LE MENSONGE NE RECONCILIE JAMAIS
(BURUNDI INFORMATION, le 02 août 2011) Les experts du légitimisme, cette manie qu’ils ont parce qu’ils se la donnent en s’autoproclamant gardien de la bonne gouvernance, ont de nouveau trouvé de quoi féliciter un régime raciste, terroriste et génocidaire au Burundi. Ils ont salué la mise sur pied d’une commission nationale des droits de l’homme et quelque chose d’autre, semblable commission d’endormissement qui s’appellerait "vérité réconciliation."
La communauté internationale « a dit »; laquelle? Donc « en avant marche! » Pourtant au pays les choses vont mal. Le premier signe que le monde fait face à un État voyou, des personnes se déclarent représentants de la communauté internationale pour déclarer et légitimer ce que cette communauté est supposée condamner et démanteler.
Car le régime de Nkurunziza Peter est l’exemple même de ce que le monde moderne devrait appeler à détruire, entendez celui du lendemain des horreurs hitlériens. En effet « depuis 1945, la seule légitimité d’un État démocratique est d’empêcher le retour des génocides. Il s’agit d’un contrat moral entre le citoyen et l’État » enseigne la doctrine.
C’est au nom de ce principe que les droits de l’homme sont devenus une préoccupation mondiale. Et pourquoi donc la communauté internationale exigerait-elle une commission pour s’occuper de ces droits? Tout simplement parce que ceux-ci n’existent pas et sont en permanence violés par les mêmes autorités que l’on félicite aujourd’hui.
Rappelez-vous des tortures filmées dans les bureaux des services de renseignements qui ne sont qu’un des départements de la Présidence de la République. Les agents payés par l’État, plutôt souvent que parfois avec l’argent des contribuables des pays dont les représentants félicitent ces tortionnaires, criaient comme des chasseurs encourageant des meutes de chiens pour les inciter à dépecer le gibier : « MUJEKO! MUJEKO! » Il s’agissait de l’ancien Vice-Président Alphonse Marie Kadege.
Lorsque, vaincu, on lui présenta les aveux pour signature après cette enquête "très démocratique," ses sbires lui rappeler qu’il devait authentifier ses déclaration dont une copie sera remise à celui que devait emporter le faux putsch dont on demandait à la victime torturée de se déclarer comploteur « iyi ni copie ija kwa wa wundi mwagira munigure »; Nkurunziza Peter attendait chantant "Hosanna," "Halleuia" et moult "Amen," au milieu de plusieurs pasteurs et prélats, qu’on lui apporte les aveux de Kadege!
Voilà le terrain des droits humains. Le régime en place emprisonne, persécute, torture, assassine. Et lorsque l’on parle des négociations et du retour des politiciens en exil, parions que cela va être le futur terrain d’endormissement, il est probable qu’il ne s’agit pas de Kadege ni de ses amis d’infortune; pas plus que des leaders de la restauration de l’État de droit. Peut-on défendre les droits humains sans désavouer ceux qui les violent? Comment être crédible malgré cela?
Un deuxième défi est semblable au premier et en est le fondement : le racisme et le génocide. Dans ce pays, le premier des droits, celui à la vie, n’est nullement garanti. Il y en a qui se donnent le droit de tuer impunément, de justifier, d’où que cela vienne, par action ou par réaction, c’est pareil. On ne peut pas se glorifier de l’"Agashavu" génocidaire et se plaindre des exécutions punitives des Sans Échec et de Micombero sans pratiquer la discrimination. Et la solution n’est pas de promouvoir tous ces criminels ensemble au pouvoir; il faut plutôt les y interdire!
Le Burundi est alors devenu le pays le plus raciste du monde, on y a institutionnalisé le racisme ethnique et le génocide y est décrit comme une pratique démocratique. La commission vérité et réconciliation peut-elle survivre à cette ignominie? Autant les négociations ont servi de camouflage à l’impunité, autant cette commission vient consacrer la tristesse de cette autre honte burundaise.
Que l’on ne parle surtout pas du modèle sud-africain. En Afrique du Sud l’on a condamné et renoncé à l’Apartheid. Avez-vous jamais entendu une quelconque condamnation du racisme et du génocide burundais? Quel est le soutien apporté aux organisations qui luttent contre le mal absolu? Dans un pays où les plus grands criminels contre l’Humanité, les bourreaux de Teza, Buta Bugendana, Kibimba, Ryansoro, Muyinga, etc… et les assassins de Ndadaye partenaires des premiers dans cette mascarade, comment se prévaloir du modèle sud-africain qui a rompu avec la honte institutionnalisée au Burundi?
A chacun son Apartheid vous dira-t-on; le régime terroriste génocidaire de Nkurunziza aurait mis fin à l’apartheid Tutsi au Burundi. Mais avez-vous jamais vu ou entendu Mandela et l’ANC se glorifier d’avoir torturé des blancs dans les bureaux de la présidence sud-africaine? Avez-vous entendu Mandela se glorifier d’avoir assassiné des enfants et éventré les mères enceintes? Avez-vous entendu Mandela se glorifier ni justifier des actes de racisme et de terrorisme? Mandela a-t-il assassiné ou emprisonné les journalistes et les opposants politiques?
