DECUS PAR LE REGIME PIERRE NKURUNZIZA, DES BURUNDAIS DE LA DIASPORA LUI REFUSENT UN AUTRE MANDAT
Burundi Information (le 29 mars 2015). Un groupe de Burundais de la diaspora vient d'adresser une lettre à Pierre Nkurunziza, le criminel menteur qui dirige illégitimement le Burundi depuis août 2005. Les 60 personnes vivant sur au moins 4 continents, demandent à celui qu'ils appellent "Son Excellence Monsieur le Président de la République" de quitter son fauteuil, entre autres choses.
En parcourant cette lettre au contenu très bien documenté, on remarque qu'il y a très longtemps qu'elle aurait dû être rédigée. Bon nombre de signataires sont d'un certain âge, ce qui laisse entendre qu'ils étaient "valides et vaccinés" à l'avènement du règne des criminels contre l'humanité du CNDD-FDD, et surtout qu'ils étaient intellectuellement aussi compétents qu'ils le sont aujourd'hui, comme en témoigne le très haut niveau d'instruction atteint par certains d'entre eux.
Nous nous garderons d'identifier chacun des signataires, mais nous rappellerons à nos lecteurs qu'il y en parmi les initiateurs de la lettre, qui étaient aux avant-gardes de l'intronisation des tueurs sans foi ni loi du CNDD-FDD bien avant août 2005. Il ne serait peut-être pas superflu d'ajouter que d'autres parmi ces Burundais qui s'étaient lancés dans cette entreprise honteuse au début de c emillénaire, l'avaient fait en "enjambant" les corps des leurs, qu'avaient fauchés les machettes, les petites houes et les fusils de ces "démocrates" particuliers qui nous gouvernent. Basabishije imivyimba y'ábaábo! Il est normal donc que de tels esprits voient toujours en Peter Nkurunziza un "Son Excellence" à qui il ne manque qu'à remettre le tablier conformément à la Constitution du 18 mars 2005, pour qu'il s'enkyste ensuite dans l'immunité sénatoriale taillée sur mesure par ses prédécesseurs dont certains ont les mains aussi ensanglantées que les siennes.
Vu d'un certain angle, ce document n'est ni plus ni moins une missive d'adieu d'un groupe d'électeurs déçus par celui qu'ils avaient installé, ou tout au moins, pour les plus scrupuleux, laissé s'installer, dans le fauteuil présidentiel, en toute illégitimité. D'autre part, il peut s'agir de véritables patriotes qui appellent à la raison un Pierre Nkurunziza qui, apparemment perd la sienne de manière accelerée.
Voilà pourquoi nous ne saurons même pas taxer cette correspondance de lueur d'espoir. Au mieux, il pourrait s'agir d'un réveil très tardif, car c'est bien avant l'accession de ce criminel à la Magistrature Suprême, que de telles initiatives auraient dû être prises avoir des effets bénéfiques. CLIQUEZ ICI pour lire la correspondance (BINFO)
En parcourant cette lettre au contenu très bien documenté, on remarque qu'il y a très longtemps qu'elle aurait dû être rédigée. Bon nombre de signataires sont d'un certain âge, ce qui laisse entendre qu'ils étaient "valides et vaccinés" à l'avènement du règne des criminels contre l'humanité du CNDD-FDD, et surtout qu'ils étaient intellectuellement aussi compétents qu'ils le sont aujourd'hui, comme en témoigne le très haut niveau d'instruction atteint par certains d'entre eux.
Nous nous garderons d'identifier chacun des signataires, mais nous rappellerons à nos lecteurs qu'il y en parmi les initiateurs de la lettre, qui étaient aux avant-gardes de l'intronisation des tueurs sans foi ni loi du CNDD-FDD bien avant août 2005. Il ne serait peut-être pas superflu d'ajouter que d'autres parmi ces Burundais qui s'étaient lancés dans cette entreprise honteuse au début de c emillénaire, l'avaient fait en "enjambant" les corps des leurs, qu'avaient fauchés les machettes, les petites houes et les fusils de ces "démocrates" particuliers qui nous gouvernent. Basabishije imivyimba y'ábaábo! Il est normal donc que de tels esprits voient toujours en Peter Nkurunziza un "Son Excellence" à qui il ne manque qu'à remettre le tablier conformément à la Constitution du 18 mars 2005, pour qu'il s'enkyste ensuite dans l'immunité sénatoriale taillée sur mesure par ses prédécesseurs dont certains ont les mains aussi ensanglantées que les siennes.
Vu d'un certain angle, ce document n'est ni plus ni moins une missive d'adieu d'un groupe d'électeurs déçus par celui qu'ils avaient installé, ou tout au moins, pour les plus scrupuleux, laissé s'installer, dans le fauteuil présidentiel, en toute illégitimité. D'autre part, il peut s'agir de véritables patriotes qui appellent à la raison un Pierre Nkurunziza qui, apparemment perd la sienne de manière accelerée.
Voilà pourquoi nous ne saurons même pas taxer cette correspondance de lueur d'espoir. Au mieux, il pourrait s'agir d'un réveil très tardif, car c'est bien avant l'accession de ce criminel à la Magistrature Suprême, que de telles initiatives auraient dû être prises avoir des effets bénéfiques. CLIQUEZ ICI pour lire la correspondance (BINFO)