ASSASSINAT D'ADOLF NSHIMIRIMANA: TOUT SAVOIR SUR L'HOMME (suite)
Burundi Information (le 16 aout 2015). S’il est vrai qu’on ne gagne rien à tirer sur un cadavre, il est tout aussi vrai qu’il ne faut pas taire la vérité pour la simple raison qu’elle réfèrerait à un défunt. Surtout s’il en va de l’avenir d’une nation comme le Burundi actuel qui a besoin d’en finir une fois pour toutes avec la “médiocratie” caractéristique du régime des terroristes génocidaires du CNDD-FDD. Ainsi, même mort, Adolf Nshimirimana, l’ancien chef des miliciens terroristes et génocidaires, mérite encore une fois notre attention. D’aucuns pourraient penser qu’il ne sied plus de critique les oeuvres macabres à la tête de la surêté burundaise qu’il dirigea d’une main de fer pendant dix longues années. Mais nous devons à la postérité l’élucidation de ce cauchemar que connut le Burundi et qu’il connait d’ailleurs encore surtout en cette période où le pouvoir du criminel menteur Pierre Nkurunziza essaie de capitaliser sur le cadavre de cet home qu’il tarde encore à mettre sous-terre pour des motifs inavoués (nous y reviendrons dans un autre numéro).
En tant qu’Administrateur Général du Service National de Renseignement, Adolf Nshimirimana avait entre autres autres prérogatives la notation des Administrateurs. Ces derniers, rappelons-le, devaient, dans l’esprit de la loi sur la police, être porteurs au moins d’un diplôme de licence. Or ce général générique et génocidaire Adolf Nshimirimana n’avait même pas la moitié d’une licence. Pour tout résumer, sa prestation à la tête de la surête burundaise aura été, à cet égard, comparable à celle d’un aveugle à qui on demanderait d’évaluer la beauté d'un lot de tapis multicolores…
L’opinion publique aura attendu la mort d’Adolf Nshimirimana pour apprendre qu’il avait fait des études secondaires dans un lycée technique au Rwanda. Cette information, nous la devons au journal Iwacu, le seul dont les journalistes n’ont jamais été inquiétés par le régime alors que les autres média indépendants ont été brûlés par les agents du pouvoir…
Les informations complémentaires que nous avons pu glaner des milieux proches du défunt terroriste, rapportent qu’Adolf s’était fait inscrire dans une université privée de Bujumbura. Sauf que l’admission à un programme universitaire suppose que le candidat a au moins un diplôme des humanités complètes. Cela, ces défenseurs d’une crapule aussi réputée semblent l’oublier, mais feu le terroriste Adolf Nshimirimana y avait songé. En effet, selon une source généralement très bien informée, dès son retour du maquis, il avait pris soin de se faire confectioner un diplôme par un faussaire établi aux environs de la 14e Avenue à Buyenzi. Une seule question à ce sujet: comment le “grand” policier en charge du principal organe de renseignements pouvait-il s’imaginer que cette manoeuvre resterait inconnue de la cité? Bujumbura étant ce qu’il est, une ville ou tout le monde connaît tout le monde,” l’information se répandit comme une traînée de poudre, et moins de deux semaines plus tard, tout le monde savait que pour mettre fin à “akagaye” Adolf Nshimirimana s’était fait fabriquer un diplôme. “Scandale!” dira-t-on? Oui et non. Cela s’est déjà vu à maintes reprises dans les hautes spheres du régime des terroristes génocidaires du CNDD-FDD. Nous n’avons plus besoin de parler de Mohamed Rukara qui, tout ombudsman qu’il est, supposé être l’exemple de la droiture, affirme sur son CV qu’il détient un Doctorat en Communication obtenu à l’Universite de Paix de San Jose (Costa Rica), alors qu’il n’y a jamais mis les pieds. Ditto pour l’homme que le sanguinaire menteur Pierre Nkurunziza nomma en 2009 et reconduit en 2013, aux fonctions de Secrétaire Général Adjoint de l’EAC. Ce dernier au moins a été un peu moins modeste, il s’est fait octroyé non pas un doctorat mais “seulement” une Maitrise en Economie prétenduement obtenue de Université York (Toronto, Canada) mais où, à l’instar de ses mentors du CNDD-FDD, Sieur Jean-Claude Nsengiyumva, car c’est cela son nom, ne s’est jamais fait inscrire ni en maîtrise ni dans un quelconque programme de premier cycle (1). Aux dernières nouvelles, l’Université York aurait saisi la Gendarmeri Royale du Canada pour qu’elle recherché et appréhende cet adepte d’Adolf Nshimirimana...A suivre (BINFO)
