ATTAQUE CONTRE LE PETIT-SEMINAIRE DE BUTA: 10 ANS PLUS TARD
BURURI, 30 AVRIL 2007 (binfo). Le Petit Séminaire de Buta a commémoré le souvenir du massacre de ses jeunes martyrs exterminés par l’organisation CNDD/FDD, les uns parce que Tutsi, les autres parce qu’ils refusaient d’obéir aux miliciens de Nkurunziza, Rajabu et Nzomukunda et compagnie, qui leur demandaient de se mettre à l’écart afin de mieux identifier les Tutsi qu’il fallait exterminer…
Nkurunziza, Nzomukunda et compagnie n’ont pas osé se présenter sur les lieux de leur crime. Les observateurs ont néanmoins remarqué la suspecte présence de Buyoya, un parrain incontesté des génocidaires. Buyoya Pierre avait quelques jours plus tôt, le 26 avril 1997, créé l’endormissement en proclamant que le danger du génocide était désormais écartait. Il venait de signer en totale clandestinité, à San Egidio, un accord de destruction des obstacles au génocide que sont l’armée(obstacle militaire), la Magistrature (obstacle judiciaire) et le Parti UPRONA (obstacle politique). Arusha consacrera le forfait plus tard…
Buyoya avait également déclaré que le génocide commis par le Frodebu contre les Tutsi en 1993 ne l’empêchait pas de dormir, que c’était la démocratie qui s’était défendue. Buyoya refusa de signer les accords de Lusaka qui appellent la Communauté internationale à se coaliser pour démanteler les milices génocidaires que sont les Interahamwe, mais aussi le CNDD/FDD nommément dans le texte ainsi que les organisations de même idéologie. Plutôt, il leur créa un espace pour les soustraires à la rigueur du droit et de la morale, à travers les accords impies d’Arusha…
Les observateurs attentifs affirment que Buyoya ferait les yeux doux aux organisations anti-génocidaires, aux Tutsi aussi probablement, pour s’en réclamer en vue d’un hypothétique retour au pouvoir. Buyoya avait proclamé en avril 1996, trois mois avant son retour qu’il y a des circonstances où même lorsque vous êtes à genous vous ne pouvez pas négocier avec les génocidaires, car que peut-on négocier avec un génocidaire ? Qu’il tue 10, 20, 40% ? Quelques mois plus tard, il négociait à San Egidion avec les génocidaires… Il avait simplement fait les yeux doux aux forces anti-génocidaires pour faciliter son retour. Après il les persécuta. Certains affirment que ces présences anormales d’un ami des organisations génocidaires ne serait pas étrangère à ce que les buyoyistes appellent tentative de réunification de l’UPRONA…
Les observateurs ont également noté la sortie de l’ancien Recteur de Buta proclamant qu’il pardonnait aux bourreaux ! Bizarre, car ces derniers ne regrettent rien et n’ont jamais demandé l’absolution. Ceci rappelle les sorties de Madame Kadege aux côtés de Madame Ndayizeye proclamant le pardon, ou plutôt demandant pardon au nom des crimes commis la première par les Tutsi, l’autre par les Hutu. Une année plus tard, leurs époux étaient sous les verroux…
Un autre « pardonniste », Pierre Buyoya, avait fait exécuter l’ancien directeur de Kibimba au nom des Hutu, aux côtés de deux bandits coupables d’être l’un Tutsi et l’autre Twa. Plus tard, les véritables représentants des assassins et des génocidaires se retrouvèrent à Arusha, pour s’auto-amnistier! A qui l’Abbé Zacharie pardonne-t-il puisque plus personne n’est coupable aujourd’hui ? A supposer que ce pardon relève de sa compétence ! (binfo)
Nkurunziza, Nzomukunda et compagnie n’ont pas osé se présenter sur les lieux de leur crime. Les observateurs ont néanmoins remarqué la suspecte présence de Buyoya, un parrain incontesté des génocidaires. Buyoya Pierre avait quelques jours plus tôt, le 26 avril 1997, créé l’endormissement en proclamant que le danger du génocide était désormais écartait. Il venait de signer en totale clandestinité, à San Egidio, un accord de destruction des obstacles au génocide que sont l’armée(obstacle militaire), la Magistrature (obstacle judiciaire) et le Parti UPRONA (obstacle politique). Arusha consacrera le forfait plus tard…
Buyoya avait également déclaré que le génocide commis par le Frodebu contre les Tutsi en 1993 ne l’empêchait pas de dormir, que c’était la démocratie qui s’était défendue. Buyoya refusa de signer les accords de Lusaka qui appellent la Communauté internationale à se coaliser pour démanteler les milices génocidaires que sont les Interahamwe, mais aussi le CNDD/FDD nommément dans le texte ainsi que les organisations de même idéologie. Plutôt, il leur créa un espace pour les soustraires à la rigueur du droit et de la morale, à travers les accords impies d’Arusha…
Les observateurs attentifs affirment que Buyoya ferait les yeux doux aux organisations anti-génocidaires, aux Tutsi aussi probablement, pour s’en réclamer en vue d’un hypothétique retour au pouvoir. Buyoya avait proclamé en avril 1996, trois mois avant son retour qu’il y a des circonstances où même lorsque vous êtes à genous vous ne pouvez pas négocier avec les génocidaires, car que peut-on négocier avec un génocidaire ? Qu’il tue 10, 20, 40% ? Quelques mois plus tard, il négociait à San Egidion avec les génocidaires… Il avait simplement fait les yeux doux aux forces anti-génocidaires pour faciliter son retour. Après il les persécuta. Certains affirment que ces présences anormales d’un ami des organisations génocidaires ne serait pas étrangère à ce que les buyoyistes appellent tentative de réunification de l’UPRONA…
Les observateurs ont également noté la sortie de l’ancien Recteur de Buta proclamant qu’il pardonnait aux bourreaux ! Bizarre, car ces derniers ne regrettent rien et n’ont jamais demandé l’absolution. Ceci rappelle les sorties de Madame Kadege aux côtés de Madame Ndayizeye proclamant le pardon, ou plutôt demandant pardon au nom des crimes commis la première par les Tutsi, l’autre par les Hutu. Une année plus tard, leurs époux étaient sous les verroux…
Un autre « pardonniste », Pierre Buyoya, avait fait exécuter l’ancien directeur de Kibimba au nom des Hutu, aux côtés de deux bandits coupables d’être l’un Tutsi et l’autre Twa. Plus tard, les véritables représentants des assassins et des génocidaires se retrouvèrent à Arusha, pour s’auto-amnistier! A qui l’Abbé Zacharie pardonne-t-il puisque plus personne n’est coupable aujourd’hui ? A supposer que ce pardon relève de sa compétence ! (binfo)