRODEBU dont la milice CNDD/FDD a évolué en héritière en attendant les FNL, association raciste terroriste génocidaire ex-FAR et Palipehutu ensemble (voir convention dont un certain Agaton Rwasa est signataire et faisant des FNL un organisation même pas burundaise mais qui se prépare a gouverner le Burundi, in rapport ONU S/1997/777 et S/1997/1010) .
Ce n’est certes pas la faute à Madiba, car un adage dit que « UWUSENYA URWIWE BAMUTIZA UMUHORO ». Seulement voilà, Mandela Nelson a privé le Burundi d’un élan de solidarité humaine pour vaincre le mal absolu, solidarité qui fut indispensable pour vaincre l’Apartheid et le génocide au Rwanda notamment, alors que Madiba mobilisait jusqu’aux troupes militaires sud-africaines au service des organisations terroristes et génocidaires, et ce depuis les pourparlers de Mwanza sous Nyerere déjà, longtemps avant de se faire déclarer médiateur...
Mandela était un Chef d’Etat sud-africain ; et pour lui, comme pour les autres, exceptés les traitres burundais, seuls comptent les intérêts de leurs nations ou de leurs entreprises comme AREVA, TOTAL (France) ou NYOTA MINERALS LIMITED ancienne Dwyka Resources Limited (South Africa). Après l’échec de Mwanza 1 et 2, Mandela et son gouvernement étaient impliqués dans la promotion de l’impunité et de l’absence des lois aux pourparlers clandestins (AGAHISHWA KABA KANUKA) de San Egidio où il avait délégué son représentant personnel siégeant au nom du gouvernement sud-africain… (voir les accords de San Egidio).
Cet homme qui a préféré passer près de 30 ans en prison au lieu de trahir la cause anti apartheid, s’acharna à faire pression, menacer et terroriser les partisans de l’Etat de droit pour qu’ils renoncent à leurs engagements anti génocidaires !
A chaque médaille son revers ; car si Mandela fut sans conteste héroïque pour l’Afrique du Sud contre l’Apartheid, il fut lamentablement fautif s’agissant du Burundi, pour la colonisation du Burundi et la mainmise sur ses ressources minières... Aux générations futures de faire la paix et la réconciliation ! L’autre contradiction, celle-ci ne vient pas de lui, mais de tous ceux qui se disent ses admirateurs et qui tous les jours font la promotion des contre-valeurs qu’ils disent pourtant avoir cru Mandela combattre ! A commencer par ces leaders africains qui méprisent les populations qui pourtant leur procurent la légitimité ; ainsi que ces leaders du Nord qui firent campagne en déclarant Mandela extrémiste terroriste !
Que devrait-il se produire ensuite ? Rappelez-vous du Rwanda où un voyant avait prédit une fin sans sépulture pour le leader raciste génocidaire dans la région des Grands Lacs Africains, Juvénal Habyalimana. Un voyant sud-africain blanc, Nikolaas van Rensburg, a prédit que la mort de Nelson Mandela devrait être le signe avant-coureur d’une catastrophe planétaire.
Cet homme a en effet prédit l’explosion d’une violence raciale sans précédent dans le monde ainsi qu’une abominable conflagration en Afrique, la guerre civile en Europe après un énorme clash économique et une troisième guerre mondiale « l’Allemagne, l’Angleterre et l’Amérique se battant côte à côte contre la Russie »...
La mort du premier président noir élu en Afrique du Sud, Nelson Mandela vient de mourir, devrait annoncer le commencement de ces chambardements ! « D’autres signes confirmeront la venue de cette période, tels que la dégringolade des mœurs, la folie des USA contre l’Orient (Irak, Libye, Syrie, Iran) se terminant par l’utilisation nucléaire… ».
En attendant le Burundi sombre dans le non droit et l’immoralité génocidaire, tandis que l’Afrique du Sud vient de perdre son premier président anti Apartheid ; certains disent son premier président noir : ils ne veulent de lui retenir que la couleur d’une peau pourtant plutôt claire et donc même pas noire ! Comme quoi… (BINFO)
On ne peut pas s’empêcher d’avoir ce sentiment d’amertume, lorsque l’on pense que sans le prestige de Nelson Mandela au service des génocidaires burundais ces derniers seraient plutôt devant les tribunaux internationaux ; le Burundi affronterait avec dignité les défis du moment le Droit dans une main, la Morale dans l’autre.
