SOUS LE JOUG D'UN ETAT CRIMINEL
Burundi Information (le 22 novembre 2008). En apprenant pour la première fois l’existence des camps de concentration, le maréchal allemand Erwin Rommel aurait demandé au maire de la ville de Stuttgart qui venait de l’en informer et qui, comme lui, n’approuvait pas le régime génocidaire d’Adolf Hitler : « Que doit faire un individu quand il vit sous le joug d’un État criminel? »
En cette période où les génocidaires du CNDD-FDD au pouvoir au Burundi multiplient persécution et l’intimidation de ceux qui désapprouvent son action, c’est la question que devraient se poser les burundais. Et elle n’incombe pas aux seuls opposants; même les membres et sympathisants du CNDD-FDD sont interpelés. En effet, comme les deux dizaines d’autres maréchaux, les milliers de généraux, les millions de militaires et autres membres du parti NAZI, Rommel avait prêté le serment de fidélité au caporal autrichien devenu Chef de l’Etat allemand, Adolf Hitler. Mais ayant constaté, tardivement certes, que son chef suprême était un génocidaire, il n’a pas hésité une seconde à travailler avec ses compatriotes qui n’avaient pas perdu la tête au milieu de la folie nazie. Ensemnle, ils ont essayé comme ils le pouvaient de remettre leur pays sur la voie du droit et de la morale. De la même manière, les burundais qui, par un accident de l’histoire, se retrouvent sous le règne policier de l’organisation terroriste et génocidaire CNDD-FDD, ne devraient pas perdre courage. Ils ne sont pas les seuls à avoir connu un dirigeant génocidaire se croyant populaire.
Après Adolf Hitler, nombreuses sont les années où Idi Amin en Ouganda, Charles Taylor au Liberia, Slobodan Milosevic en Yougoslavie, Saddam Hussein en Irak, et tout près de chez nous, Juvénal Habyalimana du Rwanda, ont cru qu’ils étaient adulés. Comme Pierre Nkurunziza ils ont eu des bains de foule, participé à des travaux communautaires avec le bas peuple, assisté avec lui à des services religieux et des rencontres sportives, etc.
Le fait que les Burundais rencontrent Pierre Nkurunziza à la messe, qu’ils l’acclament un peu trop quand il joue au foot, ou qu’ils le côtoient à la messe, ne signifie pas qu’ils approuvent son action à la tête de l’escadron de la mort qui a attaqué le camp des rescapés du génocide en Commune Mukike, faisant des dizaines de tués et autant de blessés parmi ces civils sans défense. Que doit donc faire le peuple burundais? La réponse, qui est très simple, sera appliquée par ceux qui soutiennent encore l’organisation terroriste et génocidaire au pouvoir: qu’on retire le soutien qu’on a apporté aux génocidaires du CNDD-FDD soit par intimidation soit par cupidité ou autre calcul mesquin. Même s’il ne reste que deux ans. (BINFO)
En cette période où les génocidaires du CNDD-FDD au pouvoir au Burundi multiplient persécution et l’intimidation de ceux qui désapprouvent son action, c’est la question que devraient se poser les burundais. Et elle n’incombe pas aux seuls opposants; même les membres et sympathisants du CNDD-FDD sont interpelés. En effet, comme les deux dizaines d’autres maréchaux, les milliers de généraux, les millions de militaires et autres membres du parti NAZI, Rommel avait prêté le serment de fidélité au caporal autrichien devenu Chef de l’Etat allemand, Adolf Hitler. Mais ayant constaté, tardivement certes, que son chef suprême était un génocidaire, il n’a pas hésité une seconde à travailler avec ses compatriotes qui n’avaient pas perdu la tête au milieu de la folie nazie. Ensemnle, ils ont essayé comme ils le pouvaient de remettre leur pays sur la voie du droit et de la morale. De la même manière, les burundais qui, par un accident de l’histoire, se retrouvent sous le règne policier de l’organisation terroriste et génocidaire CNDD-FDD, ne devraient pas perdre courage. Ils ne sont pas les seuls à avoir connu un dirigeant génocidaire se croyant populaire.
Après Adolf Hitler, nombreuses sont les années où Idi Amin en Ouganda, Charles Taylor au Liberia, Slobodan Milosevic en Yougoslavie, Saddam Hussein en Irak, et tout près de chez nous, Juvénal Habyalimana du Rwanda, ont cru qu’ils étaient adulés. Comme Pierre Nkurunziza ils ont eu des bains de foule, participé à des travaux communautaires avec le bas peuple, assisté avec lui à des services religieux et des rencontres sportives, etc.
Le fait que les Burundais rencontrent Pierre Nkurunziza à la messe, qu’ils l’acclament un peu trop quand il joue au foot, ou qu’ils le côtoient à la messe, ne signifie pas qu’ils approuvent son action à la tête de l’escadron de la mort qui a attaqué le camp des rescapés du génocide en Commune Mukike, faisant des dizaines de tués et autant de blessés parmi ces civils sans défense. Que doit donc faire le peuple burundais? La réponse, qui est très simple, sera appliquée par ceux qui soutiennent encore l’organisation terroriste et génocidaire au pouvoir: qu’on retire le soutien qu’on a apporté aux génocidaires du CNDD-FDD soit par intimidation soit par cupidité ou autre calcul mesquin. Même s’il ne reste que deux ans. (BINFO)