PAUL WOLFOWITZ, SES CHAUSSETTES ET SA COMPAGNE
Burundi Information (le 26 mai 2007). Peut-on croire que cet homme et sa maîtresse étaient vraiment corrompus? On l'a obligé à démissionner, officiellement parce qu'il avait recruté et accordé des augmentations de salaires à une amie, à l'insu du Conseil d'administration. Le Président de la Banque Mondiale a néanmoins mis du temps à résister au limogeage, un signe comme un autre qui laisserait penser que le problème aurait pu être ailleurs. On se souvient d'une autre personnalité qui fut bousculée parce qu'a-t-on dit, il avait sexuellement harcelé une collaboratrice...
La finance internationale a ses raisons, mais peu de gens croient que ces raisons sont suffisantes à faire tomber de si haut. car s'il n'avait accordé aucun avantage, il auarait été dit qu'il n'avait pas de coeur, et il aurait été potentiellement moins généreux envers les pays pauvres notamment. Qoui que dans ce domaine il semble qu'il n'y a pas de place aux sentiment...
Mais peut-on croire qu'une personnalité de ce rang pouvait être corrompu ainsi que sa copine et marcher avec des chaussettes trouées comme celles du fonctionnaire décrit astucieusement par l'écrivain burundais Sébastien Katihabwa dans son ouvrage Magume ou les ombres du sentier...?
Photos ci-contre: Paul Wolfowitz, président de la Banque Mondiale, enlevant ses chaussures pour visiter une mosquée d'Edirne en Turquie
La finance internationale a ses raisons, mais peu de gens croient que ces raisons sont suffisantes à faire tomber de si haut. car s'il n'avait accordé aucun avantage, il auarait été dit qu'il n'avait pas de coeur, et il aurait été potentiellement moins généreux envers les pays pauvres notamment. Qoui que dans ce domaine il semble qu'il n'y a pas de place aux sentiment...
Mais peut-on croire qu'une personnalité de ce rang pouvait être corrompu ainsi que sa copine et marcher avec des chaussettes trouées comme celles du fonctionnaire décrit astucieusement par l'écrivain burundais Sébastien Katihabwa dans son ouvrage Magume ou les ombres du sentier...?
Photos ci-contre: Paul Wolfowitz, président de la Banque Mondiale, enlevant ses chaussures pour visiter une mosquée d'Edirne en Turquie