COMMENT BRULER CE QU'ON ADORE
Burundi Information (le 22 avril 2011). Les membres de la Société civile commémorent l’assassinat d’Ernest Manirumva; ils tentent de manifester et réclamer la justice contre les assassins d’un des leurs; et cette justice ils la quémandent auprès des bourreaux…
Naturellement il faut soutenir ces voix de la conscience, ces personnes qui acceptent que Manirumva soit vengé au nom et par le droit. Car il y aurait, parmi les membres de cette société dite civile, des partisans de la théorie de l’AGASHAVU par exemple s’agissant du génocide ayant emporté plus d’un million de nos compatriotes.
C’est en tout cas la conclusion logique qui s’impose au regard du soutien apporté par la société dite civile burundaise au processus d’impunité d’Arusha, lequel processus est fondé sur le fait que le génocide c’est la démocratie qui s’est défendue et que les promoteurs du processus arushien ne se reprochent de rien et que cela ne les empêche pas de dormir!
Car pour les théoriciens de l’Agashavu les assassins de Manirumva, les bourreaux de Kavumbagu Jean-Claude… pourraient n’être que d’honorables défenseurs de la démocratie, victimes des antidémocrates qui combattent l’insolence, la corruption et l’immoralité démocratiquement élus.
Rappelez-vous un certain ministre du raciste terroriste génocidaire Nkurunziza affirmant que son gouvernement élu n’avait de compte à rendre à personne s’agissant de la vente illégale de l’avion présidentiel. Les divers Manirumva peuvent aller se rhabiller, tant pis pour les contribuables…
Merci donc de ne pas faire comme ces autres et ne pas venger Manirumva par le génocide; merci de prouver par là que la théorie de l’Agashavu est une stupidité; une honte, quelque soit la personne qui en fait la promotion…
Merci également de nous rappeler que le plus insolent de tous pourrait être emporté par INYAMA YA RWUNGERE. Les assassins de Manirumva sont aussi ceux de Zuniga, Mgr De Courtay, de Kassy Manlan, (compléter à volonté la
longue liste des victimes du régime en place), des millions de nos compatriotes sous le simple prétexte qu’ils sont Tutsi ou membres de l’UPRONA. Pour eux, après Ndadaye et tous les autres, plus d’un million d’électeurs contribuables, Manirumva serait « un détail de l’Histoire » selon les propos d’un des leurs, Jean Marie Le Pen, de l’autre côté de la Méditerranée…
Ceci dit, les défenseurs de Manirumva ont une épine dans leur talon d’Achille. Après avoir soutenu l’impunité et l’immoralité arushienne, peuvent-ils raisonnablement encore réclamer la primauté du droit? Pire, comment peut-on demander aux assassins de Manirumva de rendre justice contre eux-mêmes? Aurait-on pu par exemple demander aux chefs du Gang KATARINA de mener des enquêtes crédibles et rendre justice contre le banditisme? Comment peut-on concevoir une justice où « UBURANA N’ISHAMBA UGASABA INKENDE GUCA URUBANZA »?
Mais il n’y aurait que les fous qui ne changent pas d’avis! La société dite civile n’aura aucun résultat positif, si elle ne change pas le fusil d’épaule pour attaquer le mal par la racine. Nous ne voulons décourager personne, mais la lutte contre les assassins de Manirumva est impossible, si les partisans de cette lutte soutiennent en même temps ses assassins, les tortionnaires de Kadege, les bourreaux de Buta et Bugendana, ceux de Ndadaye, les génocidaires de 1993…
Car les coupables ne sont non seulement pas différents, mais ce sont les mêmes; physiquement parfois, idéologiquement toujours. Et ce n’est pas une question d’ethnie; cela s’appelle Le Droit; et ce Droit ne se négocie pas;
ni en fonction de l’ethnie ni de quelque autre façon! En proclamant que le Burundi était une démocratie, par Arusha ou par des élections immorales et illégitimes, parce que les compétiteurs auraient dû être devant les tribunaux avant l’ouverture des urnes, la société qui se veut civile a mis une croix sur toute possibilité de réclamer la justice, même pour un des siens. Pour tout ce beau monde, s’il a été possible, en effet, de mettre une croix sur le génocide, comment serait-il soudainement impossible d’oublier une peccadille du genre le cas Manirumva?
Rappelez-vous de ce gouverneur du sanguinaire Nkurunziza ne s’indignant même pas du massacre des ses administrés à Muyinga : IKIZIGA GISA N’IKINDI proclamait-il…
Ou alors, il faut oser et s’associer enfin à AC Génocide CIRIMOSO, à l’Uprona et à tous les partisans de la restauration de l’Etat de droit par la Charte de l’Unité nationale, du droit international et de la morale universelle : pour une application globale et intégrale du Droit, pour une inter-ethnique résistante en vue de la lutte contre le génocide et l’impunité. Sinon Nkurunziza Peter et ses sbires rigolent sous cape en regardant les gesticulations en cours. Rappelez-vous des confessions de leur parrain, l’autre Pierre : cela ne m’empêche pas de dormir…(BINFO)
Naturellement il faut soutenir ces voix de la conscience, ces personnes qui acceptent que Manirumva soit vengé au nom et par le droit. Car il y aurait, parmi les membres de cette société dite civile, des partisans de la théorie de l’AGASHAVU par exemple s’agissant du génocide ayant emporté plus d’un million de nos compatriotes.
