COMMENT DELPHES SHIMRIM PERDIT SON POSTE DE CHEF DU SERVICE DE RENSEIGNEMENTS
Burundi Information (le 26 janvier 2015). AVERTISSEMENT: Toute ressemblance de près ou de loin, entre ce récit fictif et une situation connue, récente ou ancienne, n’est que le produit d’une pure coïncidence
L’histoire se passe au début du 22e siècle entre deux pays voisins, le Royaume du Bornéo et la République du Rawondi. Depuis plusieurs années, le Chef du Service Royal de Renseignements du Bornéo s’appelle est Delphes Shimrim, un ancien pousseur devenu général par un bien malheureux accident de l’histoire. Il est connu de tous les sujets de Sa Majesté, Pater Kulziz (que certains appellent "Sa Machette" d'autres "Sa Matraque"), que le chef des renseignements garde de par ses origines, un tel complexe d’infériorité que pour se sentir suffisamment, il s’est assigné personnellement la mission de coucher avec le maximum possible des femmes du groupe social (autre que celui du pousseur devenu général) considéré à tort ou à raison, d’avoir les plus belles femmes du monde. Selon cette même légende urbaine, c’est surtout celles originaires du voisin du Borneo, le Rawondi, qui attireraient le plus le général Delphes Shimrim.
La faiblesse que le général Delphes Shimrim a pour le deuxième sexe était déjà connue dans l’entourage du Président Raul Keggan, Président du Rawondi, qui a toujours souhaité savoir ce qui se trame chez son voisin, le Borneo. Et pour cause, depuis quelques années, il se raconte que cette monarchie autocratique entretiendrait les milices transfrontalières qui de temps à autre, frappent aussi bien au Borneo qu’au Rawondi. Un jour donc, une tête pensante dans la cellule du President Raul Keggan suggéra d’envoyer au Bornéo un quartet de jeunes femmes plus belles les unes que les autres avec pour mission de séduire Chef du Service Royal de Renseignements du Bornéo, lui soutirer le maximum d’informations et si possible, lui prendre des données. C’est ainsi qu’un soir du mois de janvier en 2115 une belle voiture arrive devant le bar restaurant appartenant à Delphes Shimrim. Les serveurs du bar dont une bonne moitié travaille à la fois comme informateurs et comme rabatteurs de « gibier » pour le chef des renseignements, notèrent cette présence. Vite, un d’entre eux appella Delphes Shimrim et de facon codé, lui met au courant de cette arrivée. Moins de 15 minutes plus tard, Delphes Shimrim arriva et s’installa non pas dans son coin favori ; il alla tout droit à la table où se trouvait le groupe de jeunes femmes. Arborant ce qu’il croit être son plus beau sourire en dépit de sa denture plus qu’execrable, Delphes Shimrim salua les belles Rawondaises. Ces dernières se mirent vite, elles aussi, au travail. La principale des espionnes lui fit les yeux doux, et après deux verres de whisky (c’est la boisson préférée de Delphes Shmirim qui la consomme parfois au petit-déjeuner), le chef des renseignements du Borneo qui commença à tâter les belles cuisses de la Rawondaise. La femme ne se fit pas trop prier, du coup elle demanda au faux général s’ils ne pourraient pas se retirer seuls dans une chambre pour passer aux choses plus sérieuses. Aussitôt demandée, aussitôt accordée.
