UN PATRIOTE BURUNDAIS APPELLE A UN SOULEVEMENT PACIFIQUE POUR LIBERER LE BURUNDI DU REGIME QUI TUE
BURUNDI INFORMATION (le 20 novembre 2011). Il s’appelle Chris Harahagazwe, il est membre fondateur de la Ligue burundaise des Droits de l’Homme « ITEKA » dont il a été le premier secrétaire général ; mais aussi et surtout, il a été le catalyseur des premiers secours aux rescapés du génocide de 1993 perpétré par le FRODEBU contre les tutsi et aussi contre les hutu de l’UPRONA.
Dans un message envoyé à partir de Lusaka (Zambie) ce 20 novembre 2011, Chris Harahagazwe vient de lancer un appel solennel pour un soulèvement qui doit libérer le Burundi sans violence du régime actuel qui vole, tue et torture. L’appel de Chris harahagazwe s’adresse à la nation burundaise, à la diaspora burundaise, aux victimes des incessantes guerres des Grands-Lacs, à la Communauté de l’Afrique de l’Est, à la Communauté internationale, à l’Eglise catholique, aux nombreuses Eglises protestantes, et au parti UPRONA.
Aux millions de Burundais, hutus et tutsis, qui ont vu les leurs être suppliciés comme le supplicié de Gitega Bukuru Léandre, Chris Harahagazwe demande de se lever comme un seul homme, sans armes, sans violence, pour résister pacifiquement à un régime qui a perdu toute légitimité à cause du vol, des tueries, de la torture et des escadrons de la mort qu’il organise.
A l’Eglise catholique, Chris Haragazwe demande de dénoncer ces horreurs et exiger justice et réparation pour les victimes et cela en termes clairs, sans la langue de bois habituelle. Il prie également les nombreuses Eglises protestantes dont se réclament les tenants du pouvoir, d’avoir le courage de condamner et disqualifier un régime qui risque de replonger la nation burundaise dans les affres de la guerre et des génocides.
A la société civile et aux organisations de défense des droits de la personne humaine, Chris Haragazwe demande de ne pas abandonner la famille du supplicié de Gitega, Bukuru Léandre, à sa terrible solitude et de pas oublier les autres victimes de la barbarie au pouvoir, et Chris Haragazwe de leur demander de les soutenir moralement et matériellement.
Au parti UPRONA, Chris Haragazwe demande de faire un sursaut d’âme et de cesser immédiatement d’être complice d’un régime criminel, qui a torturé le dirigeant uproniste, Aphonse-Marie Kadege ; Chris Harahagazwe rappelle à l’UPRONA qu’il y a va de son honneur perdu lorsque cette formation a abandonné des centaines de milliers de ses adhérents au génocide et à une vie infrahumaine dans les camps des déplacés [ceci s’adresse à l’aile réactionnaire de Ku Mugumya, le Parti UPRONA se trouvant dans l’opposition extraparlementaire et ne peut donc être complice du régime criminel du CNDD-FDD, c’est donc que les usurpateurs et falsificateurs du cercle de Ku Mugumya qui peuvent être complice du régime criminel en place].
A la jeunesse, Chris Haragazwe conseille de ne pas tomber dans le piège de la violence. Quant à la diaspora, il demande d’user de toute son influence pour faire pression sur la Communauté internationale pour qu’elle isole le régime, lui coupe les vivres et le traîne devant la Cour pénale internationale afin de répondre de ses crimes contre l’humanité ; bref, d’acculer la Communauté internationale à prendre ses responsabilités.
Enfin, aux esprits faibles qui tremblent dans leurs bottes, Chris Haragazwe dit que dans un pays où on tue des bébés, aucun adulte ne devrait avoir peur de la mort pour la juste cause d’une vie dans un pays en paix et respectueux de la personne humaine. POUR LIRE L'INTEGRALITE DE L'APPEL DE CHRIS HARAHAGAZWE, CLIQUEZ SUR CE LIEN http://acgenocide.blogspot.com/2011/11/m-chris-harahagzwe-se-preoccupe-du-sort.html
Dans un message envoyé à partir de Lusaka (Zambie) ce 20 novembre 2011, Chris Harahagazwe vient de lancer un appel solennel pour un soulèvement qui doit libérer le Burundi sans violence du régime actuel qui vole, tue et torture. L’appel de Chris harahagazwe s’adresse à la nation burundaise, à la diaspora burundaise, aux victimes des incessantes guerres des Grands-Lacs, à la Communauté de l’Afrique de l’Est, à la Communauté internationale, à l’Eglise catholique, aux nombreuses Eglises protestantes, et au parti UPRONA.
Aux millions de Burundais, hutus et tutsis, qui ont vu les leurs être suppliciés comme le supplicié de Gitega Bukuru Léandre, Chris Harahagazwe demande de se lever comme un seul homme, sans armes, sans violence, pour résister pacifiquement à un régime qui a perdu toute légitimité à cause du vol, des tueries, de la torture et des escadrons de la mort qu’il organise.
A l’Eglise catholique, Chris Haragazwe demande de dénoncer ces horreurs et exiger justice et réparation pour les victimes et cela en termes clairs, sans la langue de bois habituelle. Il prie également les nombreuses Eglises protestantes dont se réclament les tenants du pouvoir, d’avoir le courage de condamner et disqualifier un régime qui risque de replonger la nation burundaise dans les affres de la guerre et des génocides.
A la société civile et aux organisations de défense des droits de la personne humaine, Chris Haragazwe demande de ne pas abandonner la famille du supplicié de Gitega, Bukuru Léandre, à sa terrible solitude et de pas oublier les autres victimes de la barbarie au pouvoir, et Chris Haragazwe de leur demander de les soutenir moralement et matériellement.
Au parti UPRONA, Chris Haragazwe demande de faire un sursaut d’âme et de cesser immédiatement d’être complice d’un régime criminel, qui a torturé le dirigeant uproniste, Aphonse-Marie Kadege ; Chris Harahagazwe rappelle à l’UPRONA qu’il y a va de son honneur perdu lorsque cette formation a abandonné des centaines de milliers de ses adhérents au génocide et à une vie infrahumaine dans les camps des déplacés [ceci s’adresse à l’aile réactionnaire de Ku Mugumya, le Parti UPRONA se trouvant dans l’opposition extraparlementaire et ne peut donc être complice du régime criminel du CNDD-FDD, c’est donc que les usurpateurs et falsificateurs du cercle de Ku Mugumya qui peuvent être complice du régime criminel en place].
A la jeunesse, Chris Haragazwe conseille de ne pas tomber dans le piège de la violence. Quant à la diaspora, il demande d’user de toute son influence pour faire pression sur la Communauté internationale pour qu’elle isole le régime, lui coupe les vivres et le traîne devant la Cour pénale internationale afin de répondre de ses crimes contre l’humanité ; bref, d’acculer la Communauté internationale à prendre ses responsabilités.
Enfin, aux esprits faibles qui tremblent dans leurs bottes, Chris Haragazwe dit que dans un pays où on tue des bébés, aucun adulte ne devrait avoir peur de la mort pour la juste cause d’une vie dans un pays en paix et respectueux de la personne humaine. POUR LIRE L'INTEGRALITE DE L'APPEL DE CHRIS HARAHAGAZWE, CLIQUEZ SUR CE LIEN http://acgenocide.blogspot.com/2011/11/m-chris-harahagzwe-se-preoccupe-du-sort.html