HARO SUR LES SUBTERFUGES DE ROSE NDAYAHOZE
Rose Ndayahoze, veuve du Commandant Ndayahoze Martin tué en 1972, déverse des mensonges à tout bout de champ dans l'opinion nationale et internationale. Technique compassionnelle relevant d'une escroquerie morale sans commune mesure pour innocenter son mari. Et pourtant !
Je suis témoin auriculaire et occulaire des tristes événements de 1972. Un parmi mes oncles, miraculé, a jalousement et soigneusement conservé des documents que je détiens. Des cassettes audios et révélatrices de la fine organisation du complot hutu ont été saisies sur les rebelles. Avec tout le respect dû à Rose Ndayahoze, j'ai le regret de l'informer que le nom de son mari revient dans toutes les interventions desdits rebelles.
Accusé de voie de fait par les assaillants venus du Zaïre et de la Tanzanie, c'est lui qui devait diriger le Burundi en remplacement de Micombero assassiné par l'insurrection génocidaire des Hutus en 1972. C'est d'ailleurs ce que les Hutus de cette époque ont appelé " La République du Soleil ". Entendez par là que le Soleil brillera quand les tutsis seront littéralement trucidés.
Ce plan macabre visant l'extermination des tutsis a connu un début d'exécution dans le Sud du pays. Des torrents de sang des cadavres tutsis ont jonché à même le sol tout le long du Lac Tanganyika jusqu'à Bujumbura Rural. N'eût été l'intervention de l'armée aux prises avec les rebelles pendant plus de 10 jours, les massacres perpétrés contre les tutsis devaient s'étendre sur tout le territoire national. Des soirées dansantes étaient prévues dans tout le pays.
Dans chaque commune, sur chaque colline de recensement, des centralisateurs étaient fins prêts et tout chaud tout flamme pour en finir avec la race tutsi. Le coup d'envoi tant attendu pour exécuter cette sale besogne devait être donné à 2h du matin du 30 avril 1972.
Hélas pour ces malfaiteurs de tout acabit, il y a eu mésentente et incompréhension salvatrices en faveur des tutsis. À l'instar de l'officier hutu Martien Burasekuye, un parmi les conspirateurs, ayant confondu 20h et 2h du matin pour déclencher les hostilités.
À Rumonge, la mise à exécution du plan Ndayahoze a commencé plus tôt que prévu après le meeting tenu par Albert Shibura, ministre de l'intérieur et de la justice avant le renvoi exhaustif de toute l'équipe gouvernementale à 13h du 29 avril 1972.
Les fonctionnaires tutsis conviés à ce meeting ont tous été tués à la machette. Y compris le grand-frère de Shibura nommé Basumbwa. Les journalistes venus couvrir l'événement sont brûlés vifs avant d'être déchiquetés à l'arme blanche. Leur véhicule sera incendié. Et leurs corps calcinés.
Attaqué, Shibura n'aura la vie sauve que grâce à ses vertus militaires qui l'amèneront à utiliser son arme Kalashinikoff à crosse pliable, cadeau de ses amis cubains. Sain et sauf, il arrivera à Bururi pour alerter le Commandant du Camp et toutes les garnisons du pays. Alerte générale.
Ndayahoze n'était pas né de la dernière pluie. Ce plan savamment et cyniquement étudié n'est pas survenu ex abrupto.
En 1968, il a produit un rapport confidentiel à Micombero écrit dans un sophisme aux allures d'une manœuvre de diversion pour que les regards soient braqués sur Arthémon Simbananiye. Et encore qu'il prend soin de l'accuser au conditionnel dans cette missive devenue un refrain chez les hutus.
