DES MANOEUVRES ECONOMIQUES INSOUPCONNEES A L'APPUI DU 3E MANDAT ILLEGAL DE NKURUNZIZA
Burundi Information (le 24 avril 2015). Pendant que tous les regards et tous les esprits sont tout rivés sur le fameux troisième mandat que Pierre Nkurunziza veut s’octroyer comme candidat-président pour le compte de l’organisation terroriste et génocidaire CNDD-FDD, très peu savent ou se souviennent des manoeuvres que le régime est en train de mettre en marche subrepticement, si pas pour imposer ouvertement cette opération suicidaire, du moins pour faire échec à ceux qui s'y opposent. Il souviendra à notre aimable lectorat que dans une récente déclaration, la Ministre en charge du commerce, répondant aux questions relatives à la penurie inexplicable du carburant, a répondu qu'elle n'est plus en mesure de traiter ce problème, que toute question qui a trait au carburant devrait être adressée au Président de la République. Quelques temps après, l'inégalable Radio Publique Africaine, la RPa, nous annonçait que pas moins de 20 camions-citernes étaient bloqués à l'entrée de Bujumbura, plus précisément à Kamenge, et cela, parce qu'il n' avait pas assez d'espace pour stocker la cargaison de carburant, les réceptacles du précieux liquide étant pleins. On pourrait facilement conclure à la spéculation despétroliers, si cette contradiction ne se produisait pas à au lendemain d'une mission effectuée auprès des institutions de Brettonwood par une forte délégation gouvernementale: pas moins de 10 personnes.
L'apport du très incompétent Ministre des Finances, Tabu Abdallah Manirakiza
Qu'a donc accompli la délégation conduite par le Ministre Manirakiza, cet homme qui déclare que si les bailleurs ne donnent pas d'argent il va frapper la monnaie lui-même (une réédition des frasques d' Idi Amin et Mobutu réunis, chacun des deux l'ayant essayé séparement avec pour resultant une inflation sans égal)? Une fois dans la capitale financière du monde, Tabu Abdallah et ses hommes n’ont rien fait correctement, ou presque. Lors des réunions qu'ils ont tenues avec le FMI et la Banque Mondiale, la délégation s'est revelee quasi incapable de convaincre dans la moindre négociation. Elle ne faisait que répéter une chanson mal apprise apparemment en même temps que (ou alors auprès de) la Ministre du Commerce: que seul le Président maîtrise les countours du problème de penurie de carburant. C'est ainsi qu'en tout et pour tout, ils n'auront obtenu que l'annulation des reliquats sur les projets en cours, dont le projet du secteur privé. En d'autres mots, de véritable cacahuètes, si on les compare avec ce qu'était sensé négocier cette délégation de “fourmis incapables” –ibinyegeri vyinshi bitimba.
Troisièmement, en plus de ces manoeuvres économiques menées maladroitement pour couler l'économie du pays, le pouvoir des terroristes génocidaires du CNDD-FDD mise aussi sur les départs massifs des membres de l'opposition. Notre aimable lectorat se souviendra que dans notre livraison du 10 avril 2015 (1), nous avons rappelé que la réactivation de la haine antitutsi par le parti au pouvoir avait un objet double, celui de continuer et si possible parachever le génocide qui est la raison d'être du PARMEHUTU et de l’UBU dont le CNDD-FDD est un descendant de la 9e génération. Il se fait cependant que les plus lucides parmi les terroristes génocidaires qui nous gouvernent, réalisant la potentialité d'un échec d’un génocide total contre les tutsi du Burundi, comptent exploiter autrement cette persécution contre les tutsi et le reste de la population qui ne soutient pas les iniquités du régime en place. En poussant des opposants réels ou supposés à s’exiler en masse, le régime du criminel menteur Pierre Nkurunziza se sera assuré d'une réduction sensible des votes défavorables à sa politique caractérisée par une kleptomanie et une démophagie entretenues d’en haut.
