QUE DIANTRE FAISAIT PIERRE NKURUNZIZA A LA FINALE DE LA C.A.N 2012
BURUNDI INFORMATION (le 13 février 2012). Si la Côte d’Ivoire a loupé la coupe, c’est le Burundi qui a le plus perdu, même s’il n’a pas joué le dernier match ni participé à la phase finale de cette compétition. Notre pays vient de perdre des millions de nos francs sous forme de frais d’entretien de notre criminel de président qui, pour la nième fois, s’est trouvé une autre occasion d’éviter de faire ce qu’il devait faire pour aller faire ce qu’il ne devait pas faire.
Pierre Nkurunziza s’est permis d’aller à Libreville pour assister à la finale de la Coupe d’Afrique des Nations de football. Et c’est une récidive. Souvenez vous, en 2008, le criminel qui dirige le Burundi s’était déplacé jusqu’à Beijing pour assister à l’ouverture des jeux Olympiques d’été. Le voyage engloutit une bagatelle de 100 000 dollars, et c’est notre confrère Directeur de l’Agence Net Press qui en fit les frais, « coupable » d’avoir écrit un article là-dessus, Jean-Claude passa des mois derrière les barreaux, alors que c’est l’auteur de ce véritable hold-up qui devait être coffré.
Mais revenons au Stade de la Liberté à Libreville
Ce dimanche 12 février 2012 donc, les téléspectateurs ont vu un Pierre Nkurunziza suivant la finale, non sans difficulté car il était assis derrière un invité plus grand que lui ---et dont la présence était probablement plus souhaitable. Mais ce n’est pas seulement par sa présence que le criminel président Pierre Nkurunziza a étonné. C’est aussi par son absence au moment clé de cette finale, qui laissa pantois plus d’un téléspectateur.
Lorsque vint le moment de remettre le trophée, on ne s’aperçut plus ni de sa gueule ni de sa silhouette, il était occupé à on ne sait trop quoi et Dieu seul sait où. Ce qui n’ôta rien à l’éclat de la cérémonie. Le reste des dignitaires, dignes ceux-là, car non-criminels, procédèrent à la remise du trophée.
Certains de nos lecteurs qui suivaient le match en ligne nous ont fait par de quelques questionnements que nous partageons à notre tour avec vous :
- peut-être que Pierre Nkurunziza était allé enfiler sa tenue de sport préférée, question d’impressionner les invités, les spectateurs et les joueurs et leur rappeler qu’avant de s’adonner à temps plein au génocide, il était footballeur lui aussi ;
- il doit s’être rendu aux toilettes ; il n’avait pas pus s’y rendre durant le match, alors que le corps humain (y compris celui d'un criminel devenu président) garde ses limites;
- probablement que quelque diplomate dans la suite de Pierre Nkurunziza a remarqué que la présence de ce dernier à cette cérémonie voire dans cette tribune était contingente, et il lui aurait conseillé de s’effacer ;
- parions qu’à ce rythme Peter Nkurunziza sera à la prochaine finale de cricket en Inde ;
- etc, etc
Nos lecteurs auraient pu continuer jusqu’à la tombée de la nuit ou au lever du jour suivant, tellement la présence de Peter Nkurunziza à Libreville en cet aprs-midi du 12 février 2012 au Stade de la Liberté était étonnante.
