LE SALUT DU BURUNDI NE VIENDRA JAMAIS DES FRONDEURS DD
Burundi Information (le 23 juillet 2016). Qu’il est ahurissant de constater les ravages causés par la chanson en vogue depuis un certain temps: la lutte contre le troisième mandat de Pierre Nkurunziza. Cela fait 16 mois qu’on entend que cela, avec pour tout effet (a) la montée en côte des terroristes génocidaires, (b) le recul du mouvement anti-génocide, avec en prime, (c) le renforcement du régime du criminel Pierre Nkurunziza.
Enseigner étant l’art de se répéter sans jamais se fatiguer, nous reprendrons volontiers nos enseignements de toujours: il est contre-productif de chercher le remplacement d’un génocidaire par un autre, et il est illogique de confier la tâche de disqualification d’un président génocidaires à des génocidaires impunis et impénitents; il ne faut pas faire du Nkurunziza sans Nkurunziza; en termes accessibles aux non Burundais, “même la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu'elle a”.
On ne le dira jamais assez, avant d'être frondeurs, les divers Rufyikiri Gervais, Ntavyohanyuma Pie, Nduwimana Onésime, Hatungimana Léonidas, l’infortuné Nyangoma Léonard, Minani Jean, Niyonkuru Anicet, … pour ne citer que les plus connus, étaient tous au service du régime génocidaire qu’ils prétendent combattre aujourd’hui. La plupart d'entre eux étaient très haut placés dans ce système génocidaire CNDD-FDD dont vous espérez d'eux le démantèlement alors qu'ils rêvent de mieux l'asseoir.
Chers compatriotes qui n’avez commis aucun crime, qui êtes les plus nombreux et sur qui devraient reposer la prospérité, l’avenir tout court, de notre cher Burundi; quelle mouche vous a piqués? Comment-pouvez chercher des courges dans un champ de manioc? Murondera amata mu matako y’igihori. Chez Burundi Information, même en essayant comme vous, de trouver de bons points auprès de vos nouvelles trouvailles de frondeur, il nous a été quasi impossible de leur trouver des attributs dignes d’un mandataire public. Pourtant, nous les jugeons le plus objectivement qui soit par par leurs actes et leurs paroles – et leurs écrits pour ceux qui en ont produit, car il y en a parmi eux dont le seul “mérite” est celui d’avoir massacré des civils sans défense; ou d'autres comme Manassé Nzobonimpa qui sont entrés dans l'histoire en endossant l’enlèvement d'un êveque, ce qui n’empêchera pas que le jour de l’investiture de l’immoralité génocidaire dd le 26 août 2005, entre autres bénédictions religieuses que ces hors-la-loi recevrront indûment, il y avait celles de l’Eglise Romaine dite Catholique!
Nous aurions aimé dire des mots un peu plus tendres envers vos nouveaux partenaires dans cette alliance contre nature. D’autant plus qu’il y a parmi vous, des frères, des soeurs, voire des alliés qui, jusque très récemment encore, juraient que rien ne saurait les jeter dans le lit frangeux d’un pouvoir génocidaire, mais qui, par les temps qui courent, rivalisent d’ingéniosité pour leur faire le lit. Hélas, tout ce que nous trouvons chez vos nouveaux alliés frondeurs, c’est un dossier pour la CPI, un chapelet de faits prévus et punis par le droit pénal international.
La responsabilité pénale étant individuelle, il n’est pas exclu que quand le tribunal penal international pour le Burundi siègera enfin, vous ayez à comparaitre comme complice des criminels contre l’humanité. Soyez donc prêts à en répondre. C’est un fait connu aujour’hui, même au delà de vos cercles, que votre refrain est “les génocidaires qui constituent la fronde CNDD-FDD ont changé, qu’ils ont évolué, qu’ils vont changer, etc. Même si “Un ours bien dressé reste un ours” (proverbe tatare), vos ours à vous n’ont jamais été dressés. On dirait plutôt que c’est vous qui vous confiez à des ours pour qu’ils vous dressent. On se demande si vous vous rendez compte que cela est impossible. En tout cas, chez Burundi Information, nous sommes choqués de voir que des humains se mettent à l’école des bêtes sauvages. Et nous ne sommes pas les seuls à l’être.
