ANNIVERSAIRE DE L'ABSENCE DU DROIT
BURUNDI INFORMATION (le 27 aout 2009). Nous aurions aimé oublier ce genre d’anniversaire, mais certains tiennent à nous le rappeler. Alors disons-le tout de suite, ce ne fut ni la fête ni l’euphorie lors de l’investiture, au sommet des institutions burundaises, du raciste terroriste génocidaire Nkurunziza en ce mois d’août 2005 ; nous ne sommes donc pas déçus des contreperformances de ce criminel contre l’humanité à la tête du pays, nous les avons assez vus dans le genre...
Seulement les propagandistes de l’endormissement se réfugiaient derrière le slogan criminel du moindre mal, « at least », disait-on en anglais pour se mettre à la mode de la colonisation sud africaine ! Pendant ce temps plus sages dans l’arrière pays, au fonds des bananerais, pleuraient à en perdre les larmes en disant : NTAHO TUVUYE, NTAHO DUSUBIYE, ou encore mieux en réplique aux tenants du « moindre mal » : WIRUKANA UMUGORE WA MBERE NGO… UKAZANA…
Mais le nombrilisme des promoteurs de l’institutionnalisation du racisme terroriste et génocidaire était sans borne, et ce sont eux qui finançaient les radios et les médias chargés de diffuser le venin en guise de bonne nouvelle. Personne ne s’interrogea sur les raisons de la présence à Kigobe dePaul Kagame et du représentant du président kongolais Kabila junior en la personne du sinistre Hérodia. Du haut du sanctuaire de Kigobe, Kagame et Hérodia proclamèrent tous les deux que leurs objectifs et ceux de l’organisation génocidaire CNDD étaient communs. Lequel des deux disait plus vrai ? Hérodia était sous mandat d’arrêt international ; Nkurunziza est un terroriste poseur de mines antichars sur la voie publique, condamné à mort par les tribunaux burundais, en attente de subir le sort de Taylor, et divers Milosévitch…
Aujourd’hui les mêmes propagandistes de l’endormissement vous jurent, tout en pleurnichant sur les dérives dictatoriales et sanguinaires de Nkurunziza, en réalité il n’y a pas de dérive car son régime était criminel dès le départ, ils jurent donc qu’il y aurait plus de liberté d’expression au pays de Nkurunziza Peter par rapport à celui de Kagame Paul. Nous avons vérifié ; la situation est la suivante : au Rwanda il est interdit de dire qu’il n’y a pas eu génocide, au Burundi il est interdit de dire qu’il y a eu génocide. Lequel des deux régimes respecte le mieux la liberté d’opinion et d’expression ? « AMASO AKUNDA… », complétez par vous-même, disaient nos ancêtres les Barundi, du temps où les animaux parlaient et que les humains comprenaient leur langage… Mieux, c’est toujours celui qui paye qui définit le contenu de la liberté éditoriale et d’expression !
Autre image parlante datant de l’époque et qu’aucun journaliste, payé pour dire que tout allait bien, ne commenta, fut celle de la télévision burundaise montrant la représentante spéciale du Secrétaire Général de l’ONU et son adjoint rigolant et jasant malgré le supposé sérieux et la gravité des évènements, contents sans doute d’avoir brisé les barrières du droit et de la morale en investissant les destructeurs des valeurs et des conventions que l’ONU est supposée protéger et mettre en application. Jamais personne ne s’était imaginé qu’une ONU, créée pour faire reculer le génocide serait, avec mission d’institutionnaliser le racisme et le génocide au Burundi, à la tête des troupes d’occupation militaire d’un pays qui a combattu et condamné l’apartheid.
Le reste ce sont de mauvais slogans. Nul n’aime la dictature, qu’elle soit de Buyoya ou de Bagaza. Mais une dictature milicienne génocidaire n’a rien de véritablement meilleure, serait-elle du Nord en remplacement d’une dictature militaire du sud. Nkurunziza est aussi putschiste que Micombero, Bagaza, Buyoya, Ndadaye et tous les divers Ntibantunganya. Ils se sont imposés par la violence et le crime, par le mépris du droit, par les idées qui tuent et l’impunité ; cela ne sera jamais la démocratie. Car sur la balance des normes qui fondent cette dernière et l’Etat de droit, ces dictatures s’équivalent, sont semblables, et cela explique pourquoi leurs leaders et thuriféraires sont si spontanément d’accord pour combattre ensemble la charte de l’unité Nationale, les Accords régionaux de Lusaka, le droit international et la morale universelle.
Nous souhaitons ne pas oublier car ce ne sera pas possible, mais effacer nos larmes au moment de la restauration de l’Etat de droit comme cela s’est fait dans d’autres pays profondément blessés par les prédécesseurs des divers Nkurunziza au Rwanda, en Allemagne, Haiti, Liberia etc… Cela ne se fera que par la condamnation et non la glorification du terrorisme génocidaire et de ses esclaves. Voilà pourquoi les militants de la restauration de l’Etat de droit ont beaucoup de raisons d’être persévérants. Comme l’affirmait le philosophe allemand Schoppenhauer, une idée révolutionnaire est d'abord tournée au ridicule, puis on ls'y oppose vivement et à la fin tout le monde dit qu’il était d’accord dès le début ! Ainsi font lles buyoyistes et leurs valets arushiens. A maître Sinarinzi et aux partisans de l’Etat de droit d’apprécier.