Il sied de rappeler que le 18 avril 1968, lorsque Ndayahoze envoie ce rapport à son chef Micombero, Simbananiye croupit en prison à Ngozi. Embastillé et connaissant les conditions carcérales au Burundi, comment pouvait-il ourdir une conspiration d'une telle ampleur ? Qui trompe qui ? Pour qui roule-t-on ? Voilà un détail entre les lignes qui échappe même aux historiens les plus capés tels Jean-Pierre Chrétien, Augustin Nsanze ou l'écrivain Jean-François Dupaquier...... Est-ce une omission volontaire et tactique de leur part pour dissimuler la vérité ?
Il faut dire que Ndayahoze écrivait bien. Très bien. Sa fine plume laisse un goût exquis aux littéraires les plus chevronnés. La forme est excellente. Mais le fond est mensonger. En réalité, c'est en 1968, alors ministre de l'information, qu'il commence à mûrir son plan d'extermination des tutsis.
En 1969, les officiers hutus Charles Karorero, Mathias Bazayuwundi, Nicodème Katariho rentrent de Belgique. Membres de L'ASSEBA (Association des Étudiants Bahutu) et élèves acquis à l'idéologie génocidaire apprise chez les Syndicats Chrétiens Belges.
Frais émoulus de L'École Royale Militaire de Bruxelles, ils réunirent d'autres officiers et civils hutus pour organiser un génocide contre les tutsis en renversant d'abord le régime Micombero.
Ndayahoze est contacté par ces néophytes et refusa de composer avec eux ! Il voyait mal comment des jeunes universitaires et de surcroît formés en Belgique pouvaient s'adjuger le leadership hutu alors qu'il avait fait Saint-Cyr en France. Et venait de passer 4 ans dans l'administration étatique (1965-1969). Plus expérimenté et mieux formé, Ndayahoze refusa d'être sous le commandement de ces "gamins" sortis de Belgique. Les rivalités (École Royale Militaire / Saint-Cyr) y étaient pour beaucoup dans cette mésentente ayant opposé Ndayahoze au groupe Karorero. Voilà pourquoi Ndayahoze a vite dénoncé les comploteurs.
C'était un putsch semblable à celui des hutus tués en 1965 à la différence que celui de 1969 a été étouffé dans l'œuf. Bien avant que le génocide programmé des tutsis n'ait lieu. Tandis qu'en 1965, une grande partie de l'intelligentsia civile et militaire hutu a tenté de renverser le roi Mwambutsa. Et a atrocement tué les tutsis de Bukeye, Kibogoye et Busangana en province de Muramvya. Ce fut le premier génocide des tutsis au Burundi. Les mêmes méthodes d'atrocité seront observées en 1972 : ampalements, crucifixions, découpage du corps à la machette, etc. Femmes, vieillards, enfants, bébés ne seront pas épargnés. Comme au Rwanda en 1959 quand les tutsis ont été sauvagement tués dans une sinistre " Révolution Sociale ".
Les comploteurs de 1969 ont été passés par les armes après enquêtes menées de main de maître par le Procureur Général de la République.
C'est d'ailleurs cette fameuse Révolution Sociale qui donnera des "appétits" (drôle de muse !) aux élites scolarisées hutu du Burundi. Les mêmes causes devaient nécessairement produire les mêmes effets. En 1972, le voisinage de Grégoire Kayibanda du Rwanda explique en partie le génocide programmé des tutsis au Burundi.
Toujours en 1972, lorsque le camp Muha est attaqué par les rebelles, le commandant dudit camp (un tutsi) n'est pas à son poste de commandement. Comme tous les officiers, il est convié au mess des officiers pour festoyer.
Des Libations à n'en pas finir sont prévues dans tout le pays. Y compris les milieux militaires. Phénomène récurrent sous Micombero. Voilà pourquoi les organisateurs de ce plan macabre ont imaginé ce " truc" (permettez ce pantonyme) devenu une habitude sous la première république. Tactique facile à passer inaperçue pour tromper la vigilance des tutsis réputés, à tort ou à raison, être des fêtards.
