LA DEROUTANTE DENISE BUCUMI
Nous étions habitués aux frasques du couple présidentiel depuis longtemps, depuis que Nkurunziza massacrait des innocents et que sa femme prenait publiquement fait et cause pour lui, à partir de son sanctuaire de l’ « Eglise du Rocher ». Mais aujourd’hui, qu’il s’agisse de ses fidèles ou des observateurs distants, nous sommes tous déroutés par les contradictions qui déchirent la personnalité de celle qui serait, d’après les rumeurs, la candidate messianique aux élections de 2020. Pauvre Burundi !
Dans notre précédente livraison du 18 février 2019, nous avions décelé pour vous un état psychique instable de cette femme brouillonne, au niveau intellectuel déficient. Nous disions à son sujet que les tueries et le pillage du pays et des pauvres gens par le régime, lui donnent déjà des cauchemars la nuit, et que dans ses messages hallucinés du jour elle accuse tous les sbires du système, en prenant bien soin de ne pas confesser sa part et celle de son mari dans ces drames, dont ils sont pourtant tous les deux les acteurs de première loge, à la fois auteurs et bénéficiaires directs !
Eh bien, Denise Bucumi n’a pas tardé à confirmer notre diagnostic et dénonciation d’une confession partielle, tronquée à dessein et tournée sciemment et frauduleusement vers les autres, coupables il est vrai, mais pas plus qu’elle et son génocidaire de mari. A peine avait-elle terminé, à la fin de l’année 2018 lors d’une « prière » tonitruante, de fustiger les dignitaires boulimiques et pilleurs des pauvres citoyens, que son naturel qu’elle avait tenté de chasser est revenu au galop !
En effet, ce 18 février 2019, Madame Bucumi était à Rumonge, où la mobilisation des « offrandes » l’attendait. Elle les a bénies, puis emportées, comme son mari à Gitega le 26 janvier 2019. Le Gouverneur et les administrateurs communaux de la province visitée n’avaient rien oublié et n’avaient pas de choix : Les vaches, les paniers de vivres frais, les poules et les œufs, les fruits et les légumes, les régimes de bananes vertes, etc. avaient été collectés au forceps. Et bien entendu le poisson du Tanganyika dans ses différentes variétés, comprenant le gros koué que les femmes autochtones portaient en sueur et en longues file indienne en chantant comme des esclaves.
Finalement, la même question revient : Quand est-ce que le peuple burundais sera-t-il délivré de ce couple maléfique qui a pactisé avec les diables, pour semer la mort et la misère dans notre beau pays ? Espérons seulement que c’est pour bientôt, et demandons à tout les Burundais, catégories et ethnies confondues, de se lever ensemble pour bouter dehors le diable et les hommes qui l’incarnent.
Nous vous remercions.
INKEREBUTSI J.de Dieu
21.02.2019
Dans notre précédente livraison du 18 février 2019, nous avions décelé pour vous un état psychique instable de cette femme brouillonne, au niveau intellectuel déficient. Nous disions à son sujet que les tueries et le pillage du pays et des pauvres gens par le régime, lui donnent déjà des cauchemars la nuit, et que dans ses messages hallucinés du jour elle accuse tous les sbires du système, en prenant bien soin de ne pas confesser sa part et celle de son mari dans ces drames, dont ils sont pourtant tous les deux les acteurs de première loge, à la fois auteurs et bénéficiaires directs !
Eh bien, Denise Bucumi n’a pas tardé à confirmer notre diagnostic et dénonciation d’une confession partielle, tronquée à dessein et tournée sciemment et frauduleusement vers les autres, coupables il est vrai, mais pas plus qu’elle et son génocidaire de mari. A peine avait-elle terminé, à la fin de l’année 2018 lors d’une « prière » tonitruante, de fustiger les dignitaires boulimiques et pilleurs des pauvres citoyens, que son naturel qu’elle avait tenté de chasser est revenu au galop !
En effet, ce 18 février 2019, Madame Bucumi était à Rumonge, où la mobilisation des « offrandes » l’attendait. Elle les a bénies, puis emportées, comme son mari à Gitega le 26 janvier 2019. Le Gouverneur et les administrateurs communaux de la province visitée n’avaient rien oublié et n’avaient pas de choix : Les vaches, les paniers de vivres frais, les poules et les œufs, les fruits et les légumes, les régimes de bananes vertes, etc. avaient été collectés au forceps. Et bien entendu le poisson du Tanganyika dans ses différentes variétés, comprenant le gros koué que les femmes autochtones portaient en sueur et en longues file indienne en chantant comme des esclaves.
Finalement, la même question revient : Quand est-ce que le peuple burundais sera-t-il délivré de ce couple maléfique qui a pactisé avec les diables, pour semer la mort et la misère dans notre beau pays ? Espérons seulement que c’est pour bientôt, et demandons à tout les Burundais, catégories et ethnies confondues, de se lever ensemble pour bouter dehors le diable et les hommes qui l’incarnent.
Nous vous remercions.
INKEREBUTSI J.de Dieu
21.02.2019