Eric Blair dit Georges Orwell, doit se retourner dans sa tombe, lui qui, déjà en 1944, avertisait les humains qui se confiaient à des cochons, finissent par leur ressembler. Il sera d’ailleurs relayé plusieurs années après par un descendant d’esclaves africains qui a réussi à se hisser jusqu’à la troisième place la plus élevée dans l’exécutif de la première puissance du monde: "si tu joues avec un cochon, c’est le cochon qui s’amuse, tu ne fais que te salir , à moins que tu ne sois plus cochon que lui". C’est en effet pour des déviants comme nos frères et soeurs qui misent sur les génocidaires, que Colin Powell, ancien Secretaire d’État étatusien et général d’armée (un vrai, pas comme vos 3G ou généraux génériques génocidaires qui, bénéficiant de vos largesses inconséquentes, se sont vus décerner ce grade alors que leur génie militaire se limite au au massacre des rescapés de Bugendana dont nous commémorons d'ailleurs aujourd'hui les obsèques pour la 20e fois), a écrit ces mots.
En ce qui nous concerne, ne vous prevenons d’avance. Le jour où vous vous rendrez compte tardivement que vous avez suivi des voies qui n’aboutissent pas, ne revenez pas verser des “larmes de cochon” comme quoi “Mwahenzwe”. Car vous n'ignorerez pas qu'avant et pendant que “muhendwa”, nous étions toujours là, vous rappelant sans cesse que puisque que la peine de mort n’est plus usitée, la place d’un génocidaire est en prison; jamais au Gouvernement, à la Vice Présidence ou à la Présidence, au Parlement. Occasion de vous mettre encore une fois devant vos responsabilités quans vous placez à la tête de de ce Conseil où se côtoient justement les génocidaires et leurs complices d’hier auxquels s’ajoutent progressivement de nouveaux complices d’un autre genre: des (vrais) rescapés du genocide qui viennent d’apprendre et fair leur, le refrain en vogue depuis une année: “il faut travailler avec tout le monde qui est opposé au troisième mandat de Pierre Nkurunziza; tout le monde signifiant les génocidaires, cochons, (et) sotte espèce (ajouterait Jean de La Fontaine). Du déjà vu, quoi; car avant eux, d’autres avaient justifié leurs défections vers la mangeoire DD par des slogans semblables: “il faut progresser, il ne faut pas se marginaliser, il ne faut pas se mettre à l’écart", etc., comme si l’ultime objectif était un rapprochement avec les plus répugnants des criminels contre l’humanité.
Nous ne voudrions pas passer pour des oiseaux de mauvaise augure, mais jusqu’à date, tout semble en branle, quoique lentement pour le moment, pour que, bientôt, on remplace le génocidaire Pierre Nkurunziza qui Préside indûment aux destinées du Burundi, par un autre génocidaire; ou par le promoteur de longue date de ces mêmes criminels contre l’humanité qui endeuillent impunément notre pays depuis 1988. Nos pronostics antérieurs en la matière s’étant toujours confirmés, nous aimerions nous tromper cette fois. D’où nous prions notre Imana (Rugiravyose, Macumu, na Kabando), que nos craintes par rapport à ce que nous observons depuis un certain temps entre les “cochons (génocidaires) et les humains” sur trois continents bien précis (Afrique, Amerique du Nord, et Europe), ne se réalisent. Et si elles s’avéraient fondées, nous nous consolerons en répétant à nous même et aux autres qui nous suivent, ces mots de la sagesse mutliséculaire rundi:
- Mbe Nyawamama aho vyayangara wari he?
