COMME SI LA MERE DU PRESIDENT BAGAZA VAUDRAIT MOINS QU'UNE VEUVE CONGOLAISE!
Burundi Information (le 23 décembre 2014). Encore une fois, les média burundais ont raté l'occasion, non pas de se taire, mais de dire ce qu'il faut dire avant de s'occuper des périphériques. Nous lisons bien souvent sur quelques sites burundais des communiqués nécrologiques donnant des détails sur le décès et l'enterrement de tel ou tel autre individu. Ne serait-ce que pour cela, il est incompréhensible qu'aucun organe de presse n'ait mentionné le décès la semaine dernière de la mère de Jean Baptiste Bagaza, Fondateur et Président de la Deuxième République, l'homme dont le nom rime avec un essor économique du Burundi jamais égalé jusqu'à ce jour.
C'est en effet au cours de cette semaine que la bien nommée Nkundabose, fut confiée à la terre de son Rutovu natal où elle donna naissance un bon jour de 1946 à un enfant mâle à qui on donna le nom de Bagaza et auquel l'église catholique ajoutera celui de Jean-Baptiste. Il serait intéressant en effet de noter par cette occasion l'existence d'une sorte de prémonition dans les noms des mères de certaines futures "mamans de la république." La première, du nom de Bavumiragiye donna naissance à Micombero. Une autre, nommée Nzikobanyanka, produit entre autres progénitures, Pierre Buyoya, un fils qui commença comme officier brillant de tous les temoiganes de ceux qui l'ont connu a l'armee, mais qui s'avèrera un piètre politicien de l'avis de plusieurs observateur, du fait que son régime fut caractérisé entrre autres choses par l'acharnement parfois inexplicable contre des ennemis réels ou supposés, prouvant presqu'indirectement qu'il est toujours aux agueux contre ses gens "bamwanka". La troisième, celle dont il est question aujourd'hui, répondait au nom prestigieux de Nkundabosei; elle donna naissance au Président Bagaza dont les grandes oeuvres de son pouvoir qui Dura dix ans bénéficièrent et bénéficient toujours les enfants du Burundi. Si on ajoute l'amour de la patrie que tout le monde reconnaît à l'homme du 1er novembre (arakunda Uburundi), on comprend que le ferment du nom de sa mère aura été transmis fidèlement...
Notre presse "libre et indépendante" devrait parler de Madame Nkundabose. Avant de nous annoncer en fanfarre la mort de la veuve du Congolais Patrice Lumumba, elle aurait dû nous communiquer le décès de la mère du Président Jean-Baptiste Bagaza. Les raisons pour dépasser les alibis régionalistes ou "ethnistes" qui auraient été à la base de cette omission ne manquaient pas, nous venons de les rappeler par cette brève mention de l'oeuvre grandiose du fondateur de la Deuxième République du Burundi. raisons contre.
Au delà donc de cette nécrologie, nous réalisons que dans un pays dirigé par une dictature hutisante du nord comme celle de Pierre Nkurunziza, c'est facile pour des media dits neutres, modérés et que sais-je encore, de s'abstenir de revenir sur les bienfaits d'acteurs politiques directs et indirects pour la simple raison que ces derniers sont des Tutsi du sud. Mais bien évidemment, si presse libre est différente de presse à la solde des dictateurs génocidaires aux commandes, ce passage de vie à trépas de Madame Nkunduburundi, aurait été une bonne occasion de prouver qu'on peut critiquer négativement les erreurs des anciens régimes tout en restant objectifs sur les faits qui les ont caractérisés. (BINFO)
C'est en effet au cours de cette semaine que la bien nommée Nkundabose, fut confiée à la terre de son Rutovu natal où elle donna naissance un bon jour de 1946 à un enfant mâle à qui on donna le nom de Bagaza et auquel l'église catholique ajoutera celui de Jean-Baptiste. Il serait intéressant en effet de noter par cette occasion l'existence d'une sorte de prémonition dans les noms des mères de certaines futures "mamans de la république." La première, du nom de Bavumiragiye donna naissance à Micombero. Une autre, nommée Nzikobanyanka, produit entre autres progénitures, Pierre Buyoya, un fils qui commença comme officier brillant de tous les temoiganes de ceux qui l'ont connu a l'armee, mais qui s'avèrera un piètre politicien de l'avis de plusieurs observateur, du fait que son régime fut caractérisé entrre autres choses par l'acharnement parfois inexplicable contre des ennemis réels ou supposés, prouvant presqu'indirectement qu'il est toujours aux agueux contre ses gens "bamwanka". La troisième, celle dont il est question aujourd'hui, répondait au nom prestigieux de Nkundabosei; elle donna naissance au Président Bagaza dont les grandes oeuvres de son pouvoir qui Dura dix ans bénéficièrent et bénéficient toujours les enfants du Burundi. Si on ajoute l'amour de la patrie que tout le monde reconnaît à l'homme du 1er novembre (arakunda Uburundi), on comprend que le ferment du nom de sa mère aura été transmis fidèlement...
Notre presse "libre et indépendante" devrait parler de Madame Nkundabose. Avant de nous annoncer en fanfarre la mort de la veuve du Congolais Patrice Lumumba, elle aurait dû nous communiquer le décès de la mère du Président Jean-Baptiste Bagaza. Les raisons pour dépasser les alibis régionalistes ou "ethnistes" qui auraient été à la base de cette omission ne manquaient pas, nous venons de les rappeler par cette brève mention de l'oeuvre grandiose du fondateur de la Deuxième République du Burundi. raisons contre.
Au delà donc de cette nécrologie, nous réalisons que dans un pays dirigé par une dictature hutisante du nord comme celle de Pierre Nkurunziza, c'est facile pour des media dits neutres, modérés et que sais-je encore, de s'abstenir de revenir sur les bienfaits d'acteurs politiques directs et indirects pour la simple raison que ces derniers sont des Tutsi du sud. Mais bien évidemment, si presse libre est différente de presse à la solde des dictateurs génocidaires aux commandes, ce passage de vie à trépas de Madame Nkunduburundi, aurait été une bonne occasion de prouver qu'on peut critiquer négativement les erreurs des anciens régimes tout en restant objectifs sur les faits qui les ont caractérisés. (BINFO)