DE LA HAUTE TRAHISON DE PIERRE NKURUNZIZA
Burundi Information (le 20 novembre 2011). L’application des quotas ethniques au Burundi est une violation de la Constitution du 18 mars 2005 et de la Charte de l'Unité Nationale adopté par référendum populaire le 5 février 1991. Chaque fois que le President de la Republique signe un decret dans ce sens, il commet un acte de haute trahison. Invraisemblable, direz-vous? La lecture de ces extraits de la Charte de l’Unité Nationale et de la Constitution du 18 mars 2005 vous eclairera a ce sujet.
- "Devant le peuple burundais, seul détenteur de la souveraineté nationale, moi, (énoncer le nom), Président de la République du Burundi, je jure fidélité à la Charte de l’Unité Nationale ...(Extrait du serment du President de la Republique, Article 106 de la Constitution Burundaise du 18 mars 2005)
- Chaque burundais a le devoir de préserver et renforcer l’unité nationale conformément à la Charte de l’Unité Nationale (Article 64 de la Constitution Burundaise du 18 mars 2005)
- Nous arrêtons que la présente Charte est un pacte irrévocable. Aucun régime, aucune institution, aucune loi, aucune disposition de quelque nature que ce soit n’est habilité à l’abroger ni à s’y soustraire.
- La présente Charte est un pacte inviolable. Tout Murundi, présent ou à venir, qui ira à l’encontre de la présente Charte, outre qu’il sera poursuivi conformément à la loi, il se sera rendu coupable d’un acte de trahison à l’endroit de la Nation et du peuple burundais».
- Le Burundi n’est pas une mosaïque d’ethnies ni un conglomérat de collines sans aucun rapport. Nous sommes un peuple qui communie à la même culture, qui aspire à un même bien-être et qui partage le même destin au sein d’une même et seule patrie : le Burundi. Aucun régime ne peut donc prétendre construire le Burundi en s’appuyant sur les ethnies, les clans ou les régions ; pareille forme de gouvernement constituerait la négation même de la nation burundaise. [l'emphase est mienne] (Extraits de la Charte de l'Unité Nationale, Titre 2).
Vous vous rendrez compte que depuis le 28 aout 2000, date de la signature de l'accord impie d'Arusha qui consacre les quotas ethniques dans les institutions burundaises, les hautes autorités commettent de façon continue la Haute Trahison envers leur Nation et le Peuple Burundais.
- "Devant le peuple burundais, seul détenteur de la souveraineté nationale, moi, (énoncer le nom), Président de la République du Burundi, je jure fidélité à la Charte de l’Unité Nationale ...(Extrait du serment du President de la Republique, Article 106 de la Constitution Burundaise du 18 mars 2005)
- Chaque burundais a le devoir de préserver et renforcer l’unité nationale conformément à la Charte de l’Unité Nationale (Article 64 de la Constitution Burundaise du 18 mars 2005)
- Nous arrêtons que la présente Charte est un pacte irrévocable. Aucun régime, aucune institution, aucune loi, aucune disposition de quelque nature que ce soit n’est habilité à l’abroger ni à s’y soustraire.
- La présente Charte est un pacte inviolable. Tout Murundi, présent ou à venir, qui ira à l’encontre de la présente Charte, outre qu’il sera poursuivi conformément à la loi, il se sera rendu coupable d’un acte de trahison à l’endroit de la Nation et du peuple burundais».
- Le Burundi n’est pas une mosaïque d’ethnies ni un conglomérat de collines sans aucun rapport. Nous sommes un peuple qui communie à la même culture, qui aspire à un même bien-être et qui partage le même destin au sein d’une même et seule patrie : le Burundi. Aucun régime ne peut donc prétendre construire le Burundi en s’appuyant sur les ethnies, les clans ou les régions ; pareille forme de gouvernement constituerait la négation même de la nation burundaise. [l'emphase est mienne] (Extraits de la Charte de l'Unité Nationale, Titre 2).
Vous vous rendrez compte que depuis le 28 aout 2000, date de la signature de l'accord impie d'Arusha qui consacre les quotas ethniques dans les institutions burundaises, les hautes autorités commettent de façon continue la Haute Trahison envers leur Nation et le Peuple Burundais.