La belle femme feignant d’aller aux toilettes, enduit ses seins d’un sédatif très fort, revint vite, et se planta devant Delphes Shimrim, qu’elle caressa la tête, les oreilles, le visage, etc. Le Chef du Service Royal Renseignements du Borneo se mit à déboutonner la chemise de la Rawondaise, qui le supplia de lui sucer les mamelons. A peine eût-il mis sa langue sur la pointe des seins de la Rawondaise que Delphes Shimrim, sombra dans une léthargie sans égal. L’espionne rawondaise ne perdit pas une minute. Elle examina la chambre à coucher du faux général mais ne trouva rien d’important à emporter. Mais en regardant de près une photo géante de Delphes Shimrim, elle réalisa qu’elle cachait une porte donnant à une autre chambre. Et qu’y avait-il? Des appareils émetteurs-récepteurs dernier cri et des ordinateurs. Incapable de porter avec elle ces installations radio, elle s’empara de deux laptops qu’elle glissa dans son gros sac à main. Avant de quitter la chambre, elle dépouilla le séducteur malheureux de ses deux téléphones cellulaires. Puis, elle prit les clefs de la chambre qu’elle ferma à double tour, laissant dans un état comateux le tout puissant chef des espions devenu plus faible que Samson dans les bras de Delila.
La Rawondaise alla à la table où l’attendaient ses compatriotes depuis quelques 45 minutes. En une grimace codée, elle communiqua la réussite de la première partie de la mission. Elles demandèrent l’addition, payèrent en laissant un pourboire de grandeur royale, puis se dirigèrent vers leur voiture. Mais les gardes de Delphes Shimrim tenaient à offrir à ces amazones rawondaises les mêmes faveurs que leur patron réserve aux nombreuses femmes qu’il se tape. C’est ainsi que les Rawondaises furent escortées par deux jeeps du Département des Opérations Spéciales du Service Royal des Renseignements. Jusqu’à la frontière de leur pays.
Arrivées de l’autre côté de la frontière, les amazones rawondaises redoublèrent de vitesse et en deux heures, furent dans la ville de Likagi, la capitale rawondaise. Et se dirigèrent directement au domicile du président. Bref rapport verbal, remise du butin et retrait. La mission aura duré en tout et pour tout 5 heures. Cinq heures seulement pour endormir le chef des espions d’un pays et lui soutirer des informations très sensibles pour ne pas dire d’une importance capitale. Etaient consignés en effet dans les laptops, entre autres secrets, les détails du recrutement, de l’entraînement, et du ravitaillement des milices que le Service Royal des Renseignements du Bornéo entretenait dans un autre pays voisin. Il y avait aussi le plan de leur déploiement notamment au Rawondi. En dressant cette milice, le Service Royal des Renseignements du Bornéo avait, entre autres objectifs, de provoquer une guerre sous-régionale. A court terme, celle-ci permettrait à l’autocrate Pater Kulziz, souverrain du Borneo, de gagner encore quelques années au pouvoir et ainsi repousser un peu plus le très probable déferrement devant la justice internationale pour répondre de son passé de chef de milice.
Pendant que la cellule rawondaise chargée du contre-espionnage célébrait cette cueillette inespérée, au Bornéo, c’etait l’énervement. Qui céda vite à la panique. En effet, avant de succomber aux charmes puis à la potion sédative de la Rawondaise, Delphes Shimrim avait pris rendez-vous pour l’apres-midi avec le Roi Pater Kulziz. C’est ainsi que ce dernier ce demandait comment son chef des renseignements pouvait accuser un retard de deux heures à une rencontre qu’il avait sollicitée et ne pas envoyer ne serait-ce qu’un foutu texto. Et Pater Kulziz de prendre le téléphone et de composer le 66, le code numéro du Chef du Service Royal des Renseignements:
- Allo Delphes, où es-tu?
Pater Kulziz entendit une voix familière, mais pas celle de Delphes Shimrim, lui repondre avec un fort accent rawondais :
- Allo, ce n’est pas Delphes, dit la voix.
- Au nom des machettes sacrées qui nous ont installés au pouvoir, cesse cette comédie, Delphes, où es-tu ?
- Mais je te dis que je ne suis pas Delphes
- Qui es-tu alors?
- Je suis Raul Keggan, le Président du Rawondi!