Lorsque le Commandant du Camp Muha apprend que sa chasse gardée est attaquée, il rebrousse chemin alors qu'il allait au mess et va organiser ses hommes pour la contre-offensive. Quelle vaillance guerrière ! Mieux : il parvient à capturer un parmi les rebelles, les autres ayant été anéantis, et intime l'ordre à ses militaires de ne pas le tuer ! Pour l'interroger afin que les traces de la vérité commencent à se dessiner.
L'assaillent capturé n'y va pas avec le dos de la cuillère pour accuser deux officiers hutus : Harerimana Zacharie et Ndayahoze Martin comme étant leurs chefs. Surtout Ndayahoze présenté comme le chef suprême de ce plan qui hante toujours nos mémoires.
Chez le civil Bubiriza Pascal, une carte hachurée sur laquelle se trouvent les régions à forte concentration tutsi est saisie.
Dans les missions qu'il effectuait à l'étranger pour préparer ce coup fourré, Ndayahoze l'accompagnait souvent. Est-ce le fruit du hasard ? Ces " visites de courtoisie " visaient-elles le développement intégral du Burundi très chère et respectable Rose ?
Je regrette de tout cœur les innocents hutus emportés par la bourrasque lors de la répression.
Mes enquêtes concourent à une conspiration générale hutu dont l'onde de choc devait atteindre toutes les sphères de la vie nationale y compris les écoles secondaires et l'Université du Burundi.
Qu'on ne vous trompe pas : des élèves du secondaire et des universitaires étaient fortement impliqués dans ce coup de boutoir ! D'où les arrestations (parfois abusives) observées à ces endroits.
Mais, je le ressasse, des innocents ont été emportés par ce pogrom ! À TOUTES LES FILLES ET FILS DE CE PAYS, la prégnance de nos interventions doit reposer sur le : " PLUS JAMAIS ÇA ! "
Madame Ndayahoze est priée de mettre fin à ses mensonges. Son seul et plus chagrin réside dans le fait que son mari ait échoué son plan ! Les contre-vérités qui pullulent dans ses écrits ne sont destinées qu'à la consommation étrangère.
Il est grand temps de lui dire à haute et intelligible voix : STOP ROSE NDAYAHOZE !
Un témoin des événements de 1972
Je suis témoin auriculaire et occulaire des tristes événements de 1972. Un parmi mes oncles, miraculé, a jalousement et soigneusement conservé des documents que je détiens. Des cassettes audios et révélatrices de la fine organisation du complot hutu ont été saisies sur les rebelles. Avec tout le respect dû à Rose Ndayahoze, j'ai le regret de l'informer que le nom de son mari revient dans toutes les interventions desdits rebelles.
Accusé de voie de fait par les assaillants venus du Zaïre et de la Tanzanie, c'est lui qui devait diriger le Burundi en remplacement de Micombero assassiné par l'insurrection génocidaire des Hutus en 1972. C'est d'ailleurs ce que les Hutus de cette époque ont appelé " La République du Soleil ". Entendez par là que le Soleil brillera quand les tutsis seront littéralement trucidés.
Ce plan macabre visant l'extermination des tutsis a connu un début d'exécution dans le Sud du pays. Des torrents de sang des cadavres tutsis ont jonché à même le sol tout le long du Lac Tanganyika jusqu'à Bujumbura Rural. N'eût été l'intervention de l'armée aux prises avec les rebelles pendant plus de 10 jours, les massacres perpétrés contre les tutsis devaient s'étendre sur tout le territoire national. Des soirées dansantes étaient prévues dans tout le pays.
Dans chaque commune, sur chaque colline de recensement, des centralisateurs étaient fins prêts et tout chaud tout flamme pour en finir avec la race tutsi. Le coup d'envoi tant attendu pour exécuter cette sale besogne devait être donné à 2h du matin du 30 avril 1972.
Hélas pour ces malfaiteurs de tout acabit, il y a eu mésentente et incompréhension salvatrices en faveur des tutsis. À l'instar de l'officier hutu Martien Burasekuye, un parmi les conspirateurs, ayant confondu 20h et 2h du matin pour déclencher les hostilités.