- Nariko namama uku nyene. (BINFO)
Lire aussi:
- CNARED: il ne faut pas faire du Nkurunziza sans Nkurunziza http://burundi-information.net/les-arushiens-qui-ont-promu-peter-nkurunziza-nont-aucune-lecon-a-donner.html
Enseigner étant l’art de se répéter sans jamais se fatiguer, nous reprendrons volontiers nos enseignements de toujours: il est contre-productif de chercher le remplacement d’un génocidaire par un autre, et il est illogique de confier la tâche de disqualification d’un président génocidaires à des génocidaires impunis et impénitents; il ne faut pas faire du Nkurunziza sans Nkurunziza; en termes accessibles aux non Burundais, “même la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu'elle a”.
On ne le dira jamais assez, avant d'être frondeurs, les divers Rufyikiri Gervais, Ntavyohanyuma Pie, Nduwimana Onésime, Hatungimana Léonidas, l’infortuné Nyangoma Léonard, Minani Jean, Niyonkuru Anicet, … pour ne citer que les plus connus, étaient tous au service du régime génocidaire qu’ils prétendent combattre aujourd’hui. La plupart d'entre eux étaient très haut placés dans ce système génocidaire CNDD-FDD dont vous espérez d'eux le démantèlement alors qu'ils rêvent de mieux l'asseoir.
Chers compatriotes qui n’avez commis aucun crime, qui êtes les plus nombreux et sur qui devraient reposer la prospérité, l’avenir tout court, de notre cher Burundi; quelle mouche vous a piqués? Comment-pouvez chercher des courges dans un champ de manioc? Murondera amata mu matako y’igihori. Chez Burundi Information, même en essayant comme vous, de trouver de bons points auprès de vos nouvelles trouvailles de frondeur, il nous a été quasi impossible de leur trouver des attributs dignes d’un mandataire public. Pourtant, nous les jugeons le plus objectivement qui soit par par leurs actes et leurs paroles – et leurs écrits pour ceux qui en ont produit, car il y en a parmi eux dont le seul “mérite” est celui d’avoir massacré des civils sans défense; ou d'autres comme Manassé Nzobonimpa qui sont entrés dans l'histoire en endossant l’enlèvement d'un êveque, ce qui n’empêchera pas que le jour de l’investiture de l’immoralité génocidaire dd le 26 août 2005, entre autres bénédictions religieuses que ces hors-la-loi recevrront indûment, il y avait celles de l’Eglise Romaine dite Catholique!
Nous aurions aimé dire des mots un peu plus tendres envers vos nouveaux partenaires dans cette alliance contre nature. D’autant plus qu’il y a parmi vous, des frères, des soeurs, voire des alliés qui, jusque très récemment encore, juraient que rien ne saurait les jeter dans le lit frangeux d’un pouvoir génocidaire, mais qui, par les temps qui courent, rivalisent d’ingéniosité pour leur faire le lit. Hélas, tout ce que nous trouvons chez vos nouveaux alliés frondeurs, c’est un dossier pour la CPI, un chapelet de faits prévus et punis par le droit pénal international.
La responsabilité pénale étant individuelle, il n’est pas exclu que quand le tribunal penal international pour le Burundi siègera enfin, vous ayez à comparaitre comme complice des criminels contre l’humanité. Soyez donc prêts à en répondre. C’est un fait connu aujour’hui, même au delà de vos cercles, que votre refrain est “les génocidaires qui constituent la fronde CNDD-FDD ont changé, qu’ils ont évolué, qu’ils vont changer, etc. Même si “Un ours bien dressé reste un ours” (proverbe tatare), vos ours à vous n’ont jamais été dressés. On dirait plutôt que c’est vous qui vous confiez à des ours pour qu’ils vous dressent. On se demande si vous vous rendez compte que cela est impossible. En tout cas, chez Burundi Information, nous sommes choqués de voir que des humains se mettent à l’école des bêtes sauvages. Et nous ne sommes pas les seuls à l’être.
