670 BURUNDAIS RECHERCHES POUR GENOCIDE AU RWANDA
Burundi Information (le 31 juillet 2008). Génocidaires burundais, désillusionnez-vous. Votre impunité ne durera pas éternellement. L’heure de la justice a sonné.
Dans notre livraison du 23 juin 2008, nous vous annoncions que très bientôt, notre voisin du nord va demander l’arrestation des burundais qui ont participé dans le génocide sur son territoire. Nos prévisions n’ont pas tardé à se réaliser. Usant de la compétence universelle prévue dans ses textes de loi en vue de poursuivre devant ses juridictions des non-Rwandais accusés d'être impliqués dans le génocide, le Rwanda vient de saisir la justice burundaise au sujet de quelques 670 burundais accusés d'avoir participé au génocide de 1994.
Selon le procureur général de la République Rwandaise, Martin Ngoga, des mandats d'arrêts internationaux vont être émis afin que quiconque tente d'échapper puisse être appréhendé. Nul doute que cette implication d’INTERPOL, la police criminelle internationale, tient du fait que le Burundi est dirigé de la base au sommet par des génocidaires qui n’hésiteraient pas à aider les personnes recherchées à quitter notre pays.
Pour rappel, une première liste de 79 présumés coupables avait déjà été transmise aux autorités burundaises qui ont opté pour un silence radio total sur ce dossier plus qu’embarrassant pour un régime génocidaire. La nouvelle a été très bien accueillie dans les milieux de lutte contre le génocide au Burundi comme AC Génocide CIRIMOSO. Ils estiment à juste titre que le Burundi ne devrait pas continuer à faire exception dans la lutte contre le crime des crimes.
Au rythme où les choses vont, on peut parier que les génocidaires qui dirigent notre pays enregistrent de moins en moins d’heures de sommeil.
Dans notre livraison du 23 juin 2008, nous vous annoncions que très bientôt, notre voisin du nord va demander l’arrestation des burundais qui ont participé dans le génocide sur son territoire. Nos prévisions n’ont pas tardé à se réaliser. Usant de la compétence universelle prévue dans ses textes de loi en vue de poursuivre devant ses juridictions des non-Rwandais accusés d'être impliqués dans le génocide, le Rwanda vient de saisir la justice burundaise au sujet de quelques 670 burundais accusés d'avoir participé au génocide de 1994.
Selon le procureur général de la République Rwandaise, Martin Ngoga, des mandats d'arrêts internationaux vont être émis afin que quiconque tente d'échapper puisse être appréhendé. Nul doute que cette implication d’INTERPOL, la police criminelle internationale, tient du fait que le Burundi est dirigé de la base au sommet par des génocidaires qui n’hésiteraient pas à aider les personnes recherchées à quitter notre pays.
Pour rappel, une première liste de 79 présumés coupables avait déjà été transmise aux autorités burundaises qui ont opté pour un silence radio total sur ce dossier plus qu’embarrassant pour un régime génocidaire. La nouvelle a été très bien accueillie dans les milieux de lutte contre le génocide au Burundi comme AC Génocide CIRIMOSO. Ils estiment à juste titre que le Burundi ne devrait pas continuer à faire exception dans la lutte contre le crime des crimes.
Au rythme où les choses vont, on peut parier que les génocidaires qui dirigent notre pays enregistrent de moins en moins d’heures de sommeil.