(1) pour en savoir plus sur le faussariat CLIQUEZ ICI ou ICI
En tant qu’Administrateur Général du Service National de Renseignement, Adolf Nshimirimana avait entre autres autres prérogatives la notation des Administrateurs. Ces derniers, rappelons-le, devaient, dans l’esprit de la loi sur la police, être porteurs au moins d’un diplôme de licence. Or ce général générique et génocidaire Adolf Nshimirimana n’avait même pas la moitié d’une licence. Pour tout résumer, sa prestation à la tête de la surête burundaise aura été, à cet égard, comparable à celle d’un aveugle à qui on demanderait d’évaluer la beauté d'un lot de tapis multicolores…
L’opinion publique aura attendu la mort d’Adolf Nshimirimana pour apprendre qu’il avait fait des études secondaires dans un lycée technique au Rwanda. Cette information, nous la devons au journal Iwacu, le seul dont les journalistes n’ont jamais été inquiétés par le régime alors que les autres média indépendants ont été brûlés par les agents du pouvoir…
Les informations complémentaires que nous avons pu glaner des milieux proches du défunt terroriste, rapportent qu’Adolf s’était fait inscrire dans une université privée de Bujumbura. Sauf que l’admission à un programme universitaire suppose que le candidat a au moins un diplôme des humanités complètes. Cela, ces défenseurs d’une crapule aussi réputée semblent l’oublier, mais feu le terroriste Adolf Nshimirimana y avait songé. En effet, selon une source généralement très bien informée, dès son retour du maquis, il avait pris soin de se faire confectioner un diplôme par un faussaire établi aux environs de la 14e Avenue à Buyenzi. Une seule question à ce sujet: comment le “grand” policier en charge du principal organe de renseignements pouvait-il s’imaginer que cette manoeuvre resterait inconnue de la cité? Bujumbura étant ce qu’il est, une ville ou tout le monde connaît tout le monde,” l’information se répandit comme une traînée de poudre, et moins de deux semaines plus tard, tout le monde savait que pour mettre fin à “akagaye” Adolf Nshimirimana s’était fait fabriquer un diplôme. “Scandale!” dira-t-on? Oui et non. Cela s’est déjà vu à maintes reprises dans les hautes spheres du régime des terroristes génocidaires du CNDD-FDD. Nous n’avons plus besoin de parler de Mohamed Rukara qui, tout ombudsman qu’il est, supposé être l’exemple de la droiture, affirme sur son CV qu’il détient un Doctorat en Communication obtenu à l’Universite de Paix de San Jose (Costa Rica), alors qu’il n’y a jamais mis les pieds. Ditto pour l’homme que le sanguinaire menteur Pierre Nkurunziza nomma en 2009 et reconduit en 2013, aux fonctions de Secrétaire Général Adjoint de l’EAC. Ce dernier au moins a été un peu moins modeste, il s’est fait octroyé non pas un doctorat mais “seulement” une Maitrise en Economie prétenduement obtenue de Université York (Toronto, Canada) mais où, à l’instar de ses mentors du CNDD-FDD, Sieur Jean-Claude Nsengiyumva, car c’est cela son nom, ne s’est jamais fait inscrire ni en maîtrise ni dans un quelconque programme de premier cycle (1). Aux dernières nouvelles, l’Université York aurait saisi la Gendarmeri Royale du Canada pour qu’elle recherché et appréhende cet adepte d’Adolf Nshimirimana...A suivre (BINFO)
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