EVALUATION DU CINQUANTENAIRE DE L'INDEPENDANCE DU BUrUNDI (I)
BURUNDI INFORMATION (le 20 aout 2012). S'il peut paraître superflu de rappeler que juillet 2012 a été un mois spécial pour le Burundi, il est en revanche impératif de rappeler que le régime du sanguinaire Pierre Nkurunziza a utilisé cet anniversaire pour endormir davantage l’opinion. N’en déplaise à ceux croient encore à sa légitimité contestable en tous points, Pierre Nkurunziza et son CNDD-FDD, constamment hantés par leurs crimes innommables qui restent impunis, se servent de toute occasion pour ressembler à des dirigeants normaux.
Nous ne pouvons pas nous lasser de le dire, juillet 2012 a été le mois de la célébration des 50 ans qui viennent de s’écouler depuis le recouvrement de notre indépendance perdue le 06 juin 1903 aux mains des colonisateurs. Mais cette célébration du cinquantenaire a été mise à profit par l'entourage du criminel qui dirige le Burundi pour dans sa campagne électorale officieuse pour 2015. L’administration dominée du sommet à la base par l'organisation terroriste et génocidaire CNDD-FDD s'en est servi pour inaugurer ici et là, dans un tapage médiatique sans précédent, des œuvrages sommes toute utiles mais dont certains, si els avaient été achevés dans une période ordinaire, auraient à peine suscité un article de la taille d’un huitième de la dernière page de l’hebdomadaire le moins lu.
Ayant remarqué cette supercherie, Burundi Information a choisi délibérément de se tenir à l’écart de cette messe, très grande certes mais qui était malheureusement célébrée par des tueurs avérés. Cette mesure provisoire était on ne peut plus nécessaire. Tout d’abord, il fallait se distancer, pour mieux les interpeller, de nos confrères qui se disent opposés à l’immoralité qui a élu domicile au Burundi depuis plusieurs années, mais qui règlent leurs violons sur celles de ce même pouvoir. Ensuite, il fallait surtout réaffirmer nos engagements envers tous ceux qui, comme nous, ont juré de dénoncer l’accession et le maintien aux pouvoirs d’organisations et d’individus qui ont commis le génocide et d’autres crimes de droit international.
Nous commençons donc aujourd’hui notre série sur l’évaluation de la célébration du cinquantenaire. Nous n’allons pas commenter toutes les étapes de cette célébration; nous nous arrêterons sur les plus caractéristiques des maux que nous avons juré de toujours dénoncer afin de permettre la restauration d’un État de droit au Burundi. (BINFO)
Nous ne pouvons pas nous lasser de le dire, juillet 2012 a été le mois de la célébration des 50 ans qui viennent de s’écouler depuis le recouvrement de notre indépendance perdue le 06 juin 1903 aux mains des colonisateurs. Mais cette célébration du cinquantenaire a été mise à profit par l'entourage du criminel qui dirige le Burundi pour dans sa campagne électorale officieuse pour 2015. L’administration dominée du sommet à la base par l'organisation terroriste et génocidaire CNDD-FDD s'en est servi pour inaugurer ici et là, dans un tapage médiatique sans précédent, des œuvrages sommes toute utiles mais dont certains, si els avaient été achevés dans une période ordinaire, auraient à peine suscité un article de la taille d’un huitième de la dernière page de l’hebdomadaire le moins lu.
Ayant remarqué cette supercherie, Burundi Information a choisi délibérément de se tenir à l’écart de cette messe, très grande certes mais qui était malheureusement célébrée par des tueurs avérés. Cette mesure provisoire était on ne peut plus nécessaire. Tout d’abord, il fallait se distancer, pour mieux les interpeller, de nos confrères qui se disent opposés à l’immoralité qui a élu domicile au Burundi depuis plusieurs années, mais qui règlent leurs violons sur celles de ce même pouvoir. Ensuite, il fallait surtout réaffirmer nos engagements envers tous ceux qui, comme nous, ont juré de dénoncer l’accession et le maintien aux pouvoirs d’organisations et d’individus qui ont commis le génocide et d’autres crimes de droit international.
Nous commençons donc aujourd’hui notre série sur l’évaluation de la célébration du cinquantenaire. Nous n’allons pas commenter toutes les étapes de cette célébration; nous nous arrêterons sur les plus caractéristiques des maux que nous avons juré de toujours dénoncer afin de permettre la restauration d’un État de droit au Burundi. (BINFO)