NIYOYANKANA BONAVENTURE LE POLTRON
BURUNDI INFORMATION, le 02 avril 2011). Le leader des Buyoyistes ne
dénoncera pas le régime raciste, terroriste génocidaire, et maintenant
corrompu de Nkurunziza Peter. Cela n’est pas une surprise, il est fidèle à
son maître. Mais tout le monde se fiche de ce silence malgré tout
coupable; le mal restera le mal même si tout le monde le fait…
(BURUNDI INFORMATION, le 02 avril 2011). Le leader des Buyoyistes ne
dénoncera pas le régime raciste, terroriste génocidaire, et maintenant
corrompu de Nkurunziza Peter. Cela n’est pas une surprise, il est fidèle à
son maître. Mais tout le monde se fiche de ce silence malgré tout
coupable; le mal restera le mal même si tout le monde le fait…
Heureusement qu’il y a un certain Manassé. Du temps où commettre le
génocide était interdit, il était terroriste génocidaire. Maintenant que
les terroristes génocidaires gouvernent impunément, il est un démocrate.
Malgré cela, on se prend à l’aimer, AKARI MU RUGO NTIKABURA ICO KAMARA…
Mais nous avons peur pour lui. Il a été exclu du parti; c’est un signe; le
dernier probablement! Car le pire est à craindre; ce pire qui justifie les
silences de Niyoyankana. Souvenez-vous : du temps de l’autre Pierre,
Buyoya de son nom à la naissance, un détournement de 40 millions de
dollars eut lieu et fut constaté par un représentant résident de l’OMS au
Burundi…
Il fut assassiné, jeté aux crocodiles qui n’en voulurent point, pour
finalement être découvert. On connaît la suite : à ce jour personne n’est
coupable! L’ONU n’ose pas demander des comptes; ni pour celui-là ni pour
l’autre Zuniga (UNICEF), pas plus que le Vatican ne demande des comptes
pour un de ses dignes représentants, Mgr De Courtnay. Nous parlons de
certaines des victimes les plus célèbres, tout en sachant que les humains
sont supposés être égaux, en droits plus qu’ailleurs…
Mais revenons à Kassy Manlan, car c’est de lui qu’il s’agit. Il voulut
enquêter sur le détournement des 40 millions de dollars; les auteurs du
détournement ont préféré le faire assassiner. Un avocat belge osa poser,
devant les juges, la question du mobile du crime, question que l’on ne
pose jamais au Burundi où l’on se contente de couvrir tout crime de Hutu,
Tutsi ou ICITSO, cela étant suffisant comme mobile du crime de la part des
coupables surtout…
L’avocat belge révéla alors que l’autre Pierre était l’auteur du
détournement et de l’assassinat. Comme seule et unique défense, Buyoya
Pierre, car c’est lui, se contenta de dire que BARIKO BARAMWARARAZA. Les
connaisseurs de la langue de Samandari rappellent que KWARARAZA signifie
dire de quelqu’un des choses, non pas fausses, mais que cette personne
aurait souhaité garder secrètes. Vive les Julian Assange et divers
Wikileaks!
Ce qui est intéressant ici touche la méthode. Nous sommes dans un pays où
le principal argument de ceux qui gouvernent est qu’ils ne se sentent pas
coupables d’avoir commis le génocide par exemple; « même les autres ont
tué », chantent-ils! Ce n’est pas suffisant pour les partisans de l’Etat
de droit que nous sommes; mais il y en a pour qui cette défense serait
saine.
D’autres ont volé dit-on déjà. Et même davantage. 40 millions contre 15
seulement (montant dénoncé par Manassé). Niyoyankana ne dénoncera pas son
patron, parce qu’il n’oserait, surtout pas, condamner l’autre Pierre
coupable d’un larcin plus lourd; ce serait injuste et disproportionné;
comment en effet condamner un voleur de 15 million sans condamner celui de
40 millions, en dollars américains!
Au-delà de la complicité, il y a la trouille. Kassy Manlan a été
assassiné; Manirumva également. Tous les deux furent victimes de leur
lutte contre la corruption. Voilà pourquoi Manassé semble avoir quelque
chose dans le ventre, contrairement au poltron Niyoyankana le buyoyiste.
