L'ACCORD D'ARUSHA A ETE VICTIME DE SES PROPRES GERMES PRO-GENOCIDAIRES
Burundi Information (le 2 septembre 2018). La semaine qui s'est achevée ce samedi 1er septembre a été dominée par un triste anniversaire, celui de la signature des Accords d'Arusha. Nous disons "triste", car il y a plusieurs raisons de l'appeler ainsi quoiqu'elles varient selon celui qui juge. Certains pleurent Arusha parce qu'il a rendu l'âme sans avoir produit ce qu'il promettait. Chez Burundi Information, nous avons déjà eu à justifier pourquoi le 28 août, date de la signature de l'Accord d'Arusha, est un triste anniversaire (1). Nous constatons que nous n'avions pas tort, étant donné que les mêmes raisons qui ont fait que nous étiquettions cette journée de triste persistent, en même temps que les effets ne cessent de s'accumuler. Il y a aujourd'hui des victimes de cet Accord non seulement dans la classe politique, mais aussi dans la presse dite indépendante, qui continuent à réclamer à cor et à cri la reconduction et le respect de l'Accord d'Arusha tel qu'il a été signé le 28 août 2000. Pour comprendre le pourquoi de la persistance de cette "logique illogique" de lapart des victimes, il faut revisiter la toile de fond de cette tragi-comédie qui commença en mars 1997 à Rome (2) pour se conclure en 2000 en Tanzanie.
C'est en effet le 28e jour du mois d'août 2000 qu'un accord fut signé. Une signature partielle à plusieurs égards, d'abord parce que tous les acteurs qui l'avaient négocié ne l'ont pas signe ce jour ; trois reviendront le signer séparément après des jours de pression de plusieurs sortes. Ensuite parce que même de ceux qui l'avaient signé au jour prévu, la plupart l'ont fait avec moult réserves sur un bon nombre d'articles. Voilà le contexte de production et d'adoption du fameux accord que l'on glorifie comme si c'était une Bible ou un Koran. Voilà pourquoi la plupart des observateurs crédibles comparent l'adoption de ce texte à un médecin se contentant d'administrer un analgésique à un paludéen alors que tout fiévreux qu'il est, le patient a besoin dans ces conditions de la quinine pour guérir du paludisme. Inutile d'ajouter qu'il serait illogique de croire que la maladie va cesser à causer de l'analgésique.
La crise burundaise ayant été causée (et continuant d'être entretenue) par l’idéologie génocidaire, Burundi Information compare les inconditionnels d'Arusha à des chercheurs en parasitologie qui proclament qu’ils veulent éradiquer une maladie tout en gardant à jamais l’agent pathogène dans le corps du patient. L'autre comparaison qui nous tente est celle d'un ordinateur fabriqué avec un défaut de fabrication et qui reproduit la même erreur dans chacune de ses opérations. Une imagerie qui était si chère à Ken Saro Wiwa, écrivain et politicien nigérian exécuté a Port Harcourt (Nigeria) le 10 novemembre 1995 et dont nous allons parler brièvement pour élucider la "logique illogique" d'Arusha. Qu'on ne pense surtout pas que cette histoire est sans connection avec notre Burundi natal qui nous préoccupe continuellement. Tout d'abord, ce politicien nigérian devenu plus tard activiste droit-de-l'hommiste, de même que ses huit compagnons d'infortune, luttaient pour la cause d'une minorité ethnique, les Ogoni. C'est pour cela qu'ils ont été accusés de sédition, jugés au cours d'un procès bidon, déclarés coupables, puis exécutés. Ensuite parce que, même si Ken Saro Wiwa et les huit autres activistes ogoni ont été injustement exécutés, eux au moins ont eu droit à un procès, si inique soi-il --une faveur que plusieurs Tutsi n'auront pas des bénéficiaires de l'Accord d'Arusha. Au moment où Ken Saro Wiwa et ses 8 compagnons d'infortune étaient en prison, le CNDD/FDD fondé par Leonard Nyangoma et divers Jean Minani du CNARED ne faisaient pas de cérémonies pour tuer les tutsi. Les miliciens FDD les surprenaient dans leurs demeures ou les triaient des bus de transport stopés sur les voies publiques, puis les exécutaient froidement sur-le-champ. Bref, au le