C’est en tout cas la conclusion logique qui s’impose au regard du soutien apporté par la société dite civile burundaise au processus d’impunité d’Arusha, lequel processus est fondé sur le fait que le génocide c’est la démocratie qui s’est défendue et que les promoteurs du processus arushien ne se reprochent de rien et que cela ne les empêche pas de dormir!
Car pour les théoriciens de l’Agashavu les assassins de Manirumva, les bourreaux de Kavumbagu Jean-Claude… pourraient n’être que d’honorables défenseurs de la démocratie, victimes des antidémocrates qui combattent l’insolence, la corruption et l’immoralité démocratiquement élus.
Rappelez-vous un certain ministre du raciste terroriste génocidaire Nkurunziza affirmant que son gouvernement élu n’avait de compte à rendre à personne s’agissant de la vente illégale de l’avion présidentiel. Les divers Manirumva peuvent aller se rhabiller, tant pis pour les contribuables…
Merci donc de ne pas faire comme ces autres et ne pas venger Manirumva par le génocide; merci de prouver par là que la théorie de l’Agashavu est une stupidité; une honte, quelque soit la personne qui en fait la promotion…
Merci également de nous rappeler que le plus insolent de tous pourrait être emporté par INYAMA YA RWUNGERE. Les assassins de Manirumva sont aussi ceux de Zuniga, Mgr De Courtay, de Kassy Manlan, (compléter à volonté la
longue liste des victimes du régime en place), des millions de nos compatriotes sous le simple prétexte qu’ils sont Tutsi ou membres de l’UPRONA. Pour eux, après Ndadaye et tous les autres, plus d’un million d’électeurs contribuables, Manirumva serait « un détail de l’Histoire » selon les propos d’un des leurs, Jean Marie Le Pen, de l’autre côté de la Méditerranée…
Ceci dit, les défenseurs de Manirumva ont une épine dans leur talon d’Achille. Après avoir soutenu l’impunité et l’immoralité arushienne, peuvent-ils raisonnablement encore réclamer la primauté du droit? Pire, comment peut-on demander aux assassins de Manirumva de rendre justice contre eux-mêmes? Aurait-on pu par exemple demander aux chefs du Gang KATARINA de mener des enquêtes crédibles et rendre justice contre le banditisme? Comment peut-on concevoir une justice où « UBURANA N’ISHAMBA UGASABA INKENDE GUCA URUBANZA »?
Mais il n’y aurait que les fous qui ne changent pas d’avis! La société dite civile n’aura aucun résultat positif, si elle ne change pas le fusil d’épaule pour attaquer le mal par la racine. Nous ne voulons décourager personne, mais la lutte contre les assassins de Manirumva est impossible, si les partisans de cette lutte soutiennent en même temps ses assassins, les tortionnaires de Kadege, les bourreaux de Buta et Bugendana, ceux de Ndadaye, les génocidaires de 1993…
Car les coupables ne sont non seulement pas différents, mais ce sont les mêmes; physiquement parfois, idéologiquement toujours. Et ce n’est pas une question d’ethnie; cela s’appelle Le Droit; et ce Droit ne se négocie pas;
ni en fonction de l’ethnie ni de quelque autre façon! En proclamant que le Burundi était une démocratie, par Arusha ou par des élections immorales et illégitimes, parce que les compétiteurs auraient dû être devant les tribunaux avant l’ouverture des urnes, la société qui se veut civile a mis une croix sur toute possibilité de réclamer la justice, même pour un des siens. Pour tout ce beau monde, s’il a été possible, en effet, de mettre une croix sur le génocide, comment serait-il soudainement impossible d’oublier une peccadille du genre le cas Manirumva?
Rappelez-vous de ce gouverneur du sanguinaire Nkurunziza ne s’indignant même pas du massacre des ses administrés à Muyinga : IKIZIGA GISA N’IKINDI proclamait-il…
Ou alors, il faut oser et s’associer enfin à AC Génocide CIRIMOSO, à l’Uprona et à tous les partisans de la restauration de l’Etat de droit par la Charte de l’Unité nationale, du droit international et de la morale universelle : pour une application globale et intégrale du Droit, pour une inter-ethnique résistante en vue de la lutte contre le génocide et l’impunité. Sinon Nkurunziza Peter et ses sbires rigolent sous cape en regardant les gesticulations en cours. Rappelez-vous des confessions de leur parrain, l’autre Pierre : cela ne m’empêche pas de dormir…(BINFO)