À Rumonge, la mise à exécution du plan Ndayahoze a commencé plus tôt que prévu après le meeting tenu par Albert Shibura, ministre de l'intérieur et de la justice avant le renvoi exhaustif de toute l'équipe gouvernementale à 13h du 29 avril 1972.
Les fonctionnaires tutsis conviés à ce meeting ont tous été tués à la machette. Y compris le grand-frère de Shibura nommé Basumbwa. Les journalistes venus couvrir l'événement sont brûlés vifs avant d'être déchiquetés à l'arme blanche. Leur véhicule sera incendié. Et leurs corps calcinés.
Attaqué, Shibura n'aura la vie sauve que grâce à ses vertus militaires qui l'amèneront à utiliser son arme Kalashinikoff à crosse pliable, cadeau de ses amis cubains. Sain et sauf, il arrivera à Bururi pour alerter le Commandant du Camp et toutes les garnisons du pays. Alerte générale.
Ndayahoze n'était pas né de la dernière pluie. Ce plan savamment et cyniquement étudié n'est pas survenu ex abrupto.
En 1968, il a produit un rapport confidentiel à Micombero écrit dans un sophisme aux allures d'une manœuvre de diversion pour que les regards soient braqués sur Arthémon Simbananiye. Et encore qu'il prend soin de l'accuser au conditionnel dans cette missive devenue un refrain chez les hutus.
Il sied de rappeler que le 18 avril 1968, lorsque Ndayahoze envoie ce rapport à son chef Micombero, Simbananiye croupit en prison à Ngozi. Embastillé et connaissant les conditions carcérales au Burundi, comment pouvait-il ourdir une conspiration d'une telle ampleur ? Qui trompe qui ? Pour qui roule-t-on ? Voilà un détail entre les lignes qui échappe même aux historiens les plus capés tels Jean-Pierre Chrétien, Augustin Nsanze ou l'écrivain Jean-François Dupaquier...... Est-ce une omission volontaire et tactique de leur part pour dissimuler la vérité ?
Il faut dire que Ndayahoze écrivait bien. Très bien. Sa fine plume laisse un goût exquis aux littéraires les plus chevronnés. La forme est excellente. Mais le fond est mensonger. En réalité, c'est en 1968, alors ministre de l'information, qu'il commence à mûrir son plan d'extermination des tutsis.
En 1969, les officiers hutus Charles Karorero, Mathias Bazayuwundi, Nicodème Katariho rentrent de Belgique. Membres de L'ASSEBA (Association des Étudiants Bahutu) et élèves acquis à l'idéologie génocidaire apprise chez les Syndicats Chrétiens Belges.
Frais émoulus de L'École Royale Militaire de Bruxelles, ils réunirent d'autres officiers et civils hutus pour organiser un génocide contre les tutsis en renversant d'abord le régime Micombero.
Ndayahoze est contacté par ces néophytes et refusa de composer avec eux ! Il voyait mal comment des jeunes universitaires et de surcroît formés en Belgique pouvaient s'adjuger le leadership hutu alors qu'il avait fait Saint-Cyr en France. Et venait de passer 4 ans dans l'administration étatique (1965-1969). Plus expérimenté et mieux formé, Ndayahoze refusa d'être sous le commandement de ces "gamins" sortis de Belgique. Les rivalités (École Royale Militaire / Saint-Cyr) y étaient pour beaucoup dans cette mésentente ayant opposé Ndayahoze au groupe Karorero. Voilà pourquoi Ndayahoze a vite dénoncé les comploteurs.