Le CNDD-FDD et Nkurunziza sur les traces du MRND(D) de Habyarimana
Quatriemement, tout aussi préoccupant est le fait que, alors que les milices du régime CNDD-FDD sont prêtes à commettre l’irréparable, le système onusien vient d’interdire outes les missions au Burundi. Ce qui n’est pas sans rappeler le Rwanda à la veille du génocide de 1994. Que des ressemblances inquiétantes, en effet: les Imbonerakure sur les traces des Interahamwe, toutes les deux étant des milices surarmée et garantie d’impunité; Radio Rema FM incitant à la haine à l’instar de la RTLM, tout est en place pour que le CNDDFDD héritier du MRND(D) est que Peter Nkurunziza laisse derrière lui un Burundi complètement détruit comme le Rwanda après la disparition de l'autre génocidaire Habyarimana. En clair, il y a risque de réédition des erreurs de 1994: les Nations unies se préparent à dégager le terrain pour revenir compter les morts après coup. D'où il faut rester vigilants contre les plans de ces villains armés. (BINFO)
(1) quand le cndd-fdd active le lien commun aux genocidaires de la sous-region
L'apport du très incompétent Ministre des Finances, Tabu Abdallah Manirakiza
Qu'a donc accompli la délégation conduite par le Ministre Manirakiza, cet homme qui déclare que si les bailleurs ne donnent pas d'argent il va frapper la monnaie lui-même (une réédition des frasques d' Idi Amin et Mobutu réunis, chacun des deux l'ayant essayé séparement avec pour resultant une inflation sans égal)? Une fois dans la capitale financière du monde, Tabu Abdallah et ses hommes n’ont rien fait correctement, ou presque. Lors des réunions qu'ils ont tenues avec le FMI et la Banque Mondiale, la délégation s'est revelee quasi incapable de convaincre dans la moindre négociation. Elle ne faisait que répéter une chanson mal apprise apparemment en même temps que (ou alors auprès de) la Ministre du Commerce: que seul le Président maîtrise les countours du problème de penurie de carburant. C'est ainsi qu'en tout et pour tout, ils n'auront obtenu que l'annulation des reliquats sur les projets en cours, dont le projet du secteur privé. En d'autres mots, de véritable cacahuètes, si on les compare avec ce qu'était sensé négocier cette délégation de “fourmis incapables” –ibinyegeri vyinshi bitimba.
Troisièmement, en plus de ces manoeuvres économiques menées maladroitement pour couler l'économie du pays, le pouvoir des terroristes génocidaires du CNDD-FDD mise aussi sur les départs massifs des membres de l'opposition. Notre aimable lectorat se souviendra que dans notre livraison du 10 avril 2015 (1), nous avons rappelé que la réactivation de la haine antitutsi par le parti au pouvoir avait un objet double, celui de continuer et si possible parachever le génocide qui est la raison d'être du PARMEHUTU et de l’UBU dont le CNDD-FDD est un descendant de la 9e génération. Il se fait cependant que les plus lucides parmi les terroristes génocidaires qui nous gouvernent, réalisant la potentialité d'un échec d’un génocide total contre les tutsi du Burundi, comptent exploiter autrement cette persécution contre les tutsi et le reste de la population qui ne soutient pas les iniquités du régime en place. En poussant des opposants réels ou supposés à s’exiler en masse, le régime du criminel menteur Pierre Nkurunziza se sera assuré d'une réduction sensible des votes défavorables à sa politique caractérisée par une kleptomanie et une démophagie entretenues d’en haut.
Le CNDD-FDD et Nkurunziza sur les traces du MRND(D) de Habyarimana
Quatriemement, tout aussi préoccupant est le fait que, alors que les milices du régime CNDD-FDD sont prêtes à commettre l’irréparable, le système onusien vient d’interdire outes les missions au Burundi. Ce qui n’est pas sans rappeler le Rwanda à la veille du génocide de 1994. Que des ressemblances inquiétantes, en effet: les Imbonerakure sur les traces des Interahamwe, toutes les deux étant des milices surarmée et garantie d’impunité; Radio Rema FM incitant à la haine à l’instar de la RTLM, tout est en place pour que le CNDDFDD héritier du MRND(D) est que Peter Nkurunziza laisse derrière lui un Burundi complètement détruit comme le Rwanda après la disparition de l'autre génocidaire Habyarimana. En clair, il y a risque de réédition des erreurs de 1994: les Nations unies se préparent à dégager le terrain pour revenir compter les morts après coup. D'où il faut rester vigilants contre les plans de ces villains armés. (BINFO)
(1) quand le cndd-fdd active le lien commun aux genocidaires de la sous-region