Seulement les propagandistes de l’endormissement se réfugiaient derrière le slogan criminel du moindre mal, « at least », disait-on en anglais pour se mettre à la mode de la colonisation sud africaine ! Pendant ce temps plus sages dans l’arrière pays, au fonds des bananerais, pleuraient à en perdre les larmes en disant : NTAHO TUVUYE, NTAHO DUSUBIYE, ou encore mieux en réplique aux tenants du « moindre mal » : WIRUKANA UMUGORE WA MBERE NGO… UKAZANA…
Mais le nombrilisme des promoteurs de l’institutionnalisation du racisme terroriste et génocidaire était sans borne, et ce sont eux qui finançaient les radios et les médias chargés de diffuser le venin en guise de bonne nouvelle. Personne ne s’interrogea sur les raisons de la présence à Kigobe dePaul Kagame et du représentant du président kongolais Kabila junior en la personne du sinistre Hérodia. Du haut du sanctuaire de Kigobe, Kagame et Hérodia proclamèrent tous les deux que leurs objectifs et ceux de l’organisation génocidaire CNDD étaient communs. Lequel des deux disait plus vrai ? Hérodia était sous mandat d’arrêt international ; Nkurunziza est un terroriste poseur de mines antichars sur la voie publique, condamné à mort par les tribunaux burundais, en attente de subir le sort de Taylor, et divers Milosévitch…
Aujourd’hui les mêmes propagandistes de l’endormissement vous jurent, tout en pleurnichant sur les dérives dictatoriales et sanguinaires de Nkurunziza, en réalité il n’y a pas de dérive car son régime était criminel dès le départ, ils jurent donc qu’il y aurait plus de liberté d’expression au pays de Nkurunziza Peter par rapport à celui de Kagame Paul. Nous avons vérifié ; la situation est la suivante : au Rwanda il est interdit de dire qu’il n’y a pas eu génocide, au Burundi il est interdit de dire qu’il y a eu génocide. Lequel des deux régimes respecte le mieux la liberté d’opinion et d’expression ? « AMASO AKUNDA… », complétez par vous-même, disaient nos ancêtres les Barundi, du temps où les animaux parlaient et que les humains comprenaient leur langage… Mieux, c’est toujours celui qui paye qui définit le contenu de la liberté éditoriale et d’expression !
Autre image parlante datant de l’époque et qu’aucun journaliste, payé pour dire que tout allait bien, ne commenta, fut celle de la télévision burundaise montrant la représentante spéciale du Secrétaire Général de l’ONU et son adjoint rigolant et jasant malgré le supposé sérieux et la gravité des évènements, contents sans doute d’avoir brisé les barrières du droit et de la morale en investissant les destructeurs des valeurs et des conventions que l’ONU est supposée protéger et mettre en application. Jamais personne ne s’était imaginé qu’une ONU, créée pour faire reculer le génocide serait, avec mission d’institutionnaliser le racisme et le génocide au Burundi, à la tête des troupes d’occupation militaire d’un pays qui a combattu et condamné l’apartheid.
Le reste ce sont de mauvais slogans. Nul n’aime la dictature, qu’elle soit de Buyoya ou de Bagaza. Mais une dictature milicienne génocidaire n’a rien de véritablement meilleure, serait-elle du Nord en remplacement d’une dictature militaire du sud. Nkurunziza est aussi putschiste que Micombero, Bagaza, Buyoya, Ndadaye et tous les divers Ntibantunganya. Ils se sont imposés par la violence et le crime, par le mépris du droit, par les idées qui tuent et l’impunité ; cela ne sera jamais la démocratie. Car sur la balance des normes qui fondent cette dernière et l’Etat de droit, ces dictatures s’équivalent, sont semblables, et cela explique pourquoi leurs leaders et thuriféraires sont si spontanément d’accord pour combattre ensemble la charte de l’unité Nationale, les Accords régionaux de Lusaka, le droit international et la morale universelle.
Nous souhaitons ne pas oublier car ce ne sera pas possible, mais effacer nos larmes au moment de la restauration de l’Etat de droit comme cela s’est fait dans d’autres pays profondément blessés par les prédécesseurs des divers Nkurunziza au Rwanda, en Allemagne, Haiti, Liberia etc… Cela ne se fera que par la condamnation et non la glorification du terrorisme génocidaire et de ses esclaves. Voilà pourquoi les militants de la restauration de l’Etat de droit ont beaucoup de raisons d’être persévérants. Comme l’affirmait le philosophe allemand Schoppenhauer, une idée révolutionnaire est d'abord tournée au ridicule, puis on ls'y oppose vivement et à la fin tout le monde dit qu’il était d’accord dès le début ! Ainsi font lles buyoyistes et leurs valets arushiens. A maître Sinarinzi et aux partisans de l’Etat de droit d’apprécier.