S’il fallait un modèle, pourquoi ne pas le prendre immédiatement en face, dans un contexte régional aux réalités similaires? Nous parlons du Rwanda et des accords de Lusaka qui font la promotion du PLUS JAMAIS CA dans cette région des Grands Lacs Africains. Parions que cette vérité de la République du Soleil Levant ne sera jamais évoquée comme mal absolu… (BINFO)
La communauté internationale « a dit »; laquelle? Donc « en avant marche! » Pourtant au pays les choses vont mal. Le premier signe que le monde fait face à un État voyou, des personnes se déclarent représentants de la communauté internationale pour déclarer et légitimer ce que cette communauté est supposée condamner et démanteler.
Car le régime de Nkurunziza Peter est l’exemple même de ce que le monde moderne devrait appeler à détruire, entendez celui du lendemain des horreurs hitlériens. En effet « depuis 1945, la seule légitimité d’un État démocratique est d’empêcher le retour des génocides. Il s’agit d’un contrat moral entre le citoyen et l’État » enseigne la doctrine.
C’est au nom de ce principe que les droits de l’homme sont devenus une préoccupation mondiale. Et pourquoi donc la communauté internationale exigerait-elle une commission pour s’occuper de ces droits? Tout simplement parce que ceux-ci n’existent pas et sont en permanence violés par les mêmes autorités que l’on félicite aujourd’hui.
Rappelez-vous des tortures filmées dans les bureaux des services de renseignements qui ne sont qu’un des départements de la Présidence de la République. Les agents payés par l’État, plutôt souvent que parfois avec l’argent des contribuables des pays dont les représentants félicitent ces tortionnaires, criaient comme des chasseurs encourageant des meutes de chiens pour les inciter à dépecer le gibier : « MUJEKO! MUJEKO! » Il s’agissait de l’ancien Vice-Président Alphonse Marie Kadege.
Lorsque, vaincu, on lui présenta les aveux pour signature après cette enquête "très démocratique," ses sbires lui rappeler qu’il devait authentifier ses déclaration dont une copie sera remise à celui que devait emporter le faux putsch dont on demandait à la victime torturée de se déclarer comploteur « iyi ni copie ija kwa wa wundi mwagira munigure »; Nkurunziza Peter attendait chantant "Hosanna," "Halleuia" et moult "Amen," au milieu de plusieurs pasteurs et prélats, qu’on lui apporte les aveux de Kadege!
Voilà le terrain des droits humains. Le régime en place emprisonne, persécute, torture, assassine. Et lorsque l’on parle des négociations et du retour des politiciens en exil, parions que cela va être le futur terrain d’endormissement, il est probable qu’il ne s’agit pas de Kadege ni de ses amis d’infortune; pas plus que des leaders de la restauration de l’État de droit. Peut-on défendre les droits humains sans désavouer ceux qui les violent? Comment être crédible malgré cela?
Un deuxième défi est semblable au premier et en est le fondement : le racisme et le génocide. Dans ce pays, le premier des droits, celui à la vie, n’est nullement garanti. Il y en a qui se donnent le droit de tuer impunément, de justifier, d’où que cela vienne, par action ou par réaction, c’est pareil. On ne peut pas se glorifier de l’"Agashavu" génocidaire et se plaindre des exécutions punitives des Sans Échec et de Micombero sans pratiquer la discrimination. Et la solution n’est pas de promouvoir tous ces criminels ensemble au pouvoir; il faut plutôt les y interdire!
Le Burundi est alors devenu le pays le plus raciste du monde, on y a institutionnalisé le racisme ethnique et le génocide y est décrit comme une pratique démocratique. La commission vérité et réconciliation peut-elle survivre à cette ignominie? Autant les négociations ont servi de camouflage à l’impunité, autant cette commission vient consacrer la tristesse de cette autre honte burundaise.
Que l’on ne parle surtout pas du modèle sud-africain. En Afrique du Sud l’on a condamné et renoncé à l’Apartheid. Avez-vous jamais entendu une quelconque condamnation du racisme et du génocide burundais? Quel est le soutien apporté aux organisations qui luttent contre le mal absolu? Dans un pays où les plus grands criminels contre l’Humanité, les bourreaux de Teza, Buta Bugendana, Kibimba, Ryansoro, Muyinga, etc… et les assassins de Ndadaye partenaires des premiers dans cette mascarade, comment se prévaloir du modèle sud-africain qui a rompu avec la honte institutionnalisée au Burundi?
A chacun son Apartheid vous dira-t-on; le régime terroriste génocidaire de Nkurunziza aurait mis fin à l’apartheid Tutsi au Burundi. Mais avez-vous jamais vu ou entendu Mandela et l’ANC se glorifier d’avoir torturé des blancs dans les bureaux de la présidence sud-africaine? Avez-vous entendu Mandela se glorifier d’avoir assassiné des enfants et éventré les mères enceintes? Avez-vous entendu Mandela se glorifier ni justifier des actes de racisme et de terrorisme? Mandela a-t-il assassiné ou emprisonné les journalistes et les opposants politiques?
S’il fallait un modèle, pourquoi ne pas le prendre immédiatement en face, dans un contexte régional aux réalités similaires? Nous parlons du Rwanda et des accords de Lusaka qui font la promotion du PLUS JAMAIS CA dans cette région des Grands Lacs Africains. Parions que cette vérité de la République du Soleil Levant ne sera jamais évoquée comme mal absolu… (BINFO)