En un mot, malgré le communiqué de la Présidence de la République qui se veut officiel en dépit de son style digne d’un message publicitaire, les Burundais doivent demander des comptes à leur criminel de président qui se permet de dépenser des millions et des millions du trésor public pour aller assister à des matchs sans enjeu pour le Burundi. Puisse l’infatigable Rufyiri vérifier pour nous combien ce voyage aura coûté, combien de frais de mission remis par Pierre Nkurunziza à son retour pour que le cas échéant, il en réponde quand viendra l’heure de la vérité. Car elle n’est pas très éloignée, celle-là. Malgré ses assurances apparentes, le régime CNDD-FDD marqué par les exécutions extrajudiciaires et les détournements, va bientôt finir et laisser la place à un Etat de Droit. A condition que les Burundais suivent les conseils que leur prodiguent les organisations signataires de l’Accord Cadre . C’est de cette convention que viendra le salut pour le Burundi. (BINFO)
Pierre Nkurunziza s’est permis d’aller à Libreville pour assister à la finale de la Coupe d’Afrique des Nations de football. Et c’est une récidive. Souvenez vous, en 2008, le criminel qui dirige le Burundi s’était déplacé jusqu’à Beijing pour assister à l’ouverture des jeux Olympiques d’été. Le voyage engloutit une bagatelle de 100 000 dollars, et c’est notre confrère Directeur de l’Agence Net Press qui en fit les frais, « coupable » d’avoir écrit un article là-dessus, Jean-Claude passa des mois derrière les barreaux, alors que c’est l’auteur de ce véritable hold-up qui devait être coffré.
Mais revenons au Stade de la Liberté à Libreville
Ce dimanche 12 février 2012 donc, les téléspectateurs ont vu un Pierre Nkurunziza suivant la finale, non sans difficulté car il était assis derrière un invité plus grand que lui ---et dont la présence était probablement plus souhaitable. Mais ce n’est pas seulement par sa présence que le criminel président Pierre Nkurunziza a étonné. C’est aussi par son absence au moment clé de cette finale, qui laissa pantois plus d’un téléspectateur.
Lorsque vint le moment de remettre le trophée, on ne s’aperçut plus ni de sa gueule ni de sa silhouette, il était occupé à on ne sait trop quoi et Dieu seul sait où. Ce qui n’ôta rien à l’éclat de la cérémonie. Le reste des dignitaires, dignes ceux-là, car non-criminels, procédèrent à la remise du trophée.
Certains de nos lecteurs qui suivaient le match en ligne nous ont fait par de quelques questionnements que nous partageons à notre tour avec vous :
- peut-être que Pierre Nkurunziza était allé enfiler sa tenue de sport préférée, question d’impressionner les invités, les spectateurs et les joueurs et leur rappeler qu’avant de s’adonner à temps plein au génocide, il était footballeur lui aussi ;
- il doit s’être rendu aux toilettes ; il n’avait pas pus s’y rendre durant le match, alors que le corps humain (y compris celui d'un criminel devenu président) garde ses limites;
- probablement que quelque diplomate dans la suite de Pierre Nkurunziza a remarqué que la présence de ce dernier à cette cérémonie voire dans cette tribune était contingente, et il lui aurait conseillé de s’effacer ;
- parions qu’à ce rythme Peter Nkurunziza sera à la prochaine finale de cricket en Inde ;
- etc, etc
Nos lecteurs auraient pu continuer jusqu’à la tombée de la nuit ou au lever du jour suivant, tellement la présence de Peter Nkurunziza à Libreville en cet aprs-midi du 12 février 2012 au Stade de la Liberté était étonnante.
En un mot, malgré le communiqué de la Présidence de la République qui se veut officiel en dépit de son style digne d’un message publicitaire, les Burundais doivent demander des comptes à leur criminel de président qui se permet de dépenser des millions et des millions du trésor public pour aller assister à des matchs sans enjeu pour le Burundi. Puisse l’infatigable Rufyiri vérifier pour nous combien ce voyage aura coûté, combien de frais de mission remis par Pierre Nkurunziza à son retour pour que le cas échéant, il en réponde quand viendra l’heure de la vérité. Car elle n’est pas très éloignée, celle-là. Malgré ses assurances apparentes, le régime CNDD-FDD marqué par les exécutions extrajudiciaires et les détournements, va bientôt finir et laisser la place à un Etat de Droit. A condition que les Burundais suivent les conseils que leur prodiguent les organisations signataires de l’Accord Cadre . C’est de cette convention que viendra le salut pour le Burundi. (BINFO)