DES MENSONGES EN LIEU ET PLACE DE THEORIES ANTHROPOLOGIQUES: CONVERSATION MEDIEE AVEC FREDERIC NZEYIMANA
Burundi Information (le 28 juillet 2018). la télévision en ligne Kabaza Web TV a organisé le samedi 21 juillet 2018, un débat en direct entre Emmanuel Nkurunziza et Nzeyimana Frédéric (*). Cette émission faisait suite à deux autres du genre et au cours desquelles les deux acteurs avaient été interviewés séparément par ce médium. Au cours de cette confrontation, Frédéric Nzeyimana représentant le très négationniste Collectif de 1972 a été exposé tout nu dans ses mensonges éhontés. Les télespectateurs l'ont entendu nier l'évidence, notamment la coopération entre le Collectif de 1972 et le Gouvernement du Burundi dont il continuait à réfuter l'existence, au même moment où son interlocuteur lisait en direct des extraits d'une lettre que le Ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale du Burundi a adressée au collectif en question en date du 22 septembre 2017 lui annonçant qu'il résiliait la convention que les deux parties avaient signée entre elles.
L'émission a révélé aussi quelque volonté jusqu'alors inexpliquée mais pas tout à fait inexplicable, de lap art du journaliste hôte de l'émission. Dans un premier temps, il a demandé à ses invités de confirmer qu'ils procédaient par des accusations mutuelles. Cela, Emmanuel Nkurunziza l'a nié dès le départ, précisant que quand il a usé de son droit de réponse et demandé la confrontation avec ce menteur invetéré, c'était dans l'intention de dénoncer et démentir les mensonges, plutôt que d'accuser l'auteur de quoi que ce soit. Dans un deuxieme temps, le journaliste hôte a demandé à ses invités de dire en quoi leurs vues se mariaient. Cette invitation a donné du poil à Frederic Nzeyimana qui s'est mis a énumérer tout ce qu'il a toujours avancé non seulement contre Emmanuel Nkurunziza mais aussi contre le groupe social de resort de ce dernier. En effet, s'il devait y avoir un symptôme principal de ce qu'il ne serait pas exagéré d'appeler la "maladie de Frédéric Nzeyimana", c'est la haine contre les Tutsi Hima et tout ce qui leur est associé. Ainsi, Emmanuel Nkurunziza a précisé que pour ce qui est de cette émission, le seul point de convergence entre lui et le menteur représentant le Collectif négationniste de 1972, c'est juste le référé, c'est-à-dire, l'emprisonnement injuste de Clément Nkurunziza.
D'autre part, l'on se doit de souligner la recherche dont a fait montre le journaliste hôte. Par exemple, il a cité deux journaux internationaux (parmi lesquels le Los Angeles Times) qui montrent que, contrairement aux affirmations du Collectif de 1972 et de ses compères, Clement Nkurunziza n'était plus Président de l'ASSER au mois de juin 1995 quand a eu lieu les massacres en question d'étudiants de l'Université du Burundi. Ce qui détruit complètement l'accusation grossière du Gouvernement du Burundi et du collectif négationniste qui lui est affilié.
Enfin, l'émission a le mérite d'avoir montré le malaise et l'embarras que vivent les organisations que le très négationniste Collectif de 1972 a entraîné malicieusement dans ses mensonges criminels destinés à salir et, ultimement, à casser les Tutsi. Il s'agit du Centre Canadien pour la Justice International (CCIJ) et du Center for Justice and Accountability (basé en Californie). Le journaliste hôte a informé les télespectateurs que dans le cadre de la préparation ce cette émission, il avait appelé et envoyé des courriels à ces organisations, solicitations qui sont restées sans réponse. Ajoutez-y la promesse non tenue du pannel des porte-paroles des différents Ministères du Gouvernement du Burundi qui, avant leur dernière conférence de presse conjointe, avaient promis à ce journaliste de Kabaza Web TV de lui accorder la parole relativement à l'emprisonnement injuste de Clément Nkurunziza; mais que quand vint le moment de la conférence de presse, la ligne lui fut refusée sans aucune explication.
En somme, c'est la vérité sur la détention injuste de l'ex'Président de l'ASSER, de même que le caractère mensonger et partant criminel de Frédéric Nzeyimana du Collectif de 1972, qui ont été les grandes révélations de cette émission. A suivre de très près ... (BINFO)
SI VOUS VOULEZ EN SAVOIR PLUS, LISEZ (en anglais)
L'émission a révélé aussi quelque volonté jusqu'alors inexpliquée mais pas tout à fait inexplicable, de lap art du journaliste hôte de l'émission. Dans un premier temps, il a demandé à ses invités de confirmer qu'ils procédaient par des accusations mutuelles. Cela, Emmanuel Nkurunziza l'a nié dès le départ, précisant que quand il a usé de son droit de réponse et demandé la confrontation avec ce menteur invetéré, c'était dans l'intention de dénoncer et démentir les mensonges, plutôt que d'accuser l'auteur de quoi que ce soit. Dans un deuxieme temps, le journaliste hôte a demandé à ses invités de dire en quoi leurs vues se mariaient. Cette invitation a donné du poil à Frederic Nzeyimana qui s'est mis a énumérer tout ce qu'il a toujours avancé non seulement contre Emmanuel Nkurunziza mais aussi contre le groupe social de resort de ce dernier. En effet, s'il devait y avoir un symptôme principal de ce qu'il ne serait pas exagéré d'appeler la "maladie de Frédéric Nzeyimana", c'est la haine contre les Tutsi Hima et tout ce qui leur est associé. Ainsi, Emmanuel Nkurunziza a précisé que pour ce qui est de cette émission, le seul point de convergence entre lui et le menteur représentant le Collectif négationniste de 1972, c'est juste le référé, c'est-à-dire, l'emprisonnement injuste de Clément Nkurunziza.
D'autre part, l'on se doit de souligner la recherche dont a fait montre le journaliste hôte. Par exemple, il a cité deux journaux internationaux (parmi lesquels le Los Angeles Times) qui montrent que, contrairement aux affirmations du Collectif de 1972 et de ses compères, Clement Nkurunziza n'était plus Président de l'ASSER au mois de juin 1995 quand a eu lieu les massacres en question d'étudiants de l'Université du Burundi. Ce qui détruit complètement l'accusation grossière du Gouvernement du Burundi et du collectif négationniste qui lui est affilié.
Enfin, l'émission a le mérite d'avoir montré le malaise et l'embarras que vivent les organisations que le très négationniste Collectif de 1972 a entraîné malicieusement dans ses mensonges criminels destinés à salir et, ultimement, à casser les Tutsi. Il s'agit du Centre Canadien pour la Justice International (CCIJ) et du Center for Justice and Accountability (basé en Californie). Le journaliste hôte a informé les télespectateurs que dans le cadre de la préparation ce cette émission, il avait appelé et envoyé des courriels à ces organisations, solicitations qui sont restées sans réponse. Ajoutez-y la promesse non tenue du pannel des porte-paroles des différents Ministères du Gouvernement du Burundi qui, avant leur dernière conférence de presse conjointe, avaient promis à ce journaliste de Kabaza Web TV de lui accorder la parole relativement à l'emprisonnement injuste de Clément Nkurunziza; mais que quand vint le moment de la conférence de presse, la ligne lui fut refusée sans aucune explication.
En somme, c'est la vérité sur la détention injuste de l'ex'Président de l'ASSER, de même que le caractère mensonger et partant criminel de Frédéric Nzeyimana du Collectif de 1972, qui ont été les grandes révélations de cette émission. A suivre de très près ... (BINFO)
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