BIENVENUS SUR BURUNDI INFORMATION
La Rédaction de Burundi Information vous souhaite la bienvenue sur son site web. Nous commençons avec vous une aventure que nous souhaitons longue et passionnante. Notre ambition est de mettre régulièrement en ligne les informations les plus variées et les plus sûres concernant le Burundi, un pays que le monde aimerait voir se réconcilier avec le reste de l’humanité, et emprunter enfin le chemin de la réconciliation, de la paix et de la démocratie, celui qui a permis aux autres Peuples de se sortir des situations bien plus dramatiques, au nom du Droit et d’un minimum de morale.
Au début de chaque cours, tous les professeurs déclarent que leur cours est le plus important. Nous n’allons pas vous dire que notre rédaction refuse la concurrence, elle est même notre raison d’être; car nous sommes certains que malgré le pluralisme médiatique en cours, notre place n’est occupée par personne.
Nous avons également pour ambition de vous considérer comme membre entier de notre rédaction. Aussi sentez-vous interpellés chaque fois que vous constaterez quelque chose autour de vous qui pourrait aider votre voisin humain afin qu’il puisse vivre plus humainement et faire face aux défis du moment en homme averti. Toute information vérifiable est donc la bienvenue.
Ecrivez-nous, rappelez-nous à l’ordre, tel est désormais votre droit et devoir. Mais tout en croyant à la pluralité des idées, nous avons l’intime conviction que toutes ne sont nullement respectables ni acceptables. Certaines ne sont même pas des opinions, mais des infractions. C’est la raison pour laquelle nous ne manifestons aucune indulgence, ni sympathie, ni compréhension envers les idées qui tuent, le racisme ethnique et régional, le génocide, leur apologie tout comme leur complicité, le négationnisme, l’impunité, l’immoralité institutionnelle, etc… ; que ces idées viennent des politiciens, ONGs, observateurs technocrates, journalistes, etc…
Certes, au moins officiellement, tout le monde dit qu’il partage cette conviction. Nous sommes cependant beaucoup moins nombreux à combattre ces idées qui tuent et à faire la promotion d’un véritable Etat de droit. Car il y a des personnes que les malheurs des humains, et des Barundi en particulier, laissent indifférents.
Certains affirment que ces malheurs ne les affecteront point, qu’ils pourront même en tirer profits, arguant que IKIZA IYO KITAGUHITANYE KIRAGUHITANIZA. D’autres sont honteusement aveugles et sourds, non d’infirmités mais de complicité coupable; comme les précédents, ils continuent de s'adonner aux poisons et aux virus d’un système qui tue; ils haussent les épaules devant la contradiction ou insultent ceux qui l'émettent, sèment le doute dans les esprits, le désarroi dans les mentalités et, entretiennent l'esprit de renoncement qui est le plus sûr ferment de toutes les catastrophes historiques.
« Le pire n’est donc pas la méchanceté des gens mauvais mais le silence des gens de bien ». Cet encouragement nous l’avons hérité d’un éminent journaliste africain, burkinabè; il s’appelait Norbert Zongo. Le droit d’informer et d’être informé sera notre et votre contribution à la relève.
Bonne lecture !
L’Administrateur
Au début de chaque cours, tous les professeurs déclarent que leur cours est le plus important. Nous n’allons pas vous dire que notre rédaction refuse la concurrence, elle est même notre raison d’être; car nous sommes certains que malgré le pluralisme médiatique en cours, notre place n’est occupée par personne.
Nous avons également pour ambition de vous considérer comme membre entier de notre rédaction. Aussi sentez-vous interpellés chaque fois que vous constaterez quelque chose autour de vous qui pourrait aider votre voisin humain afin qu’il puisse vivre plus humainement et faire face aux défis du moment en homme averti. Toute information vérifiable est donc la bienvenue.
Ecrivez-nous, rappelez-nous à l’ordre, tel est désormais votre droit et devoir. Mais tout en croyant à la pluralité des idées, nous avons l’intime conviction que toutes ne sont nullement respectables ni acceptables. Certaines ne sont même pas des opinions, mais des infractions. C’est la raison pour laquelle nous ne manifestons aucune indulgence, ni sympathie, ni compréhension envers les idées qui tuent, le racisme ethnique et régional, le génocide, leur apologie tout comme leur complicité, le négationnisme, l’impunité, l’immoralité institutionnelle, etc… ; que ces idées viennent des politiciens, ONGs, observateurs technocrates, journalistes, etc…
Certes, au moins officiellement, tout le monde dit qu’il partage cette conviction. Nous sommes cependant beaucoup moins nombreux à combattre ces idées qui tuent et à faire la promotion d’un véritable Etat de droit. Car il y a des personnes que les malheurs des humains, et des Barundi en particulier, laissent indifférents.
Certains affirment que ces malheurs ne les affecteront point, qu’ils pourront même en tirer profits, arguant que IKIZA IYO KITAGUHITANYE KIRAGUHITANIZA. D’autres sont honteusement aveugles et sourds, non d’infirmités mais de complicité coupable; comme les précédents, ils continuent de s'adonner aux poisons et aux virus d’un système qui tue; ils haussent les épaules devant la contradiction ou insultent ceux qui l'émettent, sèment le doute dans les esprits, le désarroi dans les mentalités et, entretiennent l'esprit de renoncement qui est le plus sûr ferment de toutes les catastrophes historiques.
« Le pire n’est donc pas la méchanceté des gens mauvais mais le silence des gens de bien ». Cet encouragement nous l’avons hérité d’un éminent journaliste africain, burkinabè; il s’appelait Norbert Zongo. Le droit d’informer et d’être informé sera notre et votre contribution à la relève.
Bonne lecture !
L’Administrateur