VIGILANCE CONTRE LES FALSIFICATEURS DE L'HISTOIRE DU BURUNDI
Burundi Information (le 03 juin 2015). Cela fait plus d'un mois, depuis le 26 avril pour être précis, que les Burundais et tous les observateurs qui s'intéressent à notre pays sont préoccupés jour et nuit par le 3e mandat illégitime du terroriste génocidaire Pierre Nkurunziza. Pendant ce temps, cependant, les forces du mal, elles, sont restées à l'oeuvre. Alors que les citoyens honnêtes sortent petit à petit d’une léthargie de plus 10 ans pour réaliser que finalement ils avaient confié le pouvoir à des rapaces, les apologues du génocide et les négationnistes, usant de plusieurs stratégies et profitant de toutes les occasions qui s'offrent à eux, essaient de manipuler les décideurs. Mais qui trouve-t-on donc dans les rangs de ces intercesseurs des génocidaires? Il s'agit principalement des acteurs jadis déguisés mais marchant aujourd'hui à visage découvert. Aussi, Les contrer, les confronter les confondre est un devoir. Pour cela, il faut pouvoir les identifier. Mais sur ce point, on n'a pas s'en faire. La plupart des fois, c’est eux-meme qui se découvrent en alternant un intellectualisme de facade et activisme tapageur.
On doit egalement être à mesure de reconnaitre leur modus operandi. Pour le moment, la tactique prisée par ces ouvriers du mal est d’isoler les résistants en écartant d’abord les éléments les moins tenaces. Pour y parvenir, ils ont des slogans vides mais assez acrocheurs à la surface, qu'ils repètent inlassablement: la majorité ethnique doit toujours diriger le pays; la minorité n'a d'autre choix que de se soumettre; les plus criminels ne sont pas nécessairement à arrêter, surtout quand la communauté internationale les soutient, etc, etc. Le mal s'enracinne si l'interlocuteur se laisse faire sans demander si la majorité ethnique doit être nécessairement représentée par des criminels contre l'humanité; si la minorité politique est toujours à confondre avec la minorité ethnique, si cette communauté internationale à qui on fait endosser le soutien aux criminels les plus répugnants tolère cet état de choses ailleurs; etc. Bref, si la victime ne résiste pas pas et se résigne, la tâche sera encore plus facile pour le négationniste.
Quand les ouvriers du mal qui falsifient l'histoire, comptent aussi sur l'ignorance ou l'apathie de leurs interlocuteurs. Quelle tragédie, en effet, que de ne pas en savoir suffisamment sur son histoire et de n'entreprendre presque rien pour combler ce vide!
Voilà en résumé, les principaux défis qui hantent les citoyens éclairés et engagés dans le redressement de notre cher pays, le Burundi. Une nation où, rappelons-le, la milice Imbonerakure opère actuellement main dans la main avec le FDLR rwandais qui n'est rien d'autre que la version reformée des Interahamwe de sinistre mémoire. Une raison de plus de rester determiné et engagé dans le monitoring des actes des pêcheurs en eaux troubles planqués ici et là qui semblent avoir choisi la désinformation comme cheval de bataille. (BINFO)
On doit egalement être à mesure de reconnaitre leur modus operandi. Pour le moment, la tactique prisée par ces ouvriers du mal est d’isoler les résistants en écartant d’abord les éléments les moins tenaces. Pour y parvenir, ils ont des slogans vides mais assez acrocheurs à la surface, qu'ils repètent inlassablement: la majorité ethnique doit toujours diriger le pays; la minorité n'a d'autre choix que de se soumettre; les plus criminels ne sont pas nécessairement à arrêter, surtout quand la communauté internationale les soutient, etc, etc. Le mal s'enracinne si l'interlocuteur se laisse faire sans demander si la majorité ethnique doit être nécessairement représentée par des criminels contre l'humanité; si la minorité politique est toujours à confondre avec la minorité ethnique, si cette communauté internationale à qui on fait endosser le soutien aux criminels les plus répugnants tolère cet état de choses ailleurs; etc. Bref, si la victime ne résiste pas pas et se résigne, la tâche sera encore plus facile pour le négationniste.
Quand les ouvriers du mal qui falsifient l'histoire, comptent aussi sur l'ignorance ou l'apathie de leurs interlocuteurs. Quelle tragédie, en effet, que de ne pas en savoir suffisamment sur son histoire et de n'entreprendre presque rien pour combler ce vide!
Voilà en résumé, les principaux défis qui hantent les citoyens éclairés et engagés dans le redressement de notre cher pays, le Burundi. Une nation où, rappelons-le, la milice Imbonerakure opère actuellement main dans la main avec le FDLR rwandais qui n'est rien d'autre que la version reformée des Interahamwe de sinistre mémoire. Une raison de plus de rester determiné et engagé dans le monitoring des actes des pêcheurs en eaux troubles planqués ici et là qui semblent avoir choisi la désinformation comme cheval de bataille. (BINFO)