VICTIMES BURUNDAISES DES ATROCITES
Burundi Information (le 19 décembre 2014). Il est connu de tous que le Burundi compte beaucoup de victimes des actes criminels du passé, mais aussi du présent! Les spécialistes en victimologie parlent de blessés et de handicapés non seulement physiques mais aussi mentales. Dans le parler de "monsieur tout le monde," cela signifie simplement qu'il y en a qui ont été paralysés et d'autres qui sont estropiés; qu'il y en a aussi qui ont perdu (toute ou une partie de ) la raison des suites du meurtre des membres de leurs familles, et que sais-je encore.
De la catégorie de ceux qui ont perdu les leurs, disons tout de suite qu’elle est constituée principalement de veuves et d’orphelins. Et sans vouloir minimiser les douleurs de tel ou tel autre groupe social, l’objectivité nous recommande de constater que dans le cas des victimes de la répression du mouvement génocidaire antitutsi de l'UBU de 1972, il s'agit pour la plupart des hutu. La cause de cet état de choses est simple et claire: lorsque l'organisation terroriste et génocidaire UBU menait sa campagne d'extermination des tutsi au ébut des années 1970, elle s'adressait exclusivement aux hutu. Ce qui fit que ce sont des membres de ce groupe social qui furent les principaux à être poursuivis, le plus souvent à raison, parfois à tort. C'est ce qui explique également pourquoi tant de fausses conclusions tirées sur 1972 par les pseudo-analystes qui se limitent à la surface, soit simplement à cause de leur incompétence, soit par partisannerie malveillante qui fait qu'ils se laissent manipuler à l'extrême par les intellectuels faussaires.
Voilà pourquoi on entend souvent cette affirmation, malheureusement fausse, que 1972 constitue avant tout l'année du calvaire du hutu burundais, que la cible était les intellectuels hutu. Cette lecture simpliste des faits laissse délibérement de côté des réalités effroyables. D'abord, que c'est justement, et bien malheureusement, parmi l'intelligentsia hutu que se retrouvaient les individus qui, par manipulation, qui par adhésion à cette odieuse démocratie ethniste, versaient régulièrement des contributions à l'UBU. Ensuite, qu'à l'origine des atrocités de 1972, il y avait le plan d'extermination des tutsi confectionné et disseminé clandestinement par le tout aussi clandestin UBU (Umugambwe w'abakozi b'Uburundi ou Parti des Travailleurs du Burundi). Enfin, que les tueurs à la solde de l’UBU en 1972 et du FRODEBU/CNDD/FDD/PALIPEHUTU/FNL en 1993 et dans les années qui ont suivi, ne faisaient pas de distinction entre l’âge ou le sexe de la vitime désignée: le tutsi devait disparaître, point, barre.
De la catégorie de ceux qui ont perdu les leurs, disons tout de suite qu’elle est constituée principalement de veuves et d’orphelins. Et sans vouloir minimiser les douleurs de tel ou tel autre groupe social, l’objectivité nous recommande de constater que dans le cas des victimes de la répression du mouvement génocidaire antitutsi de l'UBU de 1972, il s'agit pour la plupart des hutu. La cause de cet état de choses est simple et claire: lorsque l'organisation terroriste et génocidaire UBU menait sa campagne d'extermination des tutsi au ébut des années 1970, elle s'adressait exclusivement aux hutu. Ce qui fit que ce sont des membres de ce groupe social qui furent les principaux à être poursuivis, le plus souvent à raison, parfois à tort. C'est ce qui explique également pourquoi tant de fausses conclusions tirées sur 1972 par les pseudo-analystes qui se limitent à la surface, soit simplement à cause de leur incompétence, soit par partisannerie malveillante qui fait qu'ils se laissent manipuler à l'extrême par les intellectuels faussaires.
Voilà pourquoi on entend souvent cette affirmation, malheureusement fausse, que 1972 constitue avant tout l'année du calvaire du hutu burundais, que la cible était les intellectuels hutu. Cette lecture simpliste des faits laissse délibérement de côté des réalités effroyables. D'abord, que c'est justement, et bien malheureusement, parmi l'intelligentsia hutu que se retrouvaient les individus qui, par manipulation, qui par adhésion à cette odieuse démocratie ethniste, versaient régulièrement des contributions à l'UBU. Ensuite, qu'à l'origine des atrocités de 1972, il y avait le plan d'extermination des tutsi confectionné et disseminé clandestinement par le tout aussi clandestin UBU (Umugambwe w'abakozi b'Uburundi ou Parti des Travailleurs du Burundi). Enfin, que les tueurs à la solde de l’UBU en 1972 et du FRODEBU/CNDD/FDD/PALIPEHUTU/FNL en 1993 et dans les années qui ont suivi, ne faisaient pas de distinction entre l’âge ou le sexe de la vitime désignée: le tutsi devait disparaître, point, barre.