- Par tous les gourdins cloutés et les petites houes du combattant !!! Je suis foutu…
- Non, non, tu n’es pas foutu, Pater Kulziz, ou plutôt, tu n’es pas encore foutu. Tu te souviens combien de fois je t’ai dit que tu t’entoures d’incompétents ? Comment peux-tu confier un service aussi sensible que la sûreté à un illettré? Quel autre chef des renseignements que ton Delphes Shimrim, se ferait dépouiller jusqu’au téléphone cellulaire, par une pute inconnue?
Ecoute, tu ferais mieux de virer cette brute. Cela pourrait te limiter les dégâts. Pour le moment du moins. En attendant que nous terminions l’analyse du colis que ton fameux général nous a envoyé en plus de ses deux cellulaires. Nous aurons à vérifier si vous étiez de mêche avec lui dans l’entretien de cette milice que vous contiez lancer sur notre pays. Si cela se confirme, tu auras à répondre personnellement de ce geste, tu nous connais suffisamment, « You cannot harm Rawondi and get away with it »…
C’est à peine que Pater Kulziz le Roi du Borneo, eut les forces de balbutier un au revoir à peine intelligible. Connaissant parfaitement son voisin. Une telle remarque, dite en anglais de surcroit, avait tout son poids.
Pater Kulziz envoya ces hommes de confiance chercher Delphes Shimrim avec comme message de se présenter presto illico à la Cour Royale. Arrivée chez Delphes Shimrim, la partie toqua plusieurs fois sur sa porte, sans jamais obtenir de réponse. Après avoir informé le monarque de la situation, celui-ci leur donna le feu vert de défoncer la porte. Ils trouvèrent Delphes Shimrim profondément endormi avec son pantalon à moitié déboutonné et légèrement descendu. Ils lui chuchotèrent à l’oreille, puis crièrent, puis le secouèrent, et enfin le pincèrent aux endroits les plus sensibles -- mais sans jamais provoquer la moindre réaction. Il lui faudra encore 6 heures pour se réveiller, car le sédatif employé pour l’endormir dure 12 heures.
Quelques jours plus tard, la nouvelle la plus inattendue était lue sur les ondes de la station de Radiodiffusion Royale du Bornéo : après plusieurs années (de services qui n’étaient ni bons ni loyaux) Delphes Shimrim était remplacé de son poste de Chef du Service Royal de Renseignements…
L’histoire se passe au début du 22e siècle entre deux pays voisins, le Royaume du Bornéo et la République du Rawondi. Depuis plusieurs années, le Chef du Service Royal de Renseignements du Bornéo s’appelle est Delphes Shimrim, un ancien pousseur devenu général par un bien malheureux accident de l’histoire. Il est connu de tous les sujets de Sa Majesté, Pater Kulziz (que certains appellent "Sa Machette" d'autres "Sa Matraque"), que le chef des renseignements garde de par ses origines, un tel complexe d’infériorité que pour se sentir suffisamment, il s’est assigné personnellement la mission de coucher avec le maximum possible des femmes du groupe social (autre que celui du pousseur devenu général) considéré à tort ou à raison, d’avoir les plus belles femmes du monde. Selon cette même légende urbaine, c’est surtout celles originaires du voisin du Borneo, le Rawondi, qui attireraient le plus le général Delphes Shimrim.