CNDD/FDD de novembre 1995, si procès il y avait, c'était pour ceux des Hutu qui osaient s'opposer à l'idéologie génocidaire antitutsi que cette organisation leur inculquait de force (3). Occasion de rappeler dans l'entendement de Nyangoma, le chef du CNDD/FDD et “ténor” du CNARED (donc, grand défenseur de l'Accord d'Arusha), pour que la paix règne définitivement sur le Burundi, il fallait que chaque milicien abatte au moins 5 Tutsi (4). Cette horrible directive a été mise a exécution dans plusieurs endroits mais la paix n'a pas régné en corollaire pour. Par contre, c'est sur cette même équation de malheur qui se fondent ceux qui, même aujourd'hui, veulent faire endosser à l'ethnie majoritaire l'idéologie génocidaire qui unit Minani, Nyangoma et les autres descendants de l'organisation UBU qui sont majoritaires au CNARED. Malheureusement, il y en a parmi les Tutsi qui se laissent convaincre que pour être reconnu comme un modéré et politiquement correct, il faut se taire face aux crimes inamnistiables que ces idéologues du génocide ci-haut cités ont commis et qu'ils rêvent toujours de commettre. C'est enfin de grâce à cette confusion que les terroristes génocidaires au pouvoir ont remporté la bataille qui les oppose aux vrais faux opposants qui leur font face depuis 2015.
Entretemps, la bataille pour ou contre Arusha continue. Ou pour faire moins belliqueux, c'est la recherche en pharmacologie (ou plutôt en parasitologie, pour garder l'imagerie utilisée plus haut), qui se poursuit, sauf que ce sont les faux qui rivalisent avec les plus faux. Ce qui compte pour Burundi Information , c'est la triste et immuable vérité sur ces Accords. Si Arusha I n'a pas mis fin au génocide, ce n'est pas Arusha II (que prépare les adeptes, pour ne pas dire les inconditionnels, d'Arusha I, et ce dans Dieu seul sait quel laboratoire) qui va y mettre fin. En termes claires, il ne faut plus appeler key players les véritables géniteurs du monstre génocidaire qu'ils font mine de combattre aujourd'hui. Ce n'est pas non plus en recrutant aux postes de pompiers des pyromanes déjà identifiés que l'on sauvera le pays. Cette remarque est d'autant plus vraie en ces jours ou tous les regards sont inexplicablement rivées vers le CNARED qui en est à sa nième “crise”. Mais celle-ci a au moins un mérite: celle d'avoir ouvert davantage les yeux de ceux qui, jusqu'hier, ne voyaient que de gros avantages dans le CNARED. Or le CNARED n'est qu'un mélange hétérogène “étonnant et détonnant” pour reprendre les propos qu'un des auteurs du même mélange tenait à l'époque où il était dans l'opposition anti-Arusha, la vraie opposition, c'est-à-dire, quand il résistait au déploiement de l'armée d'occupation sud-africaine venue au Burundi avec entre autres missions la protection des terroristes génocidaires impunis.
S'il nous était donné de proposer un alternatif à Arusha pour lesquels les autres versent aujourd'hui des larmes, nous rappellerions d'abord les propos de ce grand homme d'Etat disparu il y a un peu plus de deux ans, le Président Jean-Baptiste Bagaza. C'est lui qui, un jour, a observé que si vous avez préparé un mets aux haricots mais que la préparation tourne mal, ça ne vaut pas la peine de chercher dans la marmite ceux des haricots qui sentiraient le moins mauvais; il faut verser tout le contenu dans le trou à compost quitte à repartir avec de nouveaux ingrédients. Mutatis mutandis, au lieu de se creuser les meninges pour savoir qui est le moins mauvais au CNARED, au lieu de rivaliser de superlatifs sur les blogues ou dans la presse audiovisuelle pour chanter les louanges de cet Accord d'Arusha dont les rejetons vous ont envoyé en exil après avoir brûlé vos installations et fait disparaître certains de vos salariés, il est plus que temps de donner un carton rouge aux terroristes génocidaires et aux ventriotes qui les portent à bout de bras depuis deux longues décennies et qui ont la ruse de mettre le costume d'opposant radical en 2015. Et ceci n'est pas une question d'âge.
C'est vrai qu'il y a des vieux qui se sont compromis jusqu'à la moelle des os, certains pour avoir mangé à tous les râteliers, d'autres pour avoir gardé mordicus leur allégeance aux organisations terroristes. C'est tout aussi vrai qu'il y en a qui ont accepté l'emprisonnement, le chômage, ou l'exil plutôt que se mettre sous les ordres de génocidaires impunis et impénitents. Tout comme il y a des moins vieux qui ont accompagné les organisations terroristes et génocidaires dans leurs exactions sans nom et qui restent honteusement actifs dans la milice Imbonerakure.
C'est à la frange de la jeunesse aux mains propres, ainsi qu'aux moins jeunes qui ne se sont pas compromis en accompagnant les génocidaires, que revient la noble tâche de redresser la nation en offrant une alternative à Arusha (nous interpellons en passant ces "éternels jeunes", ceux-là qui florent ou qui dépassent la quarantaine mais qui affirment sans ciller qu'ils représentent les organisations de jeunes: ne sauraient-ils pas que Nkiri muto ni bwo butindi ou que “Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années”?). C'est à eux qu'il revient de reconnaître d'abord ce qui a empêché l'Accord d'Arusha de fonctionner, à savoir les contradictions qui en faisaient la fondation: jurer vouloir conjurer le génocide et en même temps amnistier les génocidaires avant de leur confier les rênes du pays!
En définitive, ce qu'il faut, c'est identifier ces idées qui tuent ainsi que les vecteurs qui les ont portées et qui les défendent toujours, les bannir et les renvoyer au garage. Ainsi, le Burundi se portera mieux, la sous-région des Grands Lacs Est-africains aussi.(BINFO)
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(1) Triste anniversaire : l'Accord d'Arusha a 17 ans http://www.burundi-information.net/triste-anniversaire-arusha-a-17-ans.html
(2) Accord de San Egidio http://www.burundi-information.net/accords-de-san-egidio-entre-le-cndd-et-buyoya.html
(3) Le Modele des prisons populaires de Mirango ont des origines nazies http://www.burundi-information.net/le-modele-des-prisons-de-mirango-a-ses-origines-dans-l-allemagne-nazie.html
(4)Nyangoma appelle à l'extermination des Tutsi: lettre du 23 novembre 1994 http://www.burundi-information.net/nyangoma-appelle-a-l-extermination-des-tutsi-lettre-du-23-novembre-1994.html
C'est en effet le 28e jour du mois d'août 2000 qu'un accord fut signé. Une signature partielle à plusieurs égards, d'abord parce que tous les acteurs qui l'avaient négocié ne l'ont pas signe ce jour ; trois reviendront le signer séparément après des jours de pression de plusieurs sortes. Ensuite parce que même de ceux qui l'avaient signé au jour prévu, la plupart l'ont fait avec moult réserves sur un bon nombre d'articles. Voilà le contexte de production et d'adoption du fameux accord que l'on glorifie comme si c'était une Bible ou un Koran. Voilà pourquoi la plupart des observateurs crédibles comparent l'adoption de ce texte à un médecin se contentant d'administrer un analgésique à un paludéen alors que tout fiévreux qu'il est, le patient a besoin dans ces conditions de la quinine pour guérir du paludisme. Inutile d'ajouter qu'il serait illogique de croire que la maladie va cesser à causer de l'analgésique.
La crise burundaise ayant été causée (et continuant d'être entretenue) par l’idéologie génocidaire, Burundi Information compare les inconditionnels d'Arusha à des chercheurs en parasitologie qui proclament qu’ils veulent éradiquer une maladie tout en gardant à jamais l’agent pathogène dans le corps du patient. L'autre comparaison qui nous tente est celle d'un ordinateur fabriqué avec un défaut de fabrication et qui reproduit la même erreur dans chacune de ses opérations. Une imagerie qui était si chère à Ken Saro Wiwa, écrivain et politicien nigérian exécuté a Port Harcourt (Nigeria) le 10 novemembre 1995 et dont nous allons parler brièvement pour élucider la "logique illogique" d'Arusha. Qu'on ne pense surtout pas que cette histoire est sans connection avec notre Burundi natal qui nous préoccupe continuellement. Tout d'abord, ce politicien nigérian devenu plus tard activiste droit-de-l'hommiste, de même que ses huit compagnons d'infortune, luttaient pour la cause d'une minorité ethnique, les Ogoni. C'est pour cela qu'ils ont été accusés de sédition, jugés au cours d'un procès bidon, déclarés coupables, puis exécutés. Ensuite parce que, même si Ken Saro Wiwa et les huit autres activistes ogoni ont été injustement exécutés, eux au moins ont eu droit à un procès, si inique soi-il --une faveur que plusieurs Tutsi n'auront pas des bénéficiaires de l'Accord d'Arusha. Au moment où Ken Saro Wiwa et ses 8 compagnons d'infortune étaient en prison, le CNDD/FDD fondé par Leonard Nyangoma et divers Jean Minani du CNARED ne faisaient pas de cérémonies pour tuer les tutsi. Les miliciens FDD les surprenaient dans leurs demeures ou les triaient des bus de transport stopés sur les voies publiques, puis les exécutaient froidement sur-le-champ. Bref, au le CNDD/FDD de novembre 1995, si procès il y avait, c'était pour ceux des Hutu qui osaient s'opposer à l'idéologie génocidaire antitutsi que cette organisation leur inculquait de force (3). Occasion de rappeler dans l'entendement de Nyangoma, le chef du CNDD/FDD et “ténor” du CNARED (donc, grand défenseur de l'Accord d'Arusha), pour que la paix règne définitivement sur le Burundi, il fallait que chaque milicien abatte au moins 5 Tutsi (4). Cette horrible directive a été mise a exécution dans plusieurs endroits mais la paix n'a pas régné en corollaire pour. Par contre, c'est sur cette même équation de malheur qui se fondent ceux qui, même aujourd'hui, veulent faire endosser à l'ethnie majoritaire l'idéologie génocidaire qui unit Minani, Nyangoma et les autres descendants de l'organisation UBU qui sont majoritaires au CNARED. Malheureusement, il y en a parmi les Tutsi qui se laissent convaincre que pour être reconnu comme un modéré et politiquement correct, il faut se taire face aux crimes inamnistiables que ces idéologues du génocide ci-haut cités ont commis et qu'ils rêvent toujours de commettre. C'est enfin de grâce à cette confusion que les terroristes génocidaires au pouvoir ont remporté la bataille qui les oppose aux vrais faux opposants qui leur font face depuis 2015.
Entretemps, la bataille pour ou contre Arusha continue. Ou pour faire moins belliqueux, c'est la recherche en pharmacologie (ou plutôt en parasitologie, pour garder l'imagerie utilisée plus haut), qui se poursuit, sauf que ce sont les faux qui rivalisent avec les plus faux. Ce qui compte pour Burundi Information , c'est la triste et immuable vérité sur ces Accords. Si Arusha I n'a pas mis fin au génocide, ce n'est pas Arusha II (que prépare les adeptes, pour ne pas dire les inconditionnels, d'Arusha I, et ce dans Dieu seul sait quel laboratoire) qui va y mettre fin. En termes claires, il ne faut plus appeler key players les véritables géniteurs du monstre génocidaire qu'ils font mine de combattre aujourd'hui. Ce n'est pas non plus en recrutant aux postes de pompiers des pyromanes déjà identifiés que l'on sauvera le pays. Cette remarque est d'autant plus vraie en ces jours ou tous les regards sont inexplicablement rivées vers le CNARED qui en est à sa nième “crise”. Mais celle-ci a au moins un mérite: celle d'avoir ouvert davantage les yeux de ceux qui, jusqu'hier, ne voyaient que de gros avantages dans le CNARED. Or le CNARED n'est qu'un mélange hétérogène “étonnant et détonnant” pour reprendre les propos qu'un des auteurs du même mélange tenait à l'époque où il était dans l'opposition anti-Arusha, la vraie opposition, c'est-à-dire, quand il résistait au déploiement de l'armée d'occupation sud-africaine venue au Burundi avec entre autres missions la protection des terroristes génocidaires impunis.
S'il nous était donné de proposer un alternatif à Arusha pour lesquels les autres versent aujourd'hui des larmes, nous rappellerions d'abord les propos de ce grand homme d'Etat disparu il y a un peu plus de deux ans, le Président Jean-Baptiste Bagaza. C'est lui qui, un jour, a observé que si vous avez préparé un mets aux haricots mais que la préparation tourne mal, ça ne vaut pas la peine de chercher dans la marmite ceux des haricots qui sentiraient le moins mauvais; il faut verser tout le contenu dans le trou à compost quitte à repartir avec de nouveaux ingrédients. Mutatis mutandis, au lieu de se creuser les meninges pour savoir qui est le moins mauvais au CNARED, au lieu de rivaliser de superlatifs sur les blogues ou dans la presse audiovisuelle pour chanter les louanges de cet Accord d'Arusha dont les rejetons vous ont envoyé en exil après avoir brûlé vos installations et fait disparaître certains de vos salariés, il est plus que temps de donner un carton rouge aux terroristes génocidaires et aux ventriotes qui les portent à bout de bras depuis deux longues décennies et qui ont la ruse de mettre le costume d'opposant radical en 2015. Et ceci n'est pas une question d'âge.
C'est vrai qu'il y a des vieux qui se sont compromis jusqu'à la moelle des os, certains pour avoir mangé à tous les râteliers, d'autres pour avoir gardé mordicus leur allégeance aux organisations terroristes. C'est tout aussi vrai qu'il y en a qui ont accepté l'emprisonnement, le chômage, ou l'exil plutôt que se mettre sous les ordres de génocidaires impunis et impénitents. Tout comme il y a des moins vieux qui ont accompagné les organisations terroristes et génocidaires dans leurs exactions sans nom et qui restent honteusement actifs dans la milice Imbonerakure.
C'est à la frange de la jeunesse aux mains propres, ainsi qu'aux moins jeunes qui ne se sont pas compromis en accompagnant les génocidaires, que revient la noble tâche de redresser la nation en offrant une alternative à Arusha (nous interpellons en passant ces "éternels jeunes", ceux-là qui florent ou qui dépassent la quarantaine mais qui affirment sans ciller qu'ils représentent les organisations de jeunes: ne sauraient-ils pas que Nkiri muto ni bwo butindi ou que “Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années”?). C'est à eux qu'il revient de reconnaître d'abord ce qui a empêché l'Accord d'Arusha de fonctionner, à savoir les contradictions qui en faisaient la fondation: jurer vouloir conjurer le génocide et en même temps amnistier les génocidaires avant de leur confier les rênes du pays!
En définitive, ce qu'il faut, c'est identifier ces idées qui tuent ainsi que les vecteurs qui les ont portées et qui les défendent toujours, les bannir et les renvoyer au garage. Ainsi, le Burundi se portera mieux, la sous-région des Grands Lacs Est-africains aussi.(BINFO)
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(1) Triste anniversaire : l'Accord d'Arusha a 17 ans http://www.burundi-information.net/triste-anniversaire-arusha-a-17-ans.html
(2) Accord de San Egidio http://www.burundi-information.net/accords-de-san-egidio-entre-le-cndd-et-buyoya.html
(3) Le Modele des prisons populaires de Mirango ont des origines nazies http://www.burundi-information.net/le-modele-des-prisons-de-mirango-a-ses-origines-dans-l-allemagne-nazie.html
(4)Nyangoma appelle à l'extermination des Tutsi: lettre du 23 novembre 1994 http://www.burundi-information.net/nyangoma-appelle-a-l-extermination-des-tutsi-lettre-du-23-novembre-1994.html