C'était un putsch semblable à celui des hutus tués en 1965 à la différence que celui de 1969 a été étouffé dans l'œuf. Bien avant que le génocide programmé des tutsis n'ait lieu. Tandis qu'en 1965, une grande partie de l'intelligentsia civile et militaire hutu a tenté de renverser le roi Mwambutsa. Et a atrocement tué les tutsis de Bukeye, Kibogoye et Busangana en province de Muramvya. Ce fut le premier génocide des tutsis au Burundi. Les mêmes méthodes d'atrocité seront observées en 1972 : ampalements, crucifixions, découpage du corps à la machette, etc. Femmes, vieillards, enfants, bébés ne seront pas épargnés. Comme au Rwanda en 1959 quand les tutsis ont été sauvagement tués dans une sinistre " Révolution Sociale ".
Les comploteurs de 1969 ont été passés par les armes après enquêtes menées de main de maître par le Procureur Général de la République.
C'est d'ailleurs cette fameuse Révolution Sociale qui donnera des "appétits" (drôle de muse !) aux élites scolarisées hutu du Burundi. Les mêmes causes devaient nécessairement produire les mêmes effets. En 1972, le voisinage de Grégoire Kayibanda du Rwanda explique en partie le génocide programmé des tutsis au Burundi.
Toujours en 1972, lorsque le camp Muha est attaqué par les rebelles, le commandant dudit camp (un tutsi) n'est pas à son poste de commandement. Comme tous les officiers, il est convié au mess des officiers pour festoyer.
Des Libations à n'en pas finir sont prévues dans tout le pays. Y compris les milieux militaires. Phénomène récurrent sous Micombero. Voilà pourquoi les organisateurs de ce plan macabre ont imaginé ce " truc" (permettez ce pantonyme) devenu une habitude sous la première république. Tactique facile à passer inaperçue pour tromper la vigilance des tutsis réputés, à tort ou à raison, être des fêtards.
Lorsque le Commandant du Camp Muha apprend que sa chasse gardée est attaquée, il rebrousse chemin alors qu'il allait au mess et va organiser ses hommes pour la contre-offensive. Quelle vaillance guerrière ! Mieux : il parvient à capturer un parmi les rebelles, les autres ayant été anéantis, et intime l'ordre à ses militaires de ne pas le tuer ! Pour l'interroger afin que les traces de la vérité commencent à se dessiner.
L'assaillent capturé n'y va pas avec le dos de la cuillère pour accuser deux officiers hutus : Harerimana Zacharie et Ndayahoze Martin comme étant leurs chefs. Surtout Ndayahoze présenté comme le chef suprême de ce plan qui hante toujours nos mémoires.
Chez le civil Bubiriza Pascal, une carte hachurée sur laquelle se trouvent les régions à forte concentration tutsi est saisie.
Dans les missions qu'il effectuait à l'étranger pour préparer ce coup fourré, Ndayahoze l'accompagnait souvent. Est-ce le fruit du hasard ? Ces " visites de courtoisie " visaient-elles le développement intégral du Burundi très chère et respectable Rose ?
Je regrette de tout cœur les innocents hutus emportés par la bourrasque lors de la répression.
Mes enquêtes concourent à une conspiration générale hutu dont l'onde de choc devait atteindre toutes les sphères de la vie nationale y compris les écoles secondaires et l'Université du Burundi.
Qu'on ne vous trompe pas : des élèves du secondaire et des universitaires étaient fortement impliqués dans ce coup de boutoir ! D'où les arrestations (parfois abusives) observées à ces endroits.
Mais, je le ressasse, des innocents ont été emportés par ce pogrom ! À TOUTES LES FILLES ET FILS DE CE PAYS, la prégnance de nos interventions doit reposer sur le : " PLUS JAMAIS ÇA ! "
Madame Ndayahoze est priée de mettre fin à ses mensonges. Son seul et plus chagrin réside dans le fait que son mari ait échoué son plan ! Les contre-vérités qui pullulent dans ses écrits ne sont destinées qu'à la consommation étrangère.
Il est grand temps de lui dire à haute et intelligible voix : STOP ROSE NDAYAHOZE !
Un témoin des événements de 1972