La faiblesse que le général Delphes Shimrim a pour le deuxième sexe était déjà connue dans l’entourage du Président Raul Keggan, Président du Rawondi, qui a toujours souhaité savoir ce qui se trame chez son voisin, le Borneo. Et pour cause, depuis quelques années, il se raconte que cette monarchie autocratique entretiendrait les milices transfrontalières qui de temps à autre, frappent aussi bien au Borneo qu’au Rawondi. Un jour donc, une tête pensante dans la cellule du President Raul Keggan suggéra d’envoyer au Bornéo un quartet de jeunes femmes plus belles les unes que les autres avec pour mission de séduire Chef du Service Royal de Renseignements du Bornéo, lui soutirer le maximum d’informations et si possible, lui prendre des données. C’est ainsi qu’un soir du mois de janvier en 2115 une belle voiture arrive devant le bar restaurant appartenant à Delphes Shimrim. Les serveurs du bar dont une bonne moitié travaille à la fois comme informateurs et comme rabatteurs de « gibier » pour le chef des renseignements, notèrent cette présence. Vite, un d’entre eux appella Delphes Shimrim et de facon codé, lui met au courant de cette arrivée. Moins de 15 minutes plus tard, Delphes Shimrim arriva et s’installa non pas dans son coin favori ; il alla tout droit à la table où se trouvait le groupe de jeunes femmes. Arborant ce qu’il croit être son plus beau sourire en dépit de sa denture plus qu’execrable, Delphes Shimrim salua les belles Rawondaises. Ces dernières se mirent vite, elles aussi, au travail. La principale des espionnes lui fit les yeux doux, et après deux verres de whisky (c’est la boisson préférée de Delphes Shmirim qui la consomme parfois au petit-déjeuner), le chef des renseignements du Borneo qui commença à tâter les belles cuisses de la Rawondaise. La femme ne se fit pas trop prier, du coup elle demanda au faux général s’ils ne pourraient pas se retirer seuls dans une chambre pour passer aux choses plus sérieuses. Aussitôt demandée, aussitôt accordée.
La belle femme feignant d’aller aux toilettes, enduit ses seins d’un sédatif très fort, revint vite, et se planta devant Delphes Shimrim, qu’elle caressa la tête, les oreilles, le visage, etc. Le Chef du Service Royal Renseignements du Borneo se mit à déboutonner la chemise de la Rawondaise, qui le supplia de lui sucer les mamelons. A peine eût-il mis sa langue sur la pointe des seins de la Rawondaise que Delphes Shimrim, sombra dans une léthargie sans égal. L’espionne rawondaise ne perdit pas une minute. Elle examina la chambre à coucher du faux général mais ne trouva rien d’important à emporter. Mais en regardant de près une photo géante de Delphes Shimrim, elle réalisa qu’elle cachait une porte donnant à une autre chambre. Et qu’y avait-il? Des appareils émetteurs-récepteurs dernier cri et des ordinateurs. Incapable de porter avec elle ces installations radio, elle s’empara de deux laptops qu’elle glissa dans son gros sac à main. Avant de quitter la chambre, elle dépouilla le séducteur malheureux de ses deux téléphones cellulaires. Puis, elle prit les clefs de la chambre qu’elle ferma à double tour, laissant dans un état comateux le tout puissant chef des espions devenu plus faible que Samson dans les bras de Delila.
La Rawondaise alla à la table où l’attendaient ses compatriotes depuis quelques 45 minutes. En une grimace codée, elle communiqua la réussite de la première partie de la mission. Elles demandèrent l’addition, payèrent en laissant un pourboire de grandeur royale, puis se dirigèrent vers leur voiture. Mais les gardes de Delphes Shimrim tenaient à offrir à ces amazones rawondaises les mêmes faveurs que leur patron réserve aux nombreuses femmes qu’il se tape. C’est ainsi que les Rawondaises furent escortées par deux jeeps du Département des Opérations Spéciales du Service Royal des Renseignements. Jusqu’à la frontière de leur pays.
Arrivées de l’autre côté de la frontière, les amazones rawondaises redoublèrent de vitesse et en deux heures, furent dans la ville de Likagi, la capitale rawondaise. Et se dirigèrent directement au domicile du président. Bref rapport verbal, remise du butin et retrait. La mission aura duré en tout et pour tout 5 heures. Cinq heures seulement pour endormir le chef des espions d’un pays et lui soutirer des informations très sensibles pour ne pas dire d’une importance capitale. Etaient consignés en effet dans les laptops, entre autres secrets, les détails du recrutement, de l’entraînement, et du ravitaillement des milices que le Service Royal des Renseignements du Bornéo entretenait dans un autre pays voisin. Il y avait aussi le plan de leur déploiement notamment au Rawondi. En dressant cette milice, le Service Royal des Renseignements du Bornéo avait, entre autres objectifs, de provoquer une guerre sous-régionale. A court terme, celle-ci permettrait à l’autocrate Pater Kulziz, souverrain du Borneo, de gagner encore quelques années au pouvoir et ainsi repousser un peu plus le très probable déferrement devant la justice internationale pour répondre de son passé de chef de milice.