On ne peut que regarder avec un certain malaise le Rwanda, au nord du Burundi, où sont condamnés les organisations et individus racistes terroristes génocidaires ayant commis l’irréparable après une répétition générale qui a eu lieu six mois au Burundi. Nduwabike Jean-Marie alors Chef du Protocole d’Etat de Ntaryamira le confirme dans un entretien avec la BBC ; ce qu’avait déjà révélé « le Colonel rwandais Ndengeyinka, qui à l’époque, se trouvait à l’état-major des forces armées rwandaises : l’assassinat de Ndadaye était une répétition générale des évènements qui devaient se produire au Rwanda » (cité par la journaliste belge Colette Braeckman in Terreur africaine, Fayard 1996 , page 162 )
Les faits sont sans équivoque : mêmes idéologies et acteurs racistes génocidaires, assassinats de nature à créer un vide institutionnel de manière à paralyser toute possibilité d’intervention des structures de l’Etat des deux côtés de la Kanyaru. Au Burundi ceux qui sont condamnés au Rwanda et ailleurs dans le monde règnent en toute impunité et insolence… Mandela aurait pu éviter cette honte à l’Histoire ; il n’a simplement pas voulu !
L’ONU avait pourtant officiellement conclu à des actes de génocides prémédités de la part des autorités de l’organisation génocidaires FRODEBU dont la milice CNDD/FDD a évolué en héritière en attendant les FNL, association raciste terroriste génocidaire ex-FAR et Palipehutu ensemble (voir convention dont un certain Agaton Rwasa est signataire et faisant des FNL un organisation même pas burundaise mais qui se prépare a gouverner le Burundi, in rapport ONU S/1997/777 et S/1997/1010) .
Ce n’est certes pas la faute à Madiba, car un adage dit que « UWUSENYA URWIWE BAMUTIZA UMUHORO ». Seulement voilà, Mandela Nelson a privé le Burundi d’un élan de solidarité humaine pour vaincre le mal absolu, solidarité qui fut indispensable pour vaincre l’Apartheid et le génocide au Rwanda notamment, alors que Madiba mobilisait jusqu’aux troupes militaires sud-africaines au service des organisations terroristes et génocidaires, et ce depuis les pourparlers de Mwanza sous Nyerere déjà, longtemps avant de se faire déclarer médiateur...
Mandela était un Chef d’Etat sud-africain ; et pour lui, comme pour les autres, exceptés les traitres burundais, seuls comptent les intérêts de leurs nations ou de leurs entreprises comme AREVA, TOTAL (France) ou NYOTA MINERALS LIMITED ancienne Dwyka Resources Limited (South Africa). Après l’échec de Mwanza 1 et 2, Mandela et son gouvernement étaient impliqués dans la promotion de l’impunité et de l’absence des lois aux pourparlers clandestins (AGAHISHWA KABA KANUKA) de San Egidio où il avait délégué son représentant personnel siégeant au nom du gouvernement sud-africain… (voir les accords de San Egidio).
Cet homme qui a préféré passer près de 30 ans en prison au lieu de trahir la cause anti apartheid, s’acharna à faire pression, menacer et terroriser les partisans de l’Etat de droit pour qu’ils renoncent à leurs engagements anti génocidaires !
A chaque médaille son revers ; car si Mandela fut sans conteste héroïque pour l’Afrique du Sud contre l’Apartheid, il fut lamentablement fautif s’agissant du Burundi, pour la colonisation du Burundi et la mainmise sur ses ressources minières... Aux générations futures de faire la paix et la réconciliation ! L’autre contradiction, celle-ci ne vient pas de lui, mais de tous ceux qui se disent ses admirateurs et qui tous les jours font la promotion des contre-valeurs qu’ils disent pourtant avoir cru Mandela combattre ! A commencer par ces leaders africains qui méprisent les populations qui pourtant leur procurent la légitimité ; ainsi que ces leaders du Nord qui firent campagne en déclarant Mandela extrémiste terroriste !
Que devrait-il se produire ensuite ? Rappelez-vous du Rwanda où un voyant avait prédit une fin sans sépulture pour le leader raciste génocidaire dans la région des Grands Lacs Africains, Juvénal Habyalimana. Un voyant sud-africain blanc, Nikolaas van Rensburg, a prédit que la mort de Nelson Mandela devrait être le signe avant-coureur d’une catastrophe planétaire.
Cet homme a en effet prédit l’explosion d’une violence raciale sans précédent dans le monde ainsi qu’une abominable conflagration en Afrique, la guerre civile en Europe après un énorme clash économique et une troisième guerre mondiale « l’Allemagne, l’Angleterre et l’Amérique se battant côte à côte contre la Russie »...
La mort du premier président noir élu en Afrique du Sud, Nelson Mandela vient de mourir, devrait annoncer le commencement de ces chambardements ! « D’autres signes confirmeront la venue de cette période, tels que la dégringolade des mœurs, la folie des USA contre l’Orient (Irak, Libye, Syrie, Iran) se terminant par l’utilisation nucléaire… ».
En attendant le Burundi sombre dans le non droit et l’immoralité génocidaire, tandis que l’Afrique du Sud vient de perdre son premier président anti Apartheid ; certains disent son premier président noir : ils ne veulent de lui retenir que la couleur d’une peau pourtant plutôt claire et donc même pas noire ! Comme quoi… (BINFO)