Mais il faut protéger ce Manassé. Imaginez que sur sa lancée il se mette à
dénoncer également le racisme et le génocide! Car si on peut tuer
impunément des centaines de milliers de compatriotes, des administrés en
plus, se servir de quelques millions de dollars n’aurait rien de
véritablement coupable. Alors un Saint Paul en perspective 2000 ans après
le disciple de Jésus!… Et nous voterions déjà pour lui… (BINFO)
dénoncera pas le régime raciste, terroriste génocidaire, et maintenant
corrompu de Nkurunziza Peter. Cela n’est pas une surprise, il est fidèle à
son maître. Mais tout le monde se fiche de ce silence malgré tout
coupable; le mal restera le mal même si tout le monde le fait…
(BURUNDI INFORMATION, le 02 avril 2011). Le leader des Buyoyistes ne
dénoncera pas le régime raciste, terroriste génocidaire, et maintenant
corrompu de Nkurunziza Peter. Cela n’est pas une surprise, il est fidèle à
son maître. Mais tout le monde se fiche de ce silence malgré tout
coupable; le mal restera le mal même si tout le monde le fait…
Heureusement qu’il y a un certain Manassé. Du temps où commettre le
génocide était interdit, il était terroriste génocidaire. Maintenant que
les terroristes génocidaires gouvernent impunément, il est un démocrate.
Malgré cela, on se prend à l’aimer, AKARI MU RUGO NTIKABURA ICO KAMARA…
Mais nous avons peur pour lui. Il a été exclu du parti; c’est un signe; le
dernier probablement! Car le pire est à craindre; ce pire qui justifie les
silences de Niyoyankana. Souvenez-vous : du temps de l’autre Pierre,
Buyoya de son nom à la naissance, un détournement de 40 millions de
dollars eut lieu et fut constaté par un représentant résident de l’OMS au
Burundi…
Il fut assassiné, jeté aux crocodiles qui n’en voulurent point, pour
finalement être découvert. On connaît la suite : à ce jour personne n’est
coupable! L’ONU n’ose pas demander des comptes; ni pour celui-là ni pour
l’autre Zuniga (UNICEF), pas plus que le Vatican ne demande des comptes
pour un de ses dignes représentants, Mgr De Courtnay. Nous parlons de
certaines des victimes les plus célèbres, tout en sachant que les humains
sont supposés être égaux, en droits plus qu’ailleurs…
Mais revenons à Kassy Manlan, car c’est de lui qu’il s’agit. Il voulut
enquêter sur le détournement des 40 millions de dollars; les auteurs du
détournement ont préféré le faire assassiner. Un avocat belge osa poser,
devant les juges, la question du mobile du crime, question que l’on ne
pose jamais au Burundi où l’on se contente de couvrir tout crime de Hutu,
Tutsi ou ICITSO, cela étant suffisant comme mobile du crime de la part des
coupables surtout…
L’avocat belge révéla alors que l’autre Pierre était l’auteur du
détournement et de l’assassinat. Comme seule et unique défense, Buyoya
Pierre, car c’est lui, se contenta de dire que BARIKO BARAMWARARAZA. Les
connaisseurs de la langue de Samandari rappellent que KWARARAZA signifie
dire de quelqu’un des choses, non pas fausses, mais que cette personne
aurait souhaité garder secrètes. Vive les Julian Assange et divers
Wikileaks!
Ce qui est intéressant ici touche la méthode. Nous sommes dans un pays où
le principal argument de ceux qui gouvernent est qu’ils ne se sentent pas
coupables d’avoir commis le génocide par exemple; « même les autres ont
tué », chantent-ils! Ce n’est pas suffisant pour les partisans de l’Etat
de droit que nous sommes; mais il y en a pour qui cette défense serait
saine.
D’autres ont volé dit-on déjà. Et même davantage. 40 millions contre 15
seulement (montant dénoncé par Manassé). Niyoyankana ne dénoncera pas son
patron, parce qu’il n’oserait, surtout pas, condamner l’autre Pierre
coupable d’un larcin plus lourd; ce serait injuste et disproportionné;
comment en effet condamner un voleur de 15 million sans condamner celui de
40 millions, en dollars américains!
Au-delà de la complicité, il y a la trouille. Kassy Manlan a été
assassiné; Manirumva également. Tous les deux furent victimes de leur
lutte contre la corruption. Voilà pourquoi Manassé semble avoir quelque
chose dans le ventre, contrairement au poltron Niyoyankana le buyoyiste.
Mais il faut protéger ce Manassé. Imaginez que sur sa lancée il se mette à
dénoncer également le racisme et le génocide! Car si on peut tuer
impunément des centaines de milliers de compatriotes, des administrés en
plus, se servir de quelques millions de dollars n’aurait rien de
véritablement coupable. Alors un Saint Paul en perspective 2000 ans après
le disciple de Jésus!… Et nous voterions déjà pour lui… (BINFO)