Pendant que la cellule rawondaise chargée du contre-espionnage célébrait cette cueillette inespérée, au Bornéo, c’etait l’énervement. Qui céda vite à la panique. En effet, avant de succomber aux charmes puis à la potion sédative de la Rawondaise, Delphes Shimrim avait pris rendez-vous pour l’apres-midi avec le Roi Pater Kulziz. C’est ainsi que ce dernier ce demandait comment son chef des renseignements pouvait accuser un retard de deux heures à une rencontre qu’il avait sollicitée et ne pas envoyer ne serait-ce qu’un foutu texto. Et Pater Kulziz de prendre le téléphone et de composer le 66, le code numéro du Chef du Service Royal des Renseignements:
- Allo Delphes, où es-tu?
Pater Kulziz entendit une voix familière, mais pas celle de Delphes Shimrim, lui repondre avec un fort accent rawondais :
- Allo, ce n’est pas Delphes, dit la voix.
- Au nom des machettes sacrées qui nous ont installés au pouvoir, cesse cette comédie, Delphes, où es-tu ?
- Mais je te dis que je ne suis pas Delphes
- Qui es-tu alors?
- Je suis Raul Keggan, le Président du Rawondi!
- Par tous les gourdins cloutés et les petites houes du combattant !!! Je suis foutu…
- Non, non, tu n’es pas foutu, Pater Kulziz, ou plutôt, tu n’es pas encore foutu. Tu te souviens combien de fois je t’ai dit que tu t’entoures d’incompétents ? Comment peux-tu confier un service aussi sensible que la sûreté à un illettré? Quel autre chef des renseignements que ton Delphes Shimrim, se ferait dépouiller jusqu’au téléphone cellulaire, par une pute inconnue?
Ecoute, tu ferais mieux de virer cette brute. Cela pourrait te limiter les dégâts. Pour le moment du moins. En attendant que nous terminions l’analyse du colis que ton fameux général nous a envoyé en plus de ses deux cellulaires. Nous aurons à vérifier si vous étiez de mêche avec lui dans l’entretien de cette milice que vous contiez lancer sur notre pays. Si cela se confirme, tu auras à répondre personnellement de ce geste, tu nous connais suffisamment, « You cannot harm Rawondi and get away with it »…
C’est à peine que Pater Kulziz le Roi du Borneo, eut les forces de balbutier un au revoir à peine intelligible. Connaissant parfaitement son voisin. Une telle remarque, dite en anglais de surcroit, avait tout son poids.
Pater Kulziz envoya ces hommes de confiance chercher Delphes Shimrim avec comme message de se présenter presto illico à la Cour Royale. Arrivée chez Delphes Shimrim, la partie toqua plusieurs fois sur sa porte, sans jamais obtenir de réponse. Après avoir informé le monarque de la situation, celui-ci leur donna le feu vert de défoncer la porte. Ils trouvèrent Delphes Shimrim profondément endormi avec son pantalon à moitié déboutonné et légèrement descendu. Ils lui chuchotèrent à l’oreille, puis crièrent, puis le secouèrent, et enfin le pincèrent aux endroits les plus sensibles -- mais sans jamais provoquer la moindre réaction. Il lui faudra encore 6 heures pour se réveiller, car le sédatif employé pour l’endormir dure 12 heures.
Quelques jours plus tard, la nouvelle la plus inattendue était lue sur les ondes de la station de Radiodiffusion Royale du Bornéo : après plusieurs années (de services qui n’étaient ni bons ni loyaux) Delphes Shimrim était remplacé de son poste de Chef du Service Royal de Renseignements…