NKURUNZIZA ARME LES GENOCIDAIRES RWANDAIS
BURUNDI INFORMATION (le 13 mars 2009). Le rapport final du groupe des experts sur la République Démocratique du Kongo (RDC) est disponible en version encore confidentielle. Ce rapport serait accablant si le monde n’avait pas perdu le sens de l’honneur et du droit s’agissant du Burundi.
Le régime sanguinaire du terroriste génocidaire Nkurunziza Peter arme les ex-FAR et Interahamwe rassemblées au sein de l’organisation internationalement classée génocidaire, FDRL. Son Général de confiance, Adolphe Nshimirimana, patron des services de renseignements, la police présidentielle puisque ce département est une Direction Générale dans l’organigramme de la Présidence de la République, approvisionne en armes les génocidaires rwandais repliés au Kongo voisin. Des négociants burundais participeraient également dans les opérations…
Ceci n’a rien de véritablement nouveau. Depuis plus d’une décennie les membres de prestigieuses commissions d’enquête de l’ONU ont déjà révélé avec de multiples détails l’existence d’accords de coopération entre le CNDD/FDD et les ex-FAR - Interahamwe, ainsi que des conventions de fusion entre le Palipehutu et les ex-FAR dans la création d’une force génocidaire transnationale, les FNL, lesquelles ne sont donc même pas une milice Burundaise. Toutes ces conventions ont un seul et même objectif : profiter du Burundi qualifié de « ventre mou », ennemi du droit et de la morale, pour en faire un sanctuaire des génocidaires en vue de reconquérir le Rwanda et établir « la Nation Bahutu » des deux côtés de la Kanyaru, comme l’affirment les signataires.
Nyangoma Léonard et Christian Sendegeya ont conçu et signé une des conventions, longtemps avant la division régionaliste qui porta Nkurunziza au sommet des milices génocidaires en remplacement de Ndayikengurukiye, cela pour faire de la place à Pierre Buyoya lorsque ce dernier trouva la brèche de l’impunité de ses crimes en contrepartie de ceux des génocdaires qu’il érigea en partenaires politiques dits rebelles pour les soustraire de la rigueur du droit international. Buyoya officiellement soldat Tutsi originaire de Bururi fit comprendre aux uns et aux autres qu’il était impossible que le chef d’une rébellion soit originaire de la même province que lui-même au pouvoir ; cela ne sentait pas l’équilibrisme criminelle qualifiée d’Unité Nationale version Buyoya. Kadege l’exprima plus publiquement avant d’ajouter que les Hutu buyoyistes n’aient que des IMPEREKEZA…
La preuve que ce n’était qu’un faux prétexte et qu’il ne s’agissait que d’une vulgaire manœuvre d’entente entre criminelles pour leur impunité, Ndayizeye Hutu originaire de Kayanza négocia avec Nkurunziza originaire de la même province Ngozi lorsque Kayanza n’était encore qu’arrondissement ; Nkurunziza Peter originaire de Ngozi négocia avec Rwasa Agathon originaire de la commune voisine de Kiremba dans la même province Ngozi ; personne ne trouva à redire, ni Buyoya lui-même...
Le Rapporteur Spécial des droits de l’Homme sur le Burundi dénonça également cette situation où le Burundi est devenu le sanctuaire des génocidaires rwandais notamment échappant à l’application des accords de Lusaka et aux contraintes du RPIR. Human Right Watch fournit des preuves surabondantes sur la présence des ex-FAR et des Interahamwe évalués à 50% des effectifs dans ce que l’on appela abusivement rébellion burundaise…
Et il y a des gens fiers de l'être et qui se lèvent tous les matins convaincus qu’ils sont en train d’organiser des élections démocratiques et que tout va bien dans ce meilleur des mondes appellé Burundi…
Le régime sanguinaire du terroriste génocidaire Nkurunziza Peter arme les ex-FAR et Interahamwe rassemblées au sein de l’organisation internationalement classée génocidaire, FDRL. Son Général de confiance, Adolphe Nshimirimana, patron des services de renseignements, la police présidentielle puisque ce département est une Direction Générale dans l’organigramme de la Présidence de la République, approvisionne en armes les génocidaires rwandais repliés au Kongo voisin. Des négociants burundais participeraient également dans les opérations…
Ceci n’a rien de véritablement nouveau. Depuis plus d’une décennie les membres de prestigieuses commissions d’enquête de l’ONU ont déjà révélé avec de multiples détails l’existence d’accords de coopération entre le CNDD/FDD et les ex-FAR - Interahamwe, ainsi que des conventions de fusion entre le Palipehutu et les ex-FAR dans la création d’une force génocidaire transnationale, les FNL, lesquelles ne sont donc même pas une milice Burundaise. Toutes ces conventions ont un seul et même objectif : profiter du Burundi qualifié de « ventre mou », ennemi du droit et de la morale, pour en faire un sanctuaire des génocidaires en vue de reconquérir le Rwanda et établir « la Nation Bahutu » des deux côtés de la Kanyaru, comme l’affirment les signataires.
Nyangoma Léonard et Christian Sendegeya ont conçu et signé une des conventions, longtemps avant la division régionaliste qui porta Nkurunziza au sommet des milices génocidaires en remplacement de Ndayikengurukiye, cela pour faire de la place à Pierre Buyoya lorsque ce dernier trouva la brèche de l’impunité de ses crimes en contrepartie de ceux des génocdaires qu’il érigea en partenaires politiques dits rebelles pour les soustraire de la rigueur du droit international. Buyoya officiellement soldat Tutsi originaire de Bururi fit comprendre aux uns et aux autres qu’il était impossible que le chef d’une rébellion soit originaire de la même province que lui-même au pouvoir ; cela ne sentait pas l’équilibrisme criminelle qualifiée d’Unité Nationale version Buyoya. Kadege l’exprima plus publiquement avant d’ajouter que les Hutu buyoyistes n’aient que des IMPEREKEZA…
La preuve que ce n’était qu’un faux prétexte et qu’il ne s’agissait que d’une vulgaire manœuvre d’entente entre criminelles pour leur impunité, Ndayizeye Hutu originaire de Kayanza négocia avec Nkurunziza originaire de la même province Ngozi lorsque Kayanza n’était encore qu’arrondissement ; Nkurunziza Peter originaire de Ngozi négocia avec Rwasa Agathon originaire de la commune voisine de Kiremba dans la même province Ngozi ; personne ne trouva à redire, ni Buyoya lui-même...
Le Rapporteur Spécial des droits de l’Homme sur le Burundi dénonça également cette situation où le Burundi est devenu le sanctuaire des génocidaires rwandais notamment échappant à l’application des accords de Lusaka et aux contraintes du RPIR. Human Right Watch fournit des preuves surabondantes sur la présence des ex-FAR et des Interahamwe évalués à 50% des effectifs dans ce que l’on appela abusivement rébellion burundaise…
Et il y a des gens fiers de l'être et qui se lèvent tous les matins convaincus qu’ils sont en train d’organiser des élections démocratiques et que tout va bien dans ce meilleur des mondes appellé Burundi…