Eric Blair dit Georges Orwell, doit se retourner dans sa tombe, lui qui, déjà en 1944, avertisait les humains qui se confiaient à des cochons, finissent par leur ressembler. Il sera d’ailleurs relayé plusieurs années après par un descendant d’esclaves africains qui a réussi à se hisser jusqu’à la troisième place la plus élevée dans l’exécutif de la première puissance du monde: "si tu joues avec un cochon, c’est le cochon qui s’amuse, tu ne fais que te salir , à moins que tu ne sois plus cochon que lui". C’est en effet pour des déviants comme nos frères et soeurs qui misent sur les génocidaires, que Colin Powell, ancien Secretaire d’État étatusien et général d’armée (un vrai, pas comme vos 3G ou généraux génériques génocidaires qui, bénéficiant de vos largesses inconséquentes, se sont vus décerner ce grade alors que leur génie militaire se limite au au massacre des rescapés de Bugendana dont nous commémorons d'ailleurs aujourd'hui les obsèques pour la 20e fois), a écrit ces mots.
En ce qui nous concerne, ne vous prevenons d’avance. Le jour où vous vous rendrez compte tardivement que vous avez suivi des voies qui n’aboutissent pas, ne revenez pas verser des “larmes de cochon” comme quoi “Mwahenzwe”. Car vous n'ignorerez pas qu'avant et pendant que “muhendwa”, nous étions toujours là, vous rappelant sans cesse que puisque que la peine de mort n’est plus usitée, la place d’un génocidaire est en prison; jamais au Gouvernement, à la Vice Présidence ou à la Présidence, au Parlement. Occasion de vous mettre encore une fois devant vos responsabilités quans vous placez à la tête de de ce Conseil où se côtoient justement les génocidaires et leurs complices d’hier auxquels s’ajoutent progressivement de nouveaux complices d’un autre genre: des (vrais) rescapés du genocide qui viennent d’apprendre et fair leur, le refrain en vogue depuis une année: “il faut travailler avec tout le monde qui est opposé au troisième mandat de Pierre Nkurunziza; tout le monde signifiant les génocidaires, cochons, (et) sotte espèce (ajouterait Jean de La Fontaine). Du déjà vu, quoi; car avant eux, d’autres avaient justifié leurs défections vers la mangeoire DD par des slogans semblables: “il faut progresser, il ne faut pas se marginaliser, il ne faut pas se mettre à l’écart", etc., comme si l’ultime objectif était un rapprochement avec les plus répugnants des criminels contre l’humanité.
Nous ne voudrions pas passer pour des oiseaux de mauvaise augure, mais jusqu’à date, tout semble en branle, quoique lentement pour le moment, pour que, bientôt, on remplace le génocidaire Pierre Nkurunziza qui Préside indûment aux destinées du Burundi, par un autre génocidaire; ou par le promoteur de longue date de ces mêmes criminels contre l’humanité qui endeuillent impunément notre pays depuis 1988. Nos pronostics antérieurs en la matière s’étant toujours confirmés, nous aimerions nous tromper cette fois. D’où nous prions notre Imana (Rugiravyose, Macumu, na Kabando), que nos craintes par rapport à ce que nous observons depuis un certain temps entre les “cochons (génocidaires) et les humains” sur trois continents bien précis (Afrique, Amerique du Nord, et Europe), ne se réalisent. Et si elles s’avéraient fondées, nous nous consolerons en répétant à nous même et aux autres qui nous suivent, ces mots de la sagesse mutliséculaire rundi:
- Mbe Nyawamama aho vyayangara wari he?
- Nariko namama uku nyene. (BINFO)
Lire aussi:
- CNARED: il ne faut pas faire du Nkurunziza sans Nkurunziza http://burundi-information.net/les-arushiens-qui-ont-promu-peter-nkurunziza-nont-